Friedman Samuelson

Milton Friedman "l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire en ce sens qu’elle est et qu’elle ne peut être générée que par une augmentation de la quantité de monnaie plus rapide que celle de la production". Cette affirmation devenue célèbre est rattachée à la théorie de la neutralité monétaire à long terme, selon laquelle les politiques monétaires n'affectent pas la valeur des grandeurs réelles à l'équilibre. Le mot souligné "à long terme" a son importance ici, car Friedman ne nie

intéressant de le comparer. À partir des années 1970, avec la montée en puissance des pensées de Milton Friedman et de Friedrich Hayek le mot néo-libéralisme prend un autre sens. À partir de Michel Foucault, le néolibéralisme est alors présenté comme une technique de gouvernement, une politique économique et sociale étendant l'emprise des mécanismes du marché à l'ensemble de la vie. Friedman et Hayek sont désignés en France comme en étant en grande partie les inspirateurs bien qu'ils ne se soient

l’intégralité de leur revenu, pour stimuler la croissance, il faut stimuler l’offre. - David RICARDO : spécialisation des Etats dans l'échange : théorie de l’avantage comparatif Les auteurs néo-classiques et contemporains (20ième siècle) - Milton FRIEDMAN : Ecole monétariste : mouvement des prix par variation de la masse monétaire – Arthur LAFFER : Limitation de la pression fiscale 2.Le courant keynésien - J. M. KEYNES : théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la demande (1936)

des prestations sociales et la création d’emploi public. Il s’agit de stimuler la demande et de provoquer augmentation de la X° et donc augmentation de l’emploi. √→ la politique de rigueur : la priorité est la lutte contre l’inflation (inspiration FRIEDMAN). L’objectif est de restreindre la demande car cela génère de l’inflation par la recherche de l’équilibre budgétaire. Pour cela, il y a politique restrictive de crédit (en augmentant les taux d’intérêts) et l’indexation des salaires (lien entre inflation

converger vers un équilibre de plein emploi, il faut une intervention extérieure. L’intervention de l’Etat s’inscrit dans le cadre de politiques budgétaires, dite aussi politiques de relance. La portée des travaux de Keynes sera t-elle que Milton Friedman, le pire critique de Keynes, dira « nous sommes tous des Keynésiens. » Section 2 : Les fondements du modèle. 2.1. Les hypothèses principales ✔ Hypothèse 1. Une économie d’incertitude : une économie dans laquelle les individus

La consommation ne dépend-elle que du revenu ? Résumé: La consommation joue un rôle essentiel dans l'analyse économique. En effet, elle constitue un élément important de la demande. Source de débouchés pour les entreprises, elle représente un des principaux facteurs du dynamisme d'une économie et donc de la croissance. L'inquiétude actuelle du gouvernement français concerne la baisse de la consommation et de ses conséquences sur l'activité économique.  I. L'influence du revenu sur la consommation 

d’exclusion → non rivalité dans la consommation 2 → obligation d’usage/ En pratique, aucun bien ne satisfait pleinement ces propriétés, à l’exception de certains services comme la défense par dissuasion nucléaire. As Robert Barro said once : - Milton Friedman asked me once to name a program I thought that people were getting their money out of in terms of a government program - So I answered national defence. - And then he said, well give me another example’. En fait, lorsqu’on y pense, on doit admettre

travail, et non les conditions économiques dans leur ensemble. 3 La réponse de Keynes : le chômage involontaire Il faut rappeler que John Maynard Keynes (1883-1946) est considéré comme l’un des économistes les plus importants de l’histoire. Milton Friedman, pourtant un de ses plus farouches adversaires, disait : « nous avons tous été, un jour ou l’autre, des keynésiens ». Keynes écrit son ouvrage essentiel « La théorie générale de l’intérêt de l’emploi et de la monnaie » (1936) dans le contexte de

D’Amérique actuelles). C’est Fisher, en 1911, qui a en premier proposé une formule de la théorie quantitative de la monnaie (I) ; théorie qui implique des conséquences économiques tel que l’inflation et la neutralité de la monnaie (II). En 1956, Friedman reformule la théorie (III). I. La formule de Fisher A l’époque de Ricardo, l’or et l’argent était la monnaie de transaction. Selon lui la valeur de ces dernières dépendait du facteur temps de travail : c’est à dire que le nombre d’heure de

autres marchés peut entrainer un équilibre économique sur le marchés des biens et des services. Mais des économistes post-keynesien ont mis en avant des théoris qui contredise cette idée de déséquilibre équilibrant de Keynes. C'est le cas de Milton Friedman qui développe l'idée que le revenu n'est pas un phénomène momentanée mais un élément à long terme calculé par les ménages qui vont faire des choix de consommation et qu'une baisse de revenu n'entrainera pas forcément de baisse de consommation car