Frédéric Beigbeder

Marie-Thérèse, archiduchesse d’Autriche et reine de Hongrie et de Bohême, bénéficiait en 1756, au terme d’une crise diplomatique dite du « renversement des alliances » du soutien de la Russie, de la Suède, de la Saxe, de l’Espagne et de la France. Ce fut Frédéric II de Prusse qui ouvrit toutefois les hostilités en attaquant et en s’emparant de la Saxe en août 1756. Durant la première moitié de la guerre, les Prussiens accumulèrent les victoires. Ils battirent les Français à Rossbach et les Autrichiens à Leuthen

convaincu de cette erreur sans nom. Ce sacré Voltaire rassemble nombre d’écrivains mais aussi des souverains étrangers pour l’aider dans cette cause déjà perdue (il faut dire que Voltaire était très apprécié dans les cours de Russie et de Prusse). Frédéric II de Prusse et Catherine II de Russie se rallient à sa cause. Toujours égal à lui-même, l’emporté Voltaire dénonce les travers judiciaires et publie son « Traité sur la tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas » en décembre 1763. Le scandale

Urbino a été une ville artistique réputée pendant le XVIe siècle. Raphaël a été un peintre et architecte italien de la Haute Renaissance. Il a été le fils d’un peintre qui s’appelait Giovanni Santi, peintre et aussi chargé comme poète de la cour de Frédéric III de Montefeltro, un des princes les plus célèbres et un patron des arts de la Renaissance en Italie. Son père a été son premier maître ; cependant, il est mort en 1494. Raphaël, n’ayant que onze ans au moment de sa mort, est devenu orphelin puisque

sur le droit divin, dans "Lettres philosophiques" (1734).  Des poèmes officiels lui permettent d'entrer à l'Académie Française et à la Cour comme historiographe du roi en 1746. Cependant "Zadig" l'oblige à s'exiler à Potsdam sur l'invitation de Frédéric II de Prusse, puis à Genève. Voltaire s'installe définitivement à Ferney, près de la frontière Suisse, où il reçoit toute l'élite intellectuelle de l'époque tout en ayant une production littéraire abondante. En 1759, Voltaire publie "Candide"

Comment Candide se sauve d’entre les Bulgares, et ce qu’il devint est le titre du chapitre 3 du livre « Candide ou l’Optimisme » écrit au 18eme siècle par Voltaire. Ce chapitre fait découvrir au lecteur le spectacle de la mort lors de la guerre des Bulgares contre les Abares et fait partager aux lecteurs l’indignation et la colère du personnage. Nous allons voir donc, quelle est la vision de l’auteur sur la guerre. Dans un premier temps, nous étudierons l’horreur de la guerre, et, dans un deuxième

l'Académie, qui crée spécialement pour lui le genre de la fête galante. Le tableau est aujourd'hui exposé au musée du Louvre. En 1718, Watteau en fit lui-même une réplique sensiblement différente, intitulée Embarquement pour Cythère, ayant appartenu à Frédéric II de Prusse et exposée aujourd'hui au Château de Charlottenburg à Berlin.

l'Académie, qui crée spécialement pour lui le genre de la fête galante. Le tableau est aujourd'hui exposé au musée du Louvre. En 1718, Watteau en fit lui-même une réplique sensiblement différente, intitulée Embarquement pour Cythère, ayant appartenu à Frédéric II de Prusse et exposée aujourd'hui au Château de Charlottenburg à Berlin.

historiographe du roi (1745). Parallèlement à son travail d’historien (le Siècle de Louis XIV, 1752 ; Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, 1756), il commence à rédiger des contes satiriques (Zadig, 1748 ; Micromégas, 1752). Il accepte l’invitation de Frédéric II de Prusse et part pour Potsdam (1750). En 1755, il s’installe en Suisse, où sera publié Candide (janvier 1759) et, enfin, dans un village français près de la frontière suisse, Ferney (décembre 1758-février 1759). Dernière partie de sa carrière

de mars, l'un des jeunes fils du supplicié rencontra Voltaire et le convaincu de l'erreur judiciaire. L'écrivain à succès recueilla la veuve et deux de ses filles. De plus, il organisa un groupe de pression avec ses amis, y compris les souverains Frédéric II de Prusse et Catherine II de Russie .Dénonçant ainsi les travers de l'organisation judiciaire, il publia son célèbre Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas en décembre 1763. Le 4 juin 1764, le Conseil du Roi cassa enfin

autrichien). Elle impliquait cependant la séparation de l’Autriche et de la Hongrie, ce qu’excluaient les Habsbourg. Le départ de la délégation autrichienne à Francfort faillit faire triompher l’option petite-allemande, qui échoua en raison du refus de Frédéric-Guillaume IV de Prusse d’accepter la couronne impériale. À partir de 1849, l’Autriche avança comme alternative une solution « grande-autrichienne » (großösterreichische Lösung), qui aurait vu la formation d’un vaste ensemble réunissant la petite