Frédéric Ier de Prusse

ouvrages interdits dans sa bibliothèque (sur la philo française) et passé de libertin JH Fragonard (grand peintre français, du libertinage) : Le verrou, Les hasards heureux de l'escarpelette => pensée et attitude de libération des mœurs Frédéric II parle français, oblige le français ds l'Académie des Beaux-Arts, écrit ses lettres persos en français et en vers = maîtrise parfaite de la langue Tableau Tour de table, A.Von Merzel, 1850 : on le voit avec Voltaire et Diderot => bcp appréciés

autour du pape Pie IX puis des défaites militaires du roi de Piémont-Sardaigne, Charles-Albert, face à l'Autriche qui amènent à la réoccupation du Nord-Est du pays. En Allemagne, malgré l'octroi d'une constitution prussienne en 1850, le refus de Frédéric-Guillaume IV d'accepter la couronne des mains du Parlement conduit à la fin du rêve démocratique tandis que la reculade d'Olmütz marque l'impossibilité du projet de Grande-Allemagne avec l'Autriche. Malgré ces revers, le projet d'unification des

majoritairement protestante, exclut l'Autriche, et donne le primat à la Prusse. Cette solution est celle de la “grande Prusse” des Hohenzollern. Le désir d’unité passe avant tout par un rassemblement des Etats de la Confédération Germanique, qui est l’embryon d’une petite Allemagne à unifier politiquement. Solution préférée des libéraux. -Evolution : En refusant, avril 1849, d'être nommé empereur d'Allemagne par le Parlement de Francfort, Frédéric-Guillaume IV, retardait la naissance d'une "Petite Allemagne"

Voltaire, elle s’enorgueillira du titre d’élève de mlle Cardel. Elle lui communique l’amour de la langue française. B) Un mariage avec l’héritier du trône de Russie orchestré par Frédéric II. En 1739, ses parents l’emmènent à Kiel pour paraître à une fête que donne le cousin de sa mère, Adolphe-Frédéric de Holstein-Gottorp. Sophie y rencontre le jeune Pierre-Ulric de Holstein, dont on dit qu’il est l’un des héritiers possibles pour le trône de Suède ou pour celui de Russie. Le garçon qui

devient une véritable affaire nationale, le projet eu un grand succès. Il reçut même le soutien des protestants allemands, de l’Évêque suprême de l’Église évangélique de Prusse qui permit au mouvement sa garantie financière par l’état prussien, et notamment du chef de l’Eglise luthérienne : Frédéric-Guillaume IV. Le roi de Prusse, qui veut être un roi populaire, déclare vouloir une Allemagne solidaire, et ainsi agit en faveur de cette impulsion nationaliste. Son but étant purement politique : affirmer

était donc un conservateur convaincu et appliqué. De 1815 à 1848, la vie politique autrichienne est dominée par la personnalité de Metternich qui servit les Habsbourg comme ambassadeur. A partir de 1817, il devient le principal ministre de François Ier. A la mort de François en 1835, Metternich devint le souverain de l'Autriche parce que son nouveau maître Ferdinand est incapable d'assumer seul les responsabilités du pouvoir. b) Le congrès de Vienne et la Sainte Alliance Metternich triompha lors

XIXème siècle : siècle des révolutions ? Un profond mouvement de transformation Le rythme du XIXème siècle Le XIXè, une séquence historique encadrée par la défaite de Napoléon Ier et le congrès de Vienne ; et la 1GM. Un siècle fondateur, qui marque l’accélération de l’histoire de l’Europe. Lithographie de Frédéric Sorrier : La République universelle, démocratique et sociale, appartient à un ensemble de lithographies, représentant la chute des monarques de l’ancien régime, le pacte des peuples

Prussiens, Russes et Autrichiens se réunissent pour dresser la liste de leurs revendications à transmettre à Napoléon pour un retour à la paix : dislocation du Grand-duché de Varsovie qui serait partagé entre la Russie et la Prusse, cession de Dantzig, alors ville libre, à la Prusse, récupération de l’Illyrie par l’Autriche et retour à l’indépendance des villes hanséatiques, annexées par la France en 1810. De plus, si Napoléon

le roi de Prusse Même si la guerre de succession d’Autriche (1740-1748) oppose d’abord l’Autriche et la Prusse, la France décide de s’en mêler. Semblant l’emporter avant la défection de son allié prussien qui enlise la situation, la France signe en 1748 le traité d’Aix-la-Chapelle qui comporte la restitution de leurs conquêtes réciproques par la France et l’Angleterre, la France doit évacuer les Pays-Bas. Les Bourbons d’Espagne sont consolidés ainsi que Frédéric II en Italie

prestigieux : l’histoire, l’essai politique et plus tard le roman. C’est en Angleterre qu’il commence à rédiger en anglais l’ouvrage où il expose ses observations sur l’Angleterre, qu’il fera paraître en 1733 à Londres. Il se rapproche de la cour de Georges Ier puis de Georges II et prépare une édition de la Henriade en souscription accompagnée de deux essais en anglais qui remporte un grand succès (343 souscripteurs) et renfloue ses finances. Une souscription analogue ouverte en France par son ami Thériot