Freudisme Inconscient

nombre de mécanismes inconscients viennent troubler la connaissance que j'ai de moi-même. La conscience de soi est-elle le témoignage de ce que nous sommes, de sorte que la conscience serait le tout de soi-même, nous apportant une connaissance intime et vraie de notre être, ou la conscience que nous avons de nous-mêmes n’est-elle qu’une partie de ce que nous sommes, de sorte qu’il y aurait en nous une part d’inconnu, qui nous serait cachée et qui prendrait la forme d’un inconscient ? La conscience semble

dépend de l’agent et ce qu’il fait en sachant ce qu’il fait. Il est alors l’auteur de son acte. Le problème devient plus complexe quand on a des raisons d’attribuer un acte a des intentions inconscientes. Si j’ébouillante quelqu’un « par accident », et si cet acte est en réalité l’expression d’un désir inconscient (s’il est ce que la psychanalyse appelle un acte manqué), puis-je me prévaloir de mon aveuglement pour m’exonérer de toute responsabilité ? Certes, ma responsabilité est atténuée du fait du

manger, afin de retrouver le fonctionnement normal de ses menstruations, pour pouvoir tomber enceinte. Voilà qu’un l’on cheminement va se mettre en place de vouloir se connaître, parce que cette jeune femme sera obligé de rechercher les causes inconscientes qui l’ont entraîné à s’interdire de devenir une femme sexuée. Il y a de multiples raisons possibles qui peuvent nous engendrer le désir de vouloir nous connaître. Cependant, de vaste obstacle freine cette connaissance de soi. La psychanalyse

Voilà plus d'un siècle et demi déjà, FREUD 1856 / 1939, a plongé dans notre inconscient, pour nous démontrer que le "Moi" n'était pas maître dans sa propre demeure ! Dans l'obscurité de "nos âmes", un magicien cherche à découvrir des secrets interdits, luttant contre les forces du "mal" et les esprits des anciens. Autant de souvenirs d'enfance qui expriment des peurs ancrées dans chacun d'entre nous. Comment puis-je expliquer ce qui se passe, ce que cela signifie et vers quoi cela entraîne

comme un code dont la valeur tient à l’efficacité d’application. - Autrement dit, selon Pascal, un « savoir » animal en tant que savoir appris et réfléchi représenterait une transgression des limites naturelles. 2) La connaissance animale est inconsciente et ne progresse pas - Les animaux ne perçoivent pas la raison qui les pousse à agir, ils n’en ont pas conscience ; ils agissent, en effet, poussés par un « mouvement occulte ». C’est bien ce qui contribue à définir l’instinct animal. - Le savoir

la pensée : selon ces auteurs, derrière les représentations et les activités conscientes du sujet, il faut soupçonner des forces psychiques inconscientes, qui échappent à la maîtrise et à la volonté du sujet lui-même. Nietzsche décrypte, derrière les affirmations conscientes d'un philosophe, des "confessions involontaires", un réseau souterrain et inconscient d'instincts, de désirs, de forces obscures qui le déterminent à engager sa réflexion dans telle ou telle direction. Marx, de même, dénonce

l’autre cherchant à le combler. Ainsi il n’est pas rare q’ un individu porteur d’un malaise inconnu de sa propre conscience, soit sujet à des pulsions, qui si elles ne sont pas maîtrisées rapidement conduisent au meurtre. On parle alors d’une force inconsciente, non maîtrisée. Ainsi, comment l’inconscient peut-il amener l’Homme à supprimer la cause de son mal être sachant que la conscience voudrait toujours « posséder » l’autre afin de retrouver la relation passionnée entretenue jusqu’à maintenant ?

seconde, seul l'homme détient les deux ! "Pensée fait la grandeur de l'Homme" Blaise Pascal Conscience et inconscient s'oppose t-il ? La conscience s'oppose a l'inconscient quand il y a refoulement. En fait, si l'inconscient dynamique existe (produit de cette opposition, de ce refoulement) alors sa définition s'oppose à celle de conscience. Mais dans un autre sens, conscience et inconscient sont fortement liés.Car la pensée repose sur l'action, pour savoir il faut ignorer. Pas de premier plan sans

obsessionnels, etc.) apparaissent dans la conscience sans que nous puissions accéder réellement à leur origine. Les données psychologiques paraissent ainsi très lacunaires et même souvent incompréhensibles. Seule l'existence d'actes et d'états inconscients, venant s'interpoler entre ces données, peut leur donner sens et cohérence. Pour Freud, les données immédiates de la conscience « sont insuffisantes » pour donner raison de la totalité des actes psychiques. Au contraire, il est nécessaire de

interdites), perverses qui fonctionne de façon indépendante. Rappel de la mise en place du refoulement : la représentation et l’affect (charge pulsionnelle) sont séparés. Dans le refoulement les deux sont scindés et c’est la représentation qui devient inconsciente, l’affect et le pulsionnel se trouvent libérés. Si tout se passe bien c’est cette charge qui va se trouver utilisée dans la sublimation (curiosité sexuelle, curiosité d’apprentissage) si cela ne passe pas bien c’est cette même charge qui va donner