Freud Métapsychologie

groupe d’actions qu’on va faire en sachant que ça ne sert à rien. Tic : mimique spontanée qui se produit à certains moments quand on est gèné. Théorie de la structure de la personnalité ou topiques freudiens. Pour Freud la personnalité est le fruit de l’interaction constante entre trois entités dynamiques qui composent la structure mentale ( structure hypothétique qui réside partiellement ou totalement dans l’inconscient ). Le ça : présent dès la naissance

1. L'état primitif de l'homme est celui de l'hostilité. Cette vision pessimiste est, par exemple, celle de Hobbes et de Schopenhauer. On pensera aussi aux pulsions de mort mises à jour par Freud avec le Thanatos. 2. La nature des États veut la guerre. Les conflits politiques incessants ont généré cette vision réaliste et cynique des principes auxquels obéissent les États, guidés par leurs tentations hégémoniques et nationalistes. A. L'homme est naturellement pacifique. On

relation froide et dure avec du mépris l’un pour l’autre. Le rapport est incontestablement conflictuel. Tsongor cherche à surpasser son père, et son père veut conserver son pouvoir. Il y a un rapprochement avec « Le complexe d’Œdipe » où d’après FREUD le fils cherche à tuer le père symboliquement. Il y a un rapport de compétition. Entre la génération de Tsongor et celle de ses enfants il y a un rapport de transmission. Tsongor veut offrir une belle vie à ses enfants, il veut transmettre son savoir

3) les intermittences de la conscience. AR III) l’inconscient et la psychanalyse. A) de la conscience à l’inconscient.  Conscient différent d’inconscient mais la prise de  Conscience est le résultat d’une activité mentale inconsciente. Freud dit « pour bien comprendre la vie psychique il faut arrêter de surestimer la conscience, il faut voir dans l’inconscient le fond de toute vie psychique » B) définition de la psychanalyse.  méthode psychothérapique, méthode d’investigation de l’inconscient

La Pudeur Selon Freud, l’éducation permet de contrôler les pulsions qui proviennent du refoulement des interdits (interdits de la société, parentaux, …). L’éducation va permettre de se former, se construire, de se gérer soit même afin d’avoir un équilibre psychologique. L’éducation est différente selon les cultures, la religion, les rapports sociaux, l’âge, le sexe. Tout ceci influe sur les réactions de la personne et en particulier de l’infirmier face aux premiers soins où nous sommes

condition, elle nous arrache à cette condition, au point que certain décroche du réel. Peut être que celui qui a vu la beauté absolu peut devenir fou.  Freud écrit : « Il me parait indiscutable que l’idée du beau a ses racines dans l'excitation sexuelle et qu’originairement il ne désigne pas autre chose que ce qui excite sexuellement». Pour Freud l’instinct le plus fort c’est la libido chez l’humain, et la beauté serait simplement l’objet de l’excitation. l’apparence du désir. Dimension de volupté

la sincérité peut tourner au désavantage de la personne qui en use. Effectivement, ce dialogue entre Hippias et Socrate nous montre que Hippias, un célèbre homme de sciences a trouvé la ruse de tourner la sincérité à son avantage. Pour terminer, Freud exprime dans son étude intitulée La psychopathologie de la vie quotidienne, l’importance des actes que nous attribuons à l’irresponsabilité comme par exemple les lapsus. La sincérité est donc rapportée ici à l’inconscience, ainsi le mensonge est considéré

de l'existence humaine en mm' temps qu'il menace l'équilibre. => dès lors, quelle attitude sage adopter à l'égart de nos désirs ? il ne serait pas raisonable de renoncer à ses désirs mais il faudrait apprendre à les maitriser pour vivre bien. FREUD (all 19° psychanaliste) selon lui tout enfant est en proie à des pulsions violentes et si on ne l'aide pas à refrainer son désir de frapper, de casser, manger, on ne lui permet pas de se construire comme un etre raisonable. plus tard, cela donnera

d'éléments aussi bien métapsychologique (surmoi), cliniques (hallucinations, passions) que processuel (identification). L'auteur propose ici en prenant appui sur sa pratique clinique et les quelques éléments théoriques épars existant dans les textes de S. Freud et de J.Lacan de proposer une lecture - d'une part, du rôle de la pulsion invocante dans la naissance du sujet et dans la dynamique de la cure, et - d'autre part d'esquisser les destins de la voix conduisant à la constitution du surmoi. Pulsion invocante

Psychanalyses, trad. M Bonaparte et R Loewenstein, Paris, PUF, 1954. Le cas du président Shcreber, est traité par Freud, basé uniquement sur un document autobiographique sans lui-même être dans un cadre psychanalytique avec le patient. Il s’agit de Mémoires d’un névropathe, ouvrage que Daniel Paul Schreber a publié le 1903, dans le quelle il fournie des informations biographiques. Freud trouve ce texte particulièrement riche en ce qui concerne son contenu clinique et il décide de l’utiliser pour rédiger