Fraternisation

bourrage de crâne est mise en place pour l’arrière. 2/Obéir=consentir ou contraint : ->culture de guerre->Ennemis sont l’incarnation du mal. Il y a une mise en place de conformisme de groupe. La contrainte de la répression. Les tentatives de fraternisation et les trêves qui ont lieux dans les 2 camps (1914=noël) montrent que parfois les soldats s’affranchissent de la propagande. Le ces de refus d’obéissance sont peu nombreuses sauf pour la Russie pendant la révolution. 3/Témoigner : On estime

V. Réflexion sur l'oeuvre : La Grande Illusion est un splendide film sur le thème de la Première Guerre Mondiale : il montre la fragilité et l'ambiguïté des rapports humains pendant la guerre. Il y est question de fraternisation, entre classes sociales, mais aussi entre les peuples : ceci, ajouté au caractère pacifiste du film mis en avant par Renoir, fit d'ailleurs assez logiquement que le film fut ensuite interdit pendant la guerre. Le film montre des rapports possibles

intervienne et mette un terme à ces arrangements. Journal des tranchées Marmita, 10 janvier 1915 Les fraternisations En décembre 1914, lors du premier Noël passé sur le front, on constate des scènes de fraternisation spontanées qui ont rapproché des soldats ennemis qui souffraient d'être éloignés de leur famille. Tardi et Verney, Putain de Guerre 1914-1915-1916 P.18 La fraternisation de Noël fut de courte durée et donna un élan d’espoir aux soldats. De plus, cet épisode fit prendre conscience

chaussures humides) - Gestes des cavernes, solidarité, froid et humidité, « poilu », odeur de cadavre... - Problèmes de communication, relève, ravitaillement - Lassitude découragement → mutineries (refus d'obéir à un ordre) → exécutions - Fraternisations entre ennemies (ex : Noël 1914 match de foot, fête entre allemand et français) Voir Schéma La Première Guerre Mondiale est une Guerre Totale : elle mobilise toutes les forces vives de la nation, l'arrière entre en guerre aux côtés de

coups de mains ponctuels sur les positions adverses = climat de danger et vigilance constante. Nécessite connaissance parfaite du secteur, d’où larges pertes parmi les nouveaux arrivants. Mais l’activité de combat est assez exceptionnelle : fraternisations véritables rares, mais ententes tacites et trêves sont fréquentes. Survivre dans les tranchées relève d’un « savoir combattre » particulier ; d’où difficultés de repasser à l’offensive en 1918, contrairement aux troupes américaines. La systématisation

allemands. Il a finalement été interdit seulement une semaine après sa sortie, le 11 décembre 1930, par le « Film-Oberprüfstelle », le comité de censure cinématographique de l'époque. Si le film a été interdit en Allemagne, les scènes de fraternisation furent censurées en France. Ce film a tout de même été très médiatisé, puisque Lewis Milestone remporta l'oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur. Repérage chronologique : Repérer l’œuvre et indiquer des évènements historiques proches

qui ne voient plus les ennemies comme des hommes mais comme des cibles à abattre. Cet accroissement de la violence subie et donné par les combattants est appelé la « brutalisation » ou « ensauvagement ». Outre les occupations militaires une « fraternisation » se met en place. Les soldats veulent essayer de mener une vie qui serait toujours normale en sociabilisant avec leurs camarades de guerre. Ils ont une volonté de survivre ensembles qui leur permet d’endurer toute cette violence. Grâce à cette

combattant et de l’idéologie pacifiste. Le pacifisme moral : la volonté d’oublier ont conduit à des réinterprétations de l’expérience de guerre, à occulter certains aspects (la haine de l’ennemi, la violence donnée) et à en valoriser d’autres (les fraternisations, les violences subies). . Cette thèse est générale, partagée à droite comme à gauche ; elle ne retient que la culpabilité allemande et la bonne foi française. Au nom d’une légitimité intellectuelle et morale, elle fait l’impasse sur le traitement

Guerre mondiale. L'Été 1914 décrit la marche à la guerre que ne peuvent empêcher ni les socialistes, ni les autres groupes pacifistes : révolutionnaire de cœur, Jacques Thibault ne saura que se sacrifier en lançant sur les tranchées un appel à la fraternisation des soldats allemands et français. Racontant la lente agonie d'Antoine Thibault gazé pendant le conflit, Épilogue évoque la « marche à la paix » et s'interroge sur les propositions du président Wilson qui aboutiront à la création de la Société

pacifiques entre Etats. L’hymne Mélodie tirée de la 9ème symphonie composée en 1823 par Ludwig Van Beethoven. Ce thème de l’Ode à la joie a été écrit pour soutenir le poème de Friedrich Von Schiller (1785) dans lequel il expose une vision de fraternisation de tous les hommes. Cet hymne célèbre les valeurs que partagent les Etats ainsi que leur unité dans la diversité. La devise « Unis dans la diversité » .Elle traduit les efforts de l’U.E et des Européens en faveur de la paix et de la prospérité