Frédéric de Nucingen

froid, et ses yeux devenus indifférents fuyaient ceux du malencontreux étudiant» p. 96. Il ne sera pas long a découvrir le secret qui lie ces deux personnages, car Mme de Beauséant le lui livre : Goriot est le pere de Mme de Restaud et de Delphine de Nucingen, deux femme richement mariés, qui le méprisent alors qu'il s'est ruiné pour elles. A force de maladresse, Eugène de Rastignac évolue et c'est pour lui une première expérience de la vie parisienne : «quelques larmes roulèrent sur les yeux d'Eugène

pension vivent Eugène de Rastignac et le père Goriot. Le père Goriot sacrifie tout son argent pour les mariages de ces deux filles : Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Eugène de Rastignac vient à Paris pour se faire une place dans la bonne société (c’est un jeune provincial). Il intègre peu à peu l’aristocratie et devient l’amant de Delphine de Nucingen. Un jour le père Goriot meure brutalement. C’est Rastignac qui paye l’enterrement. Ses deux filles ne se déplacent même pas pour l’occasion

Chabert Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime Delphine de Nucingen, fille du père Goriot, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient banquier dans le Bal de Sceaux. Fréquentant les meilleurs salons (le Cabinet des Antiques), il est très recherché par la marquise de Listomère (Illusions

ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement.  » 3/ Dans ce récit, on apprend le nom de plusieurs pensionnaires, tel qu'Eugène de Rastignac, Vautrin, Jean-Frédéric Taillefer ou Horace Bianchon. Eugène de Rastignac est venu à Paris pour étudier le droit, Vautrin est un bagnard évadé qui se cache à Paris, Jean-Frédéric Taillefer est un banquier qui refuse de reconnaître que Victorine, logé à la Pension, est sa fille. Horace Bianchon est quant à lui un étudiant en médecine. «  un jeune

dans 19 romans ou nouvelles. Elle représente les courtisanes ; Henri de Marsay (comte) (Illusions Perdues, La Fille aux yeux d’or…) apparaît dans 28 romans ou nouvelles. Il représente les dandies et les politiciens ; Frédéric de Nucingen (baron (Le Père Goriot, La Maison Nucingen…) apparaît dans 35 romans ou nouvelles. Il représente les avares et les financiers ; Eugène-Louis de Rastignac (Le Père Goriot, Splendeurs et Misères des courtisanes…) apparaît dans 26 romans ou nouvelles. Il représente

s'accuse d'un crime qu'il n'a commis qu'en pensée, Hermann l'interroge sur son ami,  dont il retrouve le prénom : Frédéric, à ce moment de son histoire. Pendant tout ce récit, l'attitude d'un des convives, un banquier, apparemment terrorisé, intrigue le narrateur, au point de lui inspirer des soupçons, qui deviennent quasi certitude quand il apprend que ce denier se nomme Frédéric Taillefer, qu'il est de Beauvais et qu'il le voit en proie, à une crise nerveuse, accompagnée d'atroces souffrances

la femme d'Henri ll, et Marie Stuart, la femme du dauphin, le fils aîné d'Henri ll, futur François ll6 Singulier : inusité, bizarre. 7 Marie Stuart. 8 ll revenait de Bruxelles, Séquence 1. La scène de première rencontre. Lecture analytique 2. Frédéric Moreau, jeune bachelier, rejoint sa mère en province pour les voconces. ll quitte Paris en boteau et voyage sur la Seine. ll aperçoit une jeune femme dant il tombe amoureux. 10 fut comme une apparition : Elle était assise, au milieu du banc

de hiérarchies et de professions[63]. » Dès lors, les publications se succèdent à un rythme accéléré : le Lys dans la vallée paraît en (1835-1836), puis Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau en 1837, suivi de la Maison Nucingen en 1838. Le Curé de village et Béatrix en 1839, Ursule Mirouët en 1841.La rédaction d'Illusions perdues s’étend de 1837 à 1843. Balzac milite aussi pour le respect des écrivains. Dans sa « lettre aux écrivains du XIXe siècle », il les exhorte

social de hiérarchies et de professions. » Dès lors, les publications se succèdent à un rythme accéléré : le Lys dans la vallée paraît en (1835-1836), puis Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau en 1837, suivi de la Maison Nucingen en 1838. Le Curé de village et Béatrix en 1839, Ursule Mirouët en 1841.La rédaction d'Illusions perdues s’étend de 1837 à 1843. Balzac milite aussi pour le respect des écrivains. Dans sa « lettre aux écrivains du XIXe siècle », il les exhorte

au monde deux ou trois mille personnages, il les a liés les uns aux autres par un ciment social de hiérarchies et de professions. Dès lors, les publications se succèdent à un rythme accéléré. En 1838, avec notamment Victor Hugo, Alexandre Dumas, Frédéric Soulié et George Sand, il fonde la Société des gens de lettres, association d’auteurs destinée à défendre le droit moral, les intérêts patrimoniaux et juridiques des auteurs de l’écrit. Le théâtre n’est pas le moyen d’expression le plus naturel