Frou-frou

Muse, et j'étais ton féal;Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou.Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiques De

ton féal ; Oh ! là ! là ! Que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

Muse, et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes

ton féal; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques, De mes

Son coeur ne se tient pas de joie ! Car la boulangère...—Elle ?—Oui dame ! Bernant Lustucru, son vieil homme, A tantôt couronné sa flamme... Enfants, Dominus vobiscum ! Place ! en sa longue robe bleue Toute en salin qui fait frou-frou, C'est une impure, palsembleu ! Dans sa chaise qu'il faut qu'on loue, Fût-on philosophe ou grigou, Car tant d'or s'y relève en bosse, Que ce luxe insolent bafoue Tout le papier de monsieur Loss ! Arrière, robin crotté ! place

et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes

habit blanc mal famé Son cœur ne se tient pas de joie: Car la Boulangère... - Elle ? - Oui dam ! Bernant Lustucru son vieil homme A tantôt couronné sa flamme... Enfants, Dominus vobiscum ! Place ! En sa longue robe bleue Toute en satin qui fait frou-frou, C'est une impure palsambleu ! Dans sa chaise qu'il faut qu'on loue, Fût-on philosophe ou grigou, Car tant d'or s'y relève en bosse Que ce luxe insolent bafoue Tout le papier de Monsieur Los ! Arrière robin crotté ! place, Petit courtaud, petit

j'étais ton féal ; Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes

j'étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers

blanc mal famé  Son coeur ne se tient pas de joie: Car la Boulangère... - Elle? - Oui dam!  Bernant Lustucru son vieil homme  A tantôt couronné sa flamme...  Enfants, Dominus vobiscum! Place! En sa longue robe bleue  Toute en satin qui fait frou-frou,  C'est une impure palsambleu!  Dans sa chaise qu'il faut qu'on loue, Fût-on philosophe ou grigou,  Car tant d'or s'y relève en bosse  Que ce luxe insolent bafoue  Tout le papier de Monsieur Los! Arrière robin crotté! place,  Petit courtaud