Frédéric le Bel

(pierre)“le theatre et le public a paris de 1715 a 1750“ -Rabreau (daniel)“le theatre et l'embellisement des villes de france au 18e siecle“ -Rougement (martine de)“la vie theatrale en france au 18e“ -Deloffre (frederic)“une preciosite nouvelle“,“Marivaux et le marivaudage“,“Les belles lettres“ -Voltaire “oedipe“ -Marivaux “le jeu de l'amour et du hasard“ -Beaumarchais “le mariage de figaro“

langue nous l’apprend : les amours non charnelles et les discours sans effets sont « platoniques ». Platon s’avance – à jamais figé dans la posture même du philosophe : cet être qui se tient à bonne distance du monde réel empêtré dans de belles – ou moins belles – paroles qu’il énonce en vain. « Philosophie platonique », une espèce de pléonasme pour beaucoup. Platon aurait, le premier et définitivement, scellé le sort de la philosophie. Et nous le voyons, errant dans le ciel des Idées, telle une

de la publication de l’Encyclopédie.. L’autre grand salon de l’époque des Lumières était celui de Claudine de Tencin. Dans les années 1720, Voltaire dut s’exiler en Angleterre où il s’enquit des idées de John Locke. Il fut accueilli à la cour de Frédéric II de Prusse. Bien des monarques européens lisaient et appréciaient les philosophes : Charles III d'Espagne, Marie-Thérèse et Joseph II d’Autriche, Catherine II de Russie, Gustave III de Suède. Les Philosophes luttaient généralement moins contre

y a eu Fréderic Chopin, un musicien. Enfin, l’œuvre qui va lui apporté le succès est, bien-entendu, Histoire de ma vie, écrit en 1855. Elle a écrit bien d’autres œuvres au cours de sa vie, de différents genres littéraires, tels que des romans, des contes, des pièces de théâtre, des autobiographies, des critiques littéraires, et des textes politiques. Ses correspondances avec ses amants sont aussi connues, comme ses lettres d’amour avec Alfred de Musset, considérées parmi les plus belles de la langue

la class. Nous ne devons pas aller voir toutes les exposés, c’est pourqoui j’écrirai mes impressions à l’aide des personnes importantes du dix-neuvième siècle suivantes: Georges Bizet, Jean Nicolas Arthur Rimbaud, Auguste Rodin, Eugène Delacroix, Fréderic Chopin, Marie Curie et naturellement Modest Mussorgski, qui j’ai présenté dans la classe. Une socièté des classes Quand j’ai examiné mes notes, j’ai remarquer que presque toutes les personnes que j’avais pris étaient né dans une famille riche

n’apparaît. Les personnages sont partiellement présentés. Ils se réduisent à un prénom ou une initiale. a) Frédéric à la scierie (p.9) Est-il le héros du roman ? Nous n’avons qu’un prénom. L’énumération des membres de la famille (« père…arrière-grand-père ») se veut exhaustive mais elle ne fait que nous apprendre qu’il s’agit d’une entreprise familiale, héritée de père en fils. Frédéric devient par la suite un nom propre. b) Le narrateur fait un retour dans le passé, au XIXe siècle, afin de parler

commentés par Jacques Bienvenu, 127 p., Édisud, 1993, La Calade (ISBN 2-85774-964-2) Pierre Bayard, Maupassant, juste avant Freud, Minuit, 1994. Mariane Bury, La poétique de Maupassant, Paris : Sedes, 1994. Armand Lanoux, Maupassant, le Bel-Ami, Grasset, 1995. Gérard Delaisement, La modernité de Maupassant, Rive Droite, 1995. Paul Morand, Vie de Guy de Maupassant, Pygmalion, 1998. Delphine Dussart, Catherine Hervé-Montel, Maupassant romancier, Ellipses, 1999. Guy Fessier

caractère soudain du coup de foudre et rend l'instant solennel. - Vision subjective : avec une restriction (« du moins »). C'est lui qui place au centre de tout l'obje désiré. - Champ lexical du regard : plusieurs fois le verbe « regarder » - Frédéric est subjugué (placé sous le joug, fasciné) par le personnage : « splendeur ». + « ébahissement » « chose extraordinaire » = surprise de l'amour qui débouche sur une admiration. - Jusqu'à la dernière phrase : « leurs yeux se rencontrèrent » = moment-clé

Corinthiens) « La femme étant un être accidentel et manqué ne dut pas entrer dans la création primitive » (Saint-Thomas d’Aquin) « On devrait pouvoir tuer toutes les femmes qui ne peuvent pas faire d’enfants puisqu’elles ne sont bonnes qu’à ça » (Frédéric 1er ) « La femme est donnée à l’homme pour qu’elle fasse des enfants » (Napoléon 1er ) « Les femmes sont faites pour commercer avec nos désirs et notre folie, mais point avec notre raison »(Champfort) « On devrait bien les nourrir et les bien vêtir

Résumé: Le personnage principal, Frédéric Moreau, est présenté comme «l'homme de toutes les faiblesses». Les idéaux et les espoirs du personnage se confrontent à la réalité. Une discordance entre le moi et le monde se présente alors. Pour la majorité des personnages, il y a une impossibilité de parvenir au but fixé. Dans ce texte, nous est donc présentée la désillusion d'un personnage, dans une société qui l'est tout autant. Cette poétique de la désillusion est assez présente dans le livre et