Front de libération nationale

Dip : coutume et traité Des 1982, le contexte politique du Nicaragua est instable. De nombreux groupes contre le pouvoir en place se sont formés, c’est ce qu’on appellera les Contras.( des groupes maoïstes, comme le MILPAS, qui étaient aussi opposés à Ortega , le FDN somoziste, les groupes indiens, Kisan, Matama et d'autres, des ex-sandinistes déçus comme l'ARDE, Eden Pastora ) Les États-Unis, alors dirigés par le président Ronald Reagan décrétèrent un embargo et vinrent en aide aux Contras

un puissant front de résistance au colonialisme car elle structure le mouvement indépendantiste en lui servant de « ciment idéologique », c'est vraiment une part importante de son dynamisme. ==>PALIKA Suite aux phénomènes idéologiques liés à mai 68, plusieurs groupes de radicaux Kanaks commencent à revendiquer l'indépendance, avec en particulier « Les Foulards Rouges » et « Groupe 1878 » qui s'unissent au congrès de Temala ( nom d'une rivière ) au sein du Parti De Libération Kanak =>

I- La force politique de gauche au El Salvador Quels sont les origines des partis de Gauche au El Salvador ? La politique de El Salvador est structurée autour de deux principales forces politiques : le Front de Gauche, Farabundo Marti de Libération Nationale ou FMLN et l’opposition de Droite, Alliance Républicaine Nationaliste ou ARENA qui a émergé en 1981. Lors des élections présidentielles ou municipales, on constate une domination totale de la part de ces deux partis. Le

histoire, par moment le récit revient au présent quand un fait ce produit en même temps que le vieux Kanak raconte son histoire, le récit ce passe pendant l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie qui a été revendiquée, à partir de 1985, par le Front de Libération nationale Kanak Socialiste (FLNKS). * Gocéné a raconté son histoire car les deux compatriotes indépendantistes n’accepté pas Francis Caroz qui est l’ami de Gocéné depuis l’exposition coloniale, il a raconté son histoire pour démontrer aux deux

Jean-Marie Tjibaou est un homme politique néo-calédonien, dirigeant indépendantiste kanak (né à Tiendanite, dans la commune de Hienghène en Nouvelle-Calédonie le 30 janvier 1936 — mort à Ouvéa le 4 mai 1989). En juillet 1983, il participe, pour le Front Indépendantiste, à la " table ronde " de Nainville-les-Roches, avec, entre autres, Jacques Lafleur. Novembre 1984, Jean-Marie Tjibaou est placé à la tête du FLNKS lors de sa création. Il devient bientôt président du Gouvernement Provisoire de Kanaky

Il s’agit cette fois d’autoriser le président de la République à négocier un traité avec le futur gouvernement composé du Premier ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat chargé de l’exécution des lois et de la direction de la politique nationale. Derrière ces formules quelque peu complexes, le référendum a en fait pour but de faire approuver par les Français les accords d’Evian. Dans un climat de soulagement créé par la perspective de la fin de la guerre d’Algérie, les « oui » l’emportent

C’est ses transformations qui vont apporter les différents conflits (politiques, culturelles, économiques, etc.[8]). Tout l’enjeu de la discorde repose sur des positions politiques de l’État Français. Face a cette discorde le FLKS (Front de Libération Nationale Kanak et Socialiste) et le RPCR (Rassemblement Pour la Nouvelle-Calédonie dans la République) sont les principaux mouvements d’opposition contre l’État Français. Leurs Actions sont basées sur le transfert des compétences régaliennes et

étant noir lors des années trente. 9°) Dans le début du roman, le narrateur fait référence au évènement de 1988. Le nom évènement est donné aux quatre années, de conflit en nouvelle Calédonie, qui se sont déroulés de 1984 à 1988. Le Front de libération nationale kanak et socialiste (rassemblement de partis) décident de boycotter les élections territoriales qui ont lieu, ils coupent les routes en dressant des barrages, et fondent un gouvernement provisoire en ayant pour but d’obtenir l’indépendance

1988 : Les électeurs sont appelés aux urnes pour adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie, qui fait suite aux « accords de Matignon » entre l’Etat, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste). Les résultats du vote sont très favorables au nouveau statut (79,99 % des suffrages exprimés). Mais le taux d’abstention, une fois encore, est particulièrement élevé, puisqu’il atteint 63,11 %. Ce chiffre s’explique

qu’en cas de réponse positive. est une procédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, qui ne sera adopté qu’en cas de réponse positive. La c onstitution prévoit quatre cas de référendum : trois nationaux, pour l’adoption d’un projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. et l’autorisation de la ratification d’un traité (art.11) et pour réviser la constitution (art.89), et un local, pour soumettre