Freud Le Cas Elisabeth

la différencier de celle de Sigmund Freud[1] , et qui se propose de faire l'investigation de l'inconscient et de l'âme, c'est-à-dire la « psyché ». L'histoire de la psychologie analytique est ainsi intimement liée à la biographie de Jung. Représentée dans ses débuts par l'« école de Zurich », avec Eugen Bleuler, Franz Riklin, Alphonse Maeder et Jung, la psychologie analytique est d'abord une théorie des complexes, jusqu'à ce que Jung, dès sa rupture avec Freud, en fasse une méthode d'investigation

Paris, Seuil, 1978. Charlier Jean-Emile , Moens Frédéric (2007). Observer, décrire, interpréter - Un état des méthodes en sciences sociales. Paris : INRP. EASLEA Brian (1980), Science et philosophie, une révolution, 1450-1750, Paris, Ramsay, 1986. Freud, S. (1927). Die Zukunft einer Illusion. Trad. (1971). L’avenir d’une illusion. Paris : Presses Universitaires de France. GRÉCO P., L’épistémologie de la psychologie, in J. PIAGET, Logique et connaissance scientifique, Paris, Gallimard, La Pléiade,

L'HISTOIRE DE LA PSYCHANALYSE La Vienne impériale, Freud et la naissance de la psychanalyse M. GIRARD L'histoire de la naissance de la psychanalyse vient clôturer le cycle des conférences de l'année 1995, organisées autour du thème "Les médecines de l'ailleurs". Il est tout à fait remarquable que la psychanalyse puisse être associée à la médecine amérindienne, mésopotamienne ou à la médecine chinoise antique... c'est à dire connotée à la fois d'une vague dimension d'exotique, d'étranger voire

sont faux. C’est une intention de tromper, une manipulation qui consiste à déformer volontairement une vérité que l’on connait. Le mensonge a pour but de cacher la vérité ou de la modifier pour parfois adoucir une réalité comme par exemple dans le cas où un médecin cache la vérité à son patient souffrant d’une maladie grave. Selon Saint Augustin dans Le mensonge mentir repose sur la croyance et la conviction. Il peut soit reposer sur la vérité soit sur la fausseté, tout cela dépend de notre croyance

pour le bonheur, la solution la plus évidente en apparence est de la fausser, en s'attribuant par exemple à soi-même des qualités plus grandes qu'elles ne le sont en réalité. Comme le problématise Descartes dans une lettre adressée à la princesse Élisabeth, vaut-il mieux être heureux et dans l'illusion sur soi, ou bien plus lucide quitte à en être moins joyeux ? Pour lui, cela ne fait aucun doute. Nous ne pouvons retirer qu'un plaisir superficiel de ce type d'illusion. Car l'être humain possède un

sont devenues floues. Et chaque homme, désormais, de s’interroger sur son identité profonde. L’homme mutilé, tiraillé entre des images contradictoires, l’homme toujours sommé de refouler une part essentielle de lui-même est en train de mourir. Elisabeth Badinter trace ici les contours, encore incertains, du nouvel homme que notre siècle est en train d’inventer. Prélude à une forme inédite d’harmonie entre les sexes. » L’approche d’Elisabeth Badinter est intéressante à plus d’un titre, toutefois

conscience spontanée qui accompagne toute notre vie. Nous pouvons toujours nous poser la question « Que suis-je en train de vivre » ? La conscience spontanée nous accompagne tout le temps, et parfois nous pouvons la formuler sous forme de réflexion, auquel cas cela devient de la conscience réfléchie. 2) Blaise Pascal, Pensées → Pascal est un contemporain de Descartes et il est un génie universel, puisqu’il est à la fois un grand écrivain, philosophe, théologien mais aussi un grand scientifique en mathématiques

peuvent être pensées, perceptions réféchies C’est Leibniz, qui le premier à démontrer l’insuffisance de la conception cartesienne de la cs. L dissocie la pensée et la cs, pour lui nous ne sommes pas toujours conscient de ce que nous pensons. C’est le cas des petites perceptions qui le conduit à avancer cette thèse. Il faut distinguer celles-ci des aperceptions qui sont enfaite des perceptions réfléchies, ces dernières étant les perceptions que nous avons, ce dont on a proprement conscience. Comment

moi. C’est ainsi que Freud, dans les Études sur l’hystérie, raconte le cas d’Elisabeth Von R*** : cette jeune femme est atteinte d’hystérie (paralysie qui ne s’explique par aucune lésion organique), sa jambe est paralysée. L’hypothèse de Freud est que l’origine de cette paralysie n’est pas physique mais psychique. Mais pour savoir de quoi souffre Elisabeth, il faut établir un dialogue avec elle, ce que permet la cure psychanalytique. Au cours de ses séances, Elisabeth raconte comment quelques

réconfortante est meilleure que la vérité qui dérange ? ». Pour cela, nous étudierons en premier lieu, « la vérité qui dérange », puis nous verrons qu'il est parfois préférable d'être dans l'illusion que dans la réalité et enfin nous nous intéresserons aux cas ou la vérité rattrape l'illusion et aux conséquences que cela entraîne. Ce sujet à donc à voir avec la philosophie de la connaissance, par le fait de savoir ou non la vérité mais aussi à la philosophie de l'action car le sujet pensant peut faire