Friedrich Glasl

Français : dissertation La raison conduit-elle au bonheur ? Le bonheur est sans doute l’aspiration de tous les hommes. Quelles que soient les méthodes pour accéder à ce bonheur, ellessont bien évidemment différentes selon la personne. Dès lors, on peut se poser la question de savoir quelle est la meilleure « méthode » pour être heureux. La plupart des philosophies dictent un mode de conduite pour accéder au bonheur. Le bonheur, tout d’abord, et quelle que soit la philosophie empruntée, est

matérialiste contemporain, les sciences naturelles avec leurs théories darwinistes, leurs systèmes cosmiques, leur chambre obscure si pleine de vie, etc..., je ne vois toujours rien de plus remarquable à te recommander que l'Histoire du Matérialisme,de Friedrich-Albert Lange (Iserlohn, 1866), un livre qui donne infiniment plus que le titre ne promet, et qu'on peut regarder et parcourir toujours de nouveau comme un vrai trésor. Étant donnée la direction de tes études, je ne vois rien de meilleur à te nommer

La chronique d'Anne Dufourmantelle : Voyage au bout de soi Avec les jours de début d’été vient l’envie de se dépayser. Changer d’horizon, rompre avec les habitudes. Le quotidien soudain nous lasse, la chaleur voudrait que l’on déserte les rues trop souvent fréquentées pour s’échapper un peu, prendre le large... Descartes, dans ses Méditations (1), assurait que l’on ne pouvait mieux trouver le monde qu’auprès d’un poêle, réfugié dans sa chambre. Tout est là, nous dit-il, nul besoin d’horizon

déjà faut que tu définisses ce que c´est la conscience, et la conscience de soi car si ta pas conscience que t´existe, tu peux pas te connaitre donc sans conscience pas de connaissance. Alors, pour la partie favorable, tu peux parler de l´introspection , que c´est un moyen d´atteindre la connaissance de soi, ensuite tu peux dire que la conscience est une condition universelle de toute connaissance, là tu parles des deux sortes de conscience, psychologique et morale, tu dis ce qu´elles aportent

Citations : Pascal, Les pensées : Fragment 22: « condition de l’homme. Inconstance, ennui, inquiétude . » Fragment 36: « les hommes s’occupent à suivre une balle et un lièvre, c’est le plaisir même des rois. » Fragment 41: « Imagination. C’est cette partie dominante dans l’homme, cette maîtresse d’erreur et de fausseté, d’autant plus fourbe qu’elle ne l’est pas toujours, car elle serait règle infaillible de vérité si elle l’était infaillible de mensonge . » Fragment 97: « Grandeur. Les

Il faut toujours se méfier de la rhétorique de Nietzsche, puisqu'elle n'est précisément que cela: une rhétorique. Qu'est-ce que la guerre ? On se tromperait en voyant dans ces lignes une préfiguration de la guerre civile planétaire qui devait débuter dans les rues de St Petersburg et de Berlin; tout au contraire. Il n'est pas question ici des orages d'acier et des affrontements de rue (que l'esprit nietzschéen conduit plutôt à mépriser, directement ou indirectement), mais du classique combat du philosophe

Maurice Maeterlinck Sa Poésie: Son premier recueil poétique Serres chaudes paraît en 1889 chez l’éditeur de Paul Verlaine. Ces vers montre une « dépersonnalisation de l'écriture » et réalisent en partie l’idéal mallarméen :ce qui passe par notamment la suggestion, comme essence de « tous bouquets ». Par la répétition du mot, Maeterlinck atteint une vibration spirituelle, « une résonance intérieure ». Explication de « l'idéal mallarméen »: Stephane Mallarmé ( a été l'initiateur, dans la

Jenny von Westphalen, il est éloigné à l’Université de Berlin en 1836. De 1836 à 1841 Karl Marx fait des études de droit, de philosophie et d’histoire. Il fréquente le milieu des jeunes hégéliens de gauche (disciples radicaux du grand philosophe Friedrich Hegel, 1770-1831). En 1841 il est reçu docteur en philosophie mais ne peut entrer dans l’enseignement comme il le souhaiterait à cause de ses opinions politiques. Il devient journaliste puis rédacteur en chef d’un journal démocratique révolutionnaire

Commentaire de la scène 3 de l’acte I Avant : Mais pour amener Phèdre à révéler son secret, elle use d'arguments d'ordre très différents ( la souffrance que Phèdre inflige à son entourage ; l'offense aux Dieux, «auteurs de votre vie» (vers 197), condamnation du suicide qui est, en fait, plus chrétienne que païenne ; la trahison envers ses enfants, dont le trône est menacé par le «fils de l'étrangère» (vers 202), c’est-à-dire Hippolyte ; l'appel à la pitié enfin). Elle est aussi effrayée par

Sujet : A Quoi Reconnait-on le vrai ? La vérité, c’est l’accord de la pensée et de la réalité. La pensée doit être conforme à la réalité pour dire que nous somme sans le vrai. Sinon, nous somme dans l’erreur. Ainsi, le critère qui nous permet de distinguer le vrai du faux est simplement la confrontation avec la réalité, c'est-à-dire faire des expériences. Cependant, les résultats de ces expériences ne sont pas forcément les mêmes en tous lieux. Il serait donc intéressant de savoir s’il existe