Friedman Samuelson

la fin des années soixante, la thèse des keynésiens. Nous étudierons cette courbe dans différents pays. Dans une deuxième partie, nous verrons l’évolution de la courbe de Phillips du début des années soixante-dix à nos jours. La thèse de Milton Friedman et des monétaristes servira de support à notre étude. I – La courbe de Phillips - la thèse des keynésiens 1- La démarche empirique de Phillips. Un chômage faible entraîne une demande de travail forte, la concurrence entre les employeurs

imprévisibles, et un rôle déstabilisant et amplificateur du cycle. Deux auteurs seulement, aux antipodes l'un de l'autre, l'économiste libéral Milton Friedman et le socialiste Meade, défendirent les changes flottants. Certains, comme Mundell, ont parlé de "pamphlets" à propos de ces textes plus que d'écrits économiques scientifiques. Pour Milton Friedman la monnaie est une marchandise comme une autre. Le prix des devises doit s'apprécier librement sur un marché libre. Le pays qui se laissera aller au

grande œuvre historique du monétarisme. La première, A Monetary History of the United States, écrite en 1963 par Milton Friedman et Anna Schwartz, a fourni une justification historique aux théories monétaristes de Milton Friedman et de ses disciples. Meltzer n’aurait pas écrit son livre sans ce dernier : il situe à maintes reprises son raisonnement par rapport celui de Friedman et Schwartz, alors qu’il ne fait référence à aucun moment à des ouvrages classiques sur l’histoire d’autres banques centrales

la croissance, il faut agir sur le niveau des investissements - Libre marché = grande instabilité. - Refus de la neutralité de la monnaie. Conclusion :  Père de la macroéconomie  Opposé aux néoclassiques V. Courant monétariste Milton Friedman (1912-2006) - Lutte contre l’inflation (car cause monétaire). - Rôle de l’Etat : Veiller à la stabilité des prix. - Plus de politiques monétaires et budgétaires car susceptible d’être inflationniste. Conclusion :  Diamétralement opposé à Keynes

La Commission prudente sur la croissance française La Commission européenne a annoncé qu'elle prévoyait une croissance de 1,7% pour la France en 2011, loin de l'optimisme de Bercy, qui annonce 2%. Les prévisions se succèdent sur la croissance française en 2011. Bruxelles annonce 1,7%, Bercy, 2%.  Ce mardi, la Commission européenne a relevé sa prévision de croissance pour la France d'un tout petit point de 1,6% à 1,7%, mais reste prudente quant à capacité du pays à concrétiser sa sortie de crise

(difficulté de l’anticipation), la viscosité des prix et des salaires, les imperfections du marché en général qui appellent l’Etat à intervenir sur le marché pour les corriger en utilisant l’outil monétaire. 6. Monétarism e Représentant : Milton Friedman Ouvrage-clé : Une théorie de la fonction de consommation (1957) MF A la relance ponctuelle et rendue nécessaire par la conjoncture que propose Keynes, MF oppose une politique monétaire continue qui suit la progression de la croissance. «L’inflation

peut persister si longtemps. Ce livre est l'un des plus controversés jamais écrits. De nos jours encore, les économistes ne s'entendent pas sur les causes de la crise des années 30. Par exemple, les économistes monétaristes qui s'inspirent de Milton Friedman, de l'Université de Chicago, affirment qu'elle a été causée par de mauvaises politiques monétaires et non par des politiques budgétaires. Cependant, la Crise des années 30 et l'ouvrage de Keynes, ajoutés au fait que les gouvernements ont montré

la MM augmente et si la masse de transactions reste constante cela peut entraîner l’inflation. * Fisher a mis en lumière la notion de vitesse de circulation de la monnaie, l’équation devient MV=PT .Après avoir prolongé ces études, Milton Friedman propose d’assurer une croissance régulière à la MM d’une ampleur comparable à celle du PNB. * En conséquence, un pays qui souhaite maîtriser son taux d’inflation à un niveau bas et stable doit viser une expansion de la masse monétaire qui est

TD ANALYSE ECONOMIQUE COEFF BUDG = (valeur d'un poste / total des depense) x 100 TAUX DE CROISSANCE = (Valeur arrivé / valeur depart) x 100 CALCUL DE VARIATION = (année de départ / année final) erev/cons = (Variation du revenu /consommation)/(variation du revenu/revenu) ep/cons= (variation de la consommation/la consomation) / (variation du prix/prix) = (variationde la consomation/consomation)x (prix/variation du prix) les propentions à consommer correspondent a des comportements

de vie » (F. Modigliani) : - endettement ( achat maison - épargne par la suite importante - désépargne en fin de vie A chaque âge correspond un niveau de consommation 4. Remise en cause de la théorie keynésienne par Milton Friedman Le comportement de consommation des ménages est fonction du revenu prévu (revenu permanent) et nom du revenu effectivement perçu à un moment donné (revenu transitoire)… Ce qui rend inefficace les mesures économiques ponctuelles telle que l’attribution