Freud Dans Sa Propre Maison

principe du même, le principe du familier, principe du déjà connu. Le but du moi est de détruire le non moi. Le non moi c'est l'autre, ce que le moi ne maîtrise pas et qui le met en danger. Il s'agit de détruire sa propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre ce qui est insupportable

aucun doute que je suis transparent à moimême. Dès lors la question ne mériterait même pas d’être posée. Pourtant le regard que je porte sur moi peut s’avérer partiel et partial, et par conséquent trompeur. Et comme dirait Freud, le moi n’est même pas maître en sa propre maison. Alors puis-je vraiment affirmer que je suis ce que j’ai conscience d’être, ce que je pense être ou existe-t-il une part de moi-même qui échappe à mon contrôle ? Le regard que la conscience permet de porter sur soi-même conduit-il

termes en –isme, cela a participé à populariser ces termes mais le problème c’est que ces étiquettes sont devenues tellement vulgaires, populaires qu’on ne sait plus ce qu’elle recouvre sincèrement. Les idéologies sont devenus les victimes de leur propre discours, plus une idéologie est célèbre moins elle est connu dans son détail en réalité. Tout le monde croit connaitre le marxisme personne n’en parle correctement. Cela est dénoncé sous la plume de nombreux auteurs, Flaubert écrivait en 1859 à

tout le monde. Mais le pire arrive : l’état d’Algernon décline et la souris finit par mourir. Le jeune homme comprend alors que le même sort l’attend : la perte de ses capacités intellectuelles est irréversible. Bientôt Charlie ne comprend plus ses propres écrits et en vient même à ne plus savoir lire ni écrire. Il se réfugie alors dans un asile pour terminer sa vie, sans vraiment se souvenir de ce qui lui est arrivé. La séquence que nous construisons autour de Des Fleurs pour Algernon répond à plusieurs

si enfin on pourrait se contenter de cette ignorance, en ayant an quelque sorte le droit de ne pas savoir ce que l’on fait? Si savoir signifie "être conscient de…" ainsi, ne pas savoir ce que l'on fait revient à ne pas être conscient de ses propres actes à l'instant même où l'on agit. L'homme est capable de donner une explication de ses actes. On en effet, deux degrés de conscience : la conscience immédiate et la conscience réfléchie. La première, commune à l’homme et à l’animal, consiste à

toujours apte à se juger adéquatement ? N'a-t-il pas besoin d'autrui pour savoir réellement ce qu'il est, ce qui signifierait que la conscience se fait grâce à l'extériorité et pas seulement dans un rapport de l'homme à lui-même? I. La conscience le propre de l’Homme La conscience c’est la connaissance que l’Homme a de lui-même ainsi que du monde. On distingue ainsi - la conscience logique qui permet de se rendre compte de ce qui est en soi et de ce qui est hors de soi - la conscience morale, capacité

trop extrême et sans recul ce qui perturbe pour le moins le jugement de soi et donc par définition la connaissance totale de son être. Une notion similaire qui pareillement empêche l’objectivité de l’homme par rapport à lui-même est « l’amour propre », que Pascal définit dans Les Pensées comme « n’aimer que soi et de ne considérer que soi ». Le moi se donne en fait une image valorisante de lui-même et désire être reconnu dans cette image. Il ne cherche pas à être mais à paraître ce qu’il voudrait

doute que je suis transparent à moi- même. Dès lors la question ne mériterait même pas d’être posée. Pourtant le regard que je porte sur moi peut s’avérer partiel et partial, et par conséquent trompeur. Et comme dirait Freud, le moi n’est même pas maître en sa propre maison. Alors puis-je vraiment affirmer que je suis ce que j’ai conscience d’être, ce que je pense être ou existe-t-il une part de moi-même qui échappe à mon contrôle ? Le regard que la conscience permet de porter sur soi-même

TD 1Pulsions du MOI et pulsions sexuelles (qui mettent en relation un autre) : rapport d’opposition ne fonctionne pas.Pulsion de mort emmène le sujet à souffrir voire à s’auto-détruire (actes morbides substances toxiques…)Dans la 2nde théorie : pulsion sexuelle et de mort imbriquéesPulsion = articulation entre corps et psychisme La pulsion n’est pas quelque chose que l’on peut éviter. Un stimulus est externe au sujet tandis qu’une pulsion est interne .

moi-même, sur ce que je suis, ce que je vis, ce que je fais, pense, ce qu’il se passe en moi, afin de l’analyser. J’essaie de me saisir, et de me représenter en tant que conscience : je suis conscient d’être consciente. La conscience réfléchie est le propre de l’homme, c’est ce par quoi je suis sujet, maitre et responsable de mes actes. Lalande  « la conscience, c’est l’intuition plus ou moins claire qu’a l’esprit e ses états ou de ses actes » La reflexibilité est le fait de pouvoir se juger. En