Friches Industrielles Liban

UNIVERSITÉ LIBANAISE INSTITUT DES BEAUX-ARTS II DEPARTEMENT D’ARCHITECTURE. Réhabilitation de friches industrielles Impacts sur la perception du patrimoine PRESENTE PAR : NOUR EL KHAZEN SOUS LA DIRECTION DE : MR. HANI ZGHEIB AVRIL 2012 « Rien de plus tragique, pour qui crut mourir, qu'une lente convalescence. Après que l'aile de la mort a touché, ce qui paraissait important ne l'est plus ; d'autres choses le sont, qui ne paraissaient pas importantes, ou qu'on ne savait même pas exister

localisation du bâti dans un état de vétusté avancée (confort, sécurité et image) nécessitant son élimination. Axe de Tripoli D E Limite de l’aire d’étude Bon état Moyen état T R I P O L I Epau Gr:02 source: Mauvais état Terrain Vide Friche L A Lecture de l’état du bâti Bon Etat R U E Lycée Thâalibia Centre d’Urgence CPA D E T R I P O L I Siège Administration & Bâtiment Collectif Mosquée Bâtiment Collectif Epau Gr:02 source: L A Lecture de l’état

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pollu- | |- Réseaux de transport efficaces. |tion et de la misère du centre | |- Zones industrielles, infrastructures lourdes (aéroport) en banlieue. |(ex. : Cocody à Abidjan). | |b) La ville nord-américaine |b) Des modèles différents

décennie 50-60 on observe le déclin du rail au profit de la route, les camions supplantent les trains et le trafic de la ligne décline. En 1980 le dernier train circule avec trois wagons de dindes congelées. Désaffectée la ligne devient une friche industrielle urbaine envahie par les herbes folles. Dès 1979, l'architecte américain Steven Holl propose de réaménager les voies suspendues en jardin et les immeubles en lofts et logements sociaux. La destruction parait inévitable, sous le mandat de Rudy

peintures sont volontairement provocatrices. 7. La Ribaute La Ribaute est le nom donné à l’atelier et aux terrains environnants d’Anselm Kiefer. Cette propriété se trouve à Barjac dans le Gard. Le peintre y réside depuis 1993. C’était une friche industrielle de 35 hectares. On peut trouver, sur ce site, de nombreux couloirs, des grottes, des labyrinthes et des anciennes usines. Le peintre a également conçu de nombreuses structures telles que des maisons et des tours qui accueillent ses œuvres.

Eurasanté (biologie, santé, nutrition) à Lille-Loos. En langage universitaire, EuraTechnologies est même un « cluster », un endroit où se concentrent toutes les compétences autour des TIC (technologies de l'information et de la communication). L'ancienne friche Le Blan-Lafont abrite depuis le 28 mars 2009 des startup, des PME d'une quarantaine de salariés, l'antenne d'une école d'ingénieurs et des instituts de recherche... C'est au milieu de toutes ces connexions que Simon Vandermeersch joue les chefs d'orchestre

l’ancienne Chaufferie de l’Antiquaille à Lyon et les restes d’un passé industriel laissés à l’abandon revivent le temps d’une biennale pour devenir espace d’exposition. Le concept de friche industrielle en Europe remonte aux années 1970 où on a spécifiquement nommé sous ce vocable des territoires laissés vacants par l’industrie, après le départ d’activités économiques. Un nouveau type de territoire lié aux mutations industrielles s’est développé en masse, représentant alors le syndrome le plus évident

depuis 2000, un mouvement de restauration des friches s’amorce. Les friches industrielles sont des terrains laissés à l’abandon à la suite de l’arrêt de l’activité industrielle qui s’y exerçait. Ces friches pourront faire l’objet d’une réhabilitation. Cependant, le problème est que ceci est un travail long et complexe. En effet, il faut d’abord élaborer un projet clair et précis et de ce fait établir préalablement un diagnostic des potentialités de la friche. Par ailleurs, les communes qui sont compétentes

nombreuses contraintes environnementales.  De plus, le projet prévoit de réaménager, de délocaliser ou de détruire les "éléments dérangeants" tels que la gare de Perrache, les bâtiments industriels et le marché gros qui contribuaient à donner une image négative du sud de la presqu'île, vaste friche industrielle coupée du reste de la ville et dont les habitants qui étaient séparés du reste de la population lyonnaise furent contraints de créer leur propre "village" autour d'un bâtiment emblématique