Friedrich Hegel Esthétique

Suicide La seule à pouvoir s’infliger la mort avec l’intention de le faire est l’être humain. droit de chacun de choisir le moment et les modalités de sa mort. Le suicide, pour être pleinement un acte dirigé CONTRE soi est souvent assimilé à de la lâcheté, au sens où l'on blâme celui pour qui la vie, une fois devenue un poids, un fardeau, une charge pesante sur son être, déciderait de s'ôter la vie : de se tuer soi. il a fait le choix de débattre entre lui et la vie et en définitive d'abandonner

1) Les héros dans la tragédie Dans la mythologie grecque, un héros était un dieu ou demi-dieu, par sa naissance et ses exploits c'était un être d'exception. Le héros est une personne hors du commun, ce qui contredit subtilement la catharsis. En général, nous pouvons décrire un héros tragique par : sa position sociale/politique, ses qualité(et ses défauts), son pouvoir, son malheur(exemple Andromaque) Les Personnages principaux dans les tragédies sont des rois, des généraux : des personnes détenant

Lecture analytique « Autorité », Encyclopédie (1751-1772), D. Diderot. Structure. Il s’agit d’un texte de 4 paragraphes avec 2 thèses. * annonce avec la négation « aucun » * affirmation : Diderot va nous montrer méthodiquement qu’une seule autorité existe, celle de Dieu. * concession : « si » * 2ème paragraphe : force → annoncé avec l’impératif à la l.6 formule injonctive : qu’on examine bien et on la fera toujours remonter * 3ème paragraphe : consentement Analyse.

a) Biographie : Pierre Bettencourt est né le 28 juillet  1917 à Saint-Maurice d’Etelan, en Normandie (France), dans une famille de militaires et de juristes, très catholique. Il a vécu durant l’époque contemporaine. Il est mort le 13 avril 2006. Il était un écrivain, poète, éditeur, voyageur et peintre français. Il publie cette nouvelle en 1971. b) Contexte : - Historique ; Epoque contemporaine, en France. - Politique/religieux ; Religion catholique, très stricte. - Economique/social ;

dialectique du maître et de l'esclave telle qu'elle est conçue par Hegel (Phénoménologie de l'esprit, chapitre 4), il est possible d'envisager la « lutte à mort » qui se déroule entre les consciences en présence comme étant « virtuelle » (plutôt qu'au sens d'un exercice effectif, ou « physique » de la force). C'est pour la reconnaissance et dans cette mesure, par le regard, qu'elle se déroule. Mais l'état de soumission qui résulte selon Hegel pour celui qui valorise le plus la vie, soit pour celui qui,

Ainsi commence, sous la forme d'un roman d'aventure, un voyage au pays des philosophes, en quête de réponses dans une longue visite des principales figures de la philosophie: de Socrate à Sartre en passant par Platon, Aristote, Descartes, Spinoza, Hegel et bien d’autres. Mais au fil de l’histoire des faits troublants apparaissent, à commencer par des cartes reçues par Sophie qu’elle doit faire joindre à une inconnue nommée Hilde MØller Knag et les mystérieuses manifestations du père de cette dernière

Hegel a inventé la philosophie de l’histoire telle que nous la connaissons. Tous les philosophes qui l’ont suivi sont redevables de l’introduction de la dialectique dans la pensée de l’histoire (Marx, Sartre, …) Selon Hegel, l’histoire est le jeu d’une dialectique dont se sert la Raison pour se réaliser, autrement dit l’histoire selon Hegel est un processus d’autoréalisation de l’Idée, dont la fin est la liberté humaine. « L’histoire est le processus par lequel l’esprit se découvre lui-même

est liée aux possibilités d’un langage collectif : elle trahit la singularité de l’individu, dont la vérité est donc ailleurs. 4 Conscience, temps et intentionnalité Conscience et savoir En termes plus philosophiques que psychologiques, Hegel affirme qu’elle est identique au savoir, et Schopenhauer qu’elle « consiste dans la connaissance » – cette dernière pouvant être immédiate ou synthétique (comme l’affirmait déjà Kant : le moi résulte de la synthèse de ses représentations). Conscience

La liberté est-elle compatible à l’obéissance? Toutes notre vie, nous devons faire face à des contraintes, à des ordres et se plier à des lois. On peut considérer l’obéissance, dans un premier sens, faire ce que veut un autre. Tandis que la liberté, c’est faire ce que nous voulons afin de satisfaire nos désirs. À première vue, l’obéissance semble incompatible avec la liberté. Puisque l’obéissance est un acte de soumission et brime notre liberté de choix. L’obéissance est définissable en deux

son essence, sa destination. C’est d’ailleurs par “suprême destination” que Hegel désigne le but premier de l’art, sa raison d’être, la finalité qu’elle a pour nous humains qui le produisons, et qui, Hegel défend, s’est perdu au cours de l’histoire. Or qu’était-ce pour lui l’art à son commencement? Hegel, philosophe allemand né au siècle des Lumières et mort en 1831, s’intéresse à l’art dans une œuvre intitulée Esthétique, publiée en 1830 et dont le premier tome contient le texte concernant cette