Friedman Samuelson

visés ? Sinon pour quelles raisons ? Dans le but de répondre à toutes ces interrogations, nous utiliserons la théorie keynésienne de la politique économique et les différentes critiques dont elle a fait l’objet, il s’agit de la critique de Milton Friedman, et de celles de la nouvelle macroéconomie classique également appelée école des anticipations rationnelles. Nous nous rendrons compte que malgré de nombreuses critiques de la politique conjoncturelle budgétaire, les Etats ne peuvent pas s’en passer

CONTEMPORAINES Françoise Pécoup Ce cours prolonge le cours sur les Courants fondateurs de la pensée économique de 1ère année par l’étude des courants contemporains. Plan du cours Chapitre 1 Néo-libéralisme et monétarisme (Hayek, Friedman, Becker…) Chapitre 2 La « nouvelle » micro-économie (théorie des jeux, néo-keynésiens, courants institutionnalistes) Chapitre 3 Les hétérodoxes (théorie de la régulation, économie des conventions) Bibliographie générale Beaud Michel

.............................. 18 Milton Friedman et le concept de revenu permanent .......................................................................... 20 3. a) b) La théorie de cycle de vie d’Ando Modigliani (1963) ............................................... 22 Le modèle de base .............................................................................................................................. 22 Le modèle étendu de Friedman .........................................

ultralibérales qui ne profitent pourtant qu’à une minorité de la population. La théorie prend racine dans les premières expériences réalisées par le psychiatre américain Donald Ewen Cameron. Ces expérimentations seront ensuite reprises par l’économiste Milton Friedman qu’il transposera à la sphère politicoéconomique. Pour appuyer sa théorie, Naomi Klein prend exemple sur quelques crises qui ont jalonné ces soixante dernières années. Afin de comprendre la théorie du choc, il faut remonter à ses sources, celles

précipitant les crises. * Au lendemain de la crise économique de 1974 et à la suite de l’échec des politiques de relance keynésiennes, l’Etat Providence est sérieusement remis en question. Sur le plan économique, les thèses monétaristes de Milton FRIEDMAN remettent en cause l’efficacité des politiques keynésiennes en leur attribuant la montée de l’inflation. Cette analyse monétariste repose sur un certain nombre de points. Le premier est que l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire

d’autres théories, les consommateurs sont tournés vers l’avenir. Dans ce cas, la consommation n’est uniquement fonction des revenus actuels. pas Selon la théorie du cycle de vie de Franco Modigliani et l’hypothèse du revenu permanant de Milton Friedman, la fonction de consommation est une fonction du revenu permanent. L’approche ricardienne de la dette publique utilise la logique du consommateur tourné vers l’avenir pour analyser l’impact de la politique budgétaire. 10 9 1- La logique de

approfondie dans un ouvrage de 1928, The money Illusion, notamment en produisant l'équation du taux d'intérêt réel. Dans l'analyse de Milton Friedman, l'illusion monétaire est due au fait que les agents font des anticipations adaptatives. Pour Friedman, les agents font des erreurs d'anticipation qu'ils ne corrigent que progressivement. En particulier, pour Friedman, les gouvernements trompent les agents économiques en faisant varier de manière discrétionnaire et inattendue la quantité de monnaie. Il

Fisher, qui donna sa forme la plus aboutie à la théorie quantitative de la monnaie. Le courant monétariste, animé par des néolibéraux, repose sur une interprétation particulière de l'équation de Fisher. L'école monétariste, représentée par Milton Friedman ;Prix Nobel en 1976. année 20, 60 quant puis monétariste (ensemble) La monnaie n'est pas neutre. On sait que la quantité de monnaie a une relation étroite avec le niveau des prix. Trop de monnaie mène à l'inflation. Pas assez de monnaie peut provoquer

La monnaie L’invention de l’économie monétaire : Pour les classiques et néo-classique la représentation est la suivante : On a une économie réelle (valeur fondamentale) venant principalement de la production, la monnaie se trouvait au dessus « La monnaie c’est comme l’huile dans le moteur ». L’économie réelle est une économie de troc. La monnaie n’est qu’un intermédiaire neutre. Pour Keynes Le schéma est différent ya pas une économie mauvaise ou bonne, il n’y a pas de hiérarchie

supérieure à l’offre l’inflation augmente. Il faut aussi que la richesse créée soit suffisante pour payer les intérêts de la dette sinon ces derniers seront de plus en plus lourds et la dette va s’aggraver. 3. Les autres critiques D’après Milton Friedman, les politiques conjoncturelles sont impossibles à mener car il se passe trop de temps entre l’apogée de la crise et le moment où les effets des politiques appliquées se font ressentir par la population. Pour lui, les politiques conjoncturelles ne