Frou-frou

j’étais ton féal ; Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

dentelles, au manche de bois ou d’ivoire sculpté, protégeaient le teint du soleil en ajoutant beaucoup d’élégance à la toilette. Les dessous de la Belle Époque mettent à l'honneur la dentelle, les rubans, et représentent un peu l'âge d'or du frou-frou. La femme revêt, dans l'ordre : une longue chemise (en coton, en batiste, etc.), par-dessus laquelle elle lace son corset (qui n'est jamais placé à même la peau, ce qui le salirait trop vite et obligerait à des lavages et un rachat trop fréquents)

transnationale, entre aristocrates (de Boëldieu et von Rauffenstein) et hommes du peuple ? Le double prologue (2 à 5) expose ces deux lignes dramatiques et thématiques. La solidarité populaire, au mess des officiers français (2) passe par la chanson Frou-Frou, 5 la Joséphine qu’on se partage volontiers, et l’alcool qui rend fou quel que soit le grade. À la cantine allemande (5), elle est entre un Allemand et Maréchal, deux ouvriers mécaniciens. La distance instaurée d’emblée par l’homme de l’État-major

Muse ! et j'étais ton féal ;Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !Mon unique culotte avait un large trou.− Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.−  Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frouEt je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers

dernier jouait seul, de Funès montait sur le piano et chantait »[19]. Louis de Funès est alors un excellent musicien, selon Eddie Barclay[20], car il a l’oreille musicale – ce dont il se servira dans certains de ses films, tels que La Rue sans loi, Frou-Frou, Le Corniaud, La Grande Vadrouille, Le Grand Restaurant ou encore L’Homme orchestre – et possède une bonne connaissance du cinéma de son époque[réf. nécessaire]. Les débuts du comédien[modifier] En 1942, à l’âge de 28 ans, il décide de devenir

ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

velours (Cendrars) Souvent un seul terme de la comparaison est donné : - Boulets, mitraille, obus , mêlés aux flocons blancs, Pleuvaient…. (Hugo) - Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie (Ronsard) - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou (Rimbaud) La personnification : transforme un inanimé en un être vivant. Exemples : - La rue assourdissante autour de moi hurlait… (Baudelaire) - L’automne souriait… (Hugo) - Ô temps, suspend ton vol ! (Lamartine) - L’aurore

j'étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes

• la nature nourricière - auberge/loge - nourri le poète - adjectif mettant en valeur la tendresse • relation amoureuse Rimbaud/nature : - « Muse ! Et j’étais ton féal » - s’approprie et féminise la nature (« doux frou-frou ») - il trouve le bonheur dans la nature - « Petit poucet rêveur » : il se compare au petit poucet abandonné par les siens qui trouve un substitue de mère à la nature. - Un art poétique : écriture originale, thème original, bouleversement

classique : c’est un sonnet. Un sonnet est un poème de quatorze vers : deux quatrains (quatre vers) et deux tercets (trois vers) rimés. 2) Plusieurs figures de style * Une métaphore filée : le vassal de la Muse, la lyre * Une onomatopée : frou-frou (comme s’il entendait, dans les étoiles, le bruit de la robe de sa Muse) * Une hypallage : mes souliers blessés (au lieu de mes pieds blessés)