Front militaire

conflit. 1er novembre 1954 : « Attentats de la Toussaint ». Entrée en scène du FLN (Front de libération nationale). Réponse rapide de la métropole. Envoi de troupes pour des opérations de « maintien de l’ordre ». Expliquer ici qu’on n’emploie pas le terme de guerre. Insister sur l’intransigeance de la France face à ces attaques. Etude du discours de Pierre Mendes France (doc 5 p.239). Pour la France ces opérations militaires visent des terroristes (fellaghas) et non des Algériens. 2. La radicalisation

COMMUNIQUER POUR RESISTER Dès l’été 1940, malgré le traumatisme de l’effondrement militaire et politique, des refus s’expriment : refus de la défaite de et de l’asservissement, refus du démantèlement du territoire national, refus des régimes d’oppression instaurés par l’occupant allemand et le régime de Vichy. Ce choix est celui d’une minorité de femmes et d’hommes issus de toutes les couches de la société appartenant à toutes les familles de pensées politiques, religieuses et philosophiques

mères (doc. 2, dossier 2). Pour autant, les femmes qui remplacent les hommes pourront-elles réussir dans leurs nouvelles tâches ? C’est la question que se posent les hommes qui voient des femmes remplacer leurs jeunes collègues masculins partis au front. C’est ainsi le cas dans les écoles primaires de garçons. Les 1 institutrices qui y enseignent maintenant sauront-elles se faire respecter des élèves qui avaient auparavant des hommes en face d’eux (doc. 3, dossier 2) ? Et réussiront-elles à

et l'évolution des armes. Les armes des musées sont ressortit et remis a jours Les front vont alors être équiper en quelque temps d'arme surpuissantes et redoutable tel que le lance flamme, , les grenades, les mortiers, les gaz toxique ou les chars. Le progret dans l'aviation va permettre l'utilisation d'avion de combat et d'observation. Une nouvelle mobilisation de soldats va se remettre en place puisque les fronts de vident. Pour ce développement, il faut beaucoup d'argent c'est pourquoi les pays

La Chanson de Craonne (du nom de la commune de Craonne) est une chanson contestataire, chantée par des soldats français durant la Première Guerre mondiale, entre 1915 et 1917. Elle est interdite par le commandement militaire qui la censure en raison de ses paroles antimilitaristes (« on s'en va là-bas en baissant la tête », « nos pauvr' remplaçants vont chercher leurs tombes »), défaitistes (« c'est bien fini, on en a assez, personne ne veut plus marcher ») et subversives incitant à la mutinerie

HISTOIRE DES ARTS DIPLOME NATIONAL DUBREVET SESSION 2012 ART – ETAT – POUVOIR LA PREMIERE GUERRE MONDIALE LA VIE AU FRONT Comment tant d’hommes ont-ils pu tenir si longtemps ? INTRODUCTION La dureté de la guerre frappe de plein fouet à la fois les soldats au front et à l’arrière, les civils. Au front, le renouvellement des troupes est incessant : ce ne sont pas les mêmes soldats qui tiennent les tranchées d’un bout à l’autre de la guerre. A l’arrière

paix. Ces derniers ont renforcé leur liens avec la Grande-Bretagne depuis quelques années. Après la victoire de Stalingrad, la Russie reprend le territoire anciennement occupé. L’Angleterre, de crainte d'être attaquée, souhaite ouvrir un nouveau front. Winston Churchill (Premier Ministre Anglais), Roosevelt (président des États-Unis) et le général de Gaule se réunissent à Casablanca le 24 janvier 1943 pour trouver une solution à l'invasion allemande. Leurs décisions sont les suivantes : concentrer

prédelle est appelée triptyque. Description du panneau de gauche : Sur le panneau de gauche des soldats en armes tournent le dos au spectateur et marche sous la brume. Les soldats avancent d’un même pas et se suivent le long des filets militaires vers le front. L’artiste parvient à donner un effet de profondeur et d’éloignement malgré l’étroitesse du format de se panneau. Deux soldats nous entrainent dans la marche et nous dirigent vers l’intérieur du tableau comme une invitation à découvrir

la veille et sur les murs séculaires, éclairait pleinement ces innombrables figures basanées qui toutes racontaient des périls passés et attendaient gravement les périls à venir. Les colonels de chaque régiment allaient et venaient seuls devant les fronts que formaient ces hommes héroïques. Puis, derrière les masses carrées de ces troupes bariolées d'argent, d'azur, de pourpre et d'or, les curieux pouvaient apercevoir les banderoles tricolores attachées aux lances de six infatigables cavaliers polonais

choses. Il est souvent aidé par Haie Westhus. Albert Kropp est un penseur et Tjaden lui, déteste Himmelstoss. Finalement, avant de repartir au front, le groupe de soldats s’est vengé de Himmelstoss en le coinçant seul puis en le frappant. Chapitre 4[modifier | modifier le code] La compagnie de Paul est agrandie par de nouvelles recrues et doit rentrer au front. Une nuit, des chevaux « crient » de douleur, mais personne ne peut les achever, c’est trop dangereux. Beaucoup de soldats meurent ensuite