Freud Dans Sa Propre Maison

freudienne, qui consistera à dire que le symptôme n'est pas simplement le signe d'une altération mais qu'il a un sens. En 1917, dans sa vingt-troisième conférence d'introduction à la psychanalyse, intitulée : "Les voies de la formation des symptômes", Freud l'énonce ainsi : "Mesdames et messieurs, pour le profane, ce sont les symptômes qui forment l'essence de la maladie, et la guérison est pour lui la suppression des symptômes. Le médecin tient à distinguer les symptômes de la maladie, et dit que l'élimination

seconde conception résulte des travaux de psychanalyse de Freud et de ses successeurs au début du 20ième siècle. Dans le texte d'Alain "L'homme est obscur à lui-même" que je vais analyser, celui-ci critique la conception freudienne. Alain repousse la soi-disant existence d'une inconscience qui influencerait et excuserait les "mauvaises actions" de l'homme. Peut-on dire qu'Alain méconnaît les zones d'ombre de la nature humaine où, selon du Freud, il y aurait trois niveaux de fonctionnement psychique:

INTRODUCTION : La conscience peut être définit comme étant le propre de l’homme, donc, la connaissance que l’homme a de lui-même, de ses pensées, de ses sentiments ou encore de ses actes mais aussi du monde qui l’entoure. Elle définit donc ce que l’Homme est : un être capable de penser, de se rendre compte de ses actes et de leurs conséquences. Elle donne à l’homme sa capacité d’analyser, de se juger ainsi que de juger les autres. C’est grâce à cette conscience

Sigmund FREUD (1916) Introduction à la psychanalyse (Leçons professées en 1916) Traduit de l’Allemand, avec l’autorisation de l’auteur, par le Dr. S. Jankélévitch, en 1921, revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi

est ainsi conscient non seulement de lui même mais aussi du monde dans lequel il évolue. Cependant en 1885, le docteur Sigmund Freud, psychanalyste et neurologue, remet en question le raisonnement de Descartes en démontrant que notre esprit possède également une partie inconsciente. En affirmant que « Le « ça » est la partie obscure, impénétrable de notre personnalité », Freud nous amène donc à nous poser diverses questions. Si l’accès complet à la connaissance de soi est impossible, sommes nous contraints

LA CONSCIENCE FAIT-T-ELLE LE BONHEUR DE L'HOMME ? La conscience est une intuition immédiate. C'est le pouvoir qui permet à l'Homme de se distancer de la nature, de lui-même et de sa propre nature. D'embée, on peut affirmer faire le bonheur de l'Homme qui est son but ultime, celui de fonder une famille par exemple. Cela peut-être aussi remis en cause, la conscience peut nous décevoir, car celle-ci est consciente de notre déception, si on loupe un examen par exemple. La conscience est donc ce qui

se situe aux limites de l'anthropologie et de la psychanalyse. Si nous choississons de nous référer à la théorie psychanalytique c'est parce qu'il nous semble que la clinique nous apporte régulièrement des preuves de la pertinence de la pensée de Freud et de ses successeurs. Cependant il nous paraît impossible de vouloir étudier le fonctionnement psychique de l'être humain et les relations qu'il entretient avec son environnement sans tenir compte de ce qui le constitue à savoir sa culture, son histoire

Sujet vient du latin subjectum ce qui signifie « jeter en dessous ». Il faut attendre parlà, que le sujet sert de fondement dans le rapport de l’individu au réel. Il peut même, comme va le faire Descartes s’auto fonder. Le sujet serait alors son propre fondement et le réel, une projection du sujet (ob-jectum=objet). Ainsi le sujet est entouré d’objet, c’est-à-dire, du fruit de ses projections. Que faut-il entendre par projection ? Deux choses : il s’agit soit de ce que le sujet construit lui-même

Eléments Bibliographiques Ce livre «11 – 15 ans les enjeux d’une révolution» est édité par la Chronique Sociale, qui est à la fois un organisme de formation, de recherche et une maison d’édition, fondée à Lyon en 1892. Elle se préoccupe de sensibiliser la société aux évolutions, de suggérer une organisation de la vie collective, plus respectueuse des personnes. Parution le 01 Septembre 2004. (66 pg). Dans la collection : comprendre les personnes. Les illustrations du livre sont de Rose-Marie

a) Différences avec Freud En septembre 1927, Mélanie Klein présente « Les stades précoces du conflit œdipien » au congrès d’Innsbruck, puis elle publie «  Le complexe d’Œdipe éclairé par les angoisses précoces » en 1945. Sa théorie œdipienne se distingue de celle de Freud à 5 niveaux principaux : * Klein situe l’Œdipe plus précocement que Freud, elle avance l’âge ou il se manifeste et le situe au stade oral, dans les premiers mois de la vie. Contrairement à Freud qui affirme que les fantasmes