Frou-frou

qu'il est au dessus de tout ce qui est matériel et emploie un vocabulaire trivial. Métamorphose des lieux concrets en lieux magiques. Importance du thème stellaire "Mes étoiles". Rimbaud métaphorise les étoiles comme autant de présence féminine "frou-frou". En effet, les jeux d'échos phonétiques sont nombreux en dehors des rimes, on peut essayer d'en dresser un tableau   * Le type de rimes utilisé dans la première strophe est embrassé, ainsi que dans la deuxième strophe.   * Les vers 9-10 sont

qu'il est au dessus de tout ce qui est matériel et emploie un vocabulaire trivial. Métamorphose des lieux concrets en lieux magiques. Importance du thème stellaire "Mes étoiles". Rimbaud métaphorise les étoiles comme autant de présence féminine "frou-frou". 3°/ Raisons du rapprochement voyage-poésie a) La poésie et le voyage permettent d'accéder à des mondes nouveaux L'ailleurs "ombres fantastiques". Cela suggère aussi de nombreuses sensations "je les écoutais", "je sentais". b) Poésie et voyage

côté droit » - Thèmes positifs : La fugue et le rêve  :   ma Bohème« Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.– Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou »Sensation : « Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien »(Adolescence fugueuse, aventureuse. Veut partir sans but à l’aventure sans se soucier du lendemain, découvrir le monde, soif de liberté se prolongeant aussi dans sa vie avec ses nombreuses

indication de registre, facile à justifier. "Ma Bohême" est une fantaisie par son thème : l'errance insouciante et inspirée d'un jeune poète, la métamorphose "fantastique" (v.12) que l'imagination du poète impose au paysage ("ombres fantastiques"; "doux frou-frou" des étoiles). -Fantaisie sur le plan de l'écriture poétique : respect des règles du sonnet, vocabulaire familier et rimes cocasses. Un sonnet désinvolte : -Rimbaud choisi comme forme de poème le sonnet l'une des plus contraignantes

féal; (2) Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. — Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. (3) — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De

souligner le fait que le temps est compté et fait ressortir l'image de la précipitation. Cet homme voyageur serait-il influencé par la nature et ce qu'elle produit chez lui ? En effet, l'adjectif "doux" (V8) qualifie un bruit particulier, un frou-frou, de manière originale. De cet adjectif se dégage une sensation d'appaisement avec l'impression d'un bruit caressant l'oreille. Le poète utilise alors le sens du toucher pour désigner un son. De plus, l'utilisation des deux verbes "écoutais" (V9)

l’orphelin cherchant l’amour et la protection de la nature :      •    La nature est bienveillante et apparaît comme son unique bien. « mon auberge » (v7) montre que la nature lui offre le gîte et le couvert = nourriture spirituelle.      •    « doux frou frou » = syllepse (deux sens) :                                              - léger bruit de feuilles                                             - connotation féminine : spectacle rêvé qui fait de chaque étoile          une danseuse qui a un tutu faisant

interchangeables) Un anorak, une blouse (fleurie esprit folk / de jolies manches papillon), un blouson (camouflage/zippé / poche kangourou), un bustier, un cache-cœur, un cardigan, une chemise (rayée / carreaux / fluide), un chemisier (transparent / décolleté/à frou-frou / poignets volantés), un débardeur,une doudoune,un gilet (capuche / à large col), un imperméable, un jean (délavé), une jupe (juponnée / asymétrique / évasée / à volants / ceinturée / boutons dorés / boutons argentés / zip côté), une jupe mini /

j'étais ton féal ; Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

beauté de l'heure ! Oh ! soigne-toi je t'en conjure ! Oh ! je ne veux plus entendre cette toux ! Ah ! que ne suis-je tombé à tes genoux ! Ah ! que n'as-tu défailli à mes genoux ! J'eusse été le modèle des époux ! Comme le frou-frou de ta robe est le modèle des frou-frou. Catulle Mendès (1841-1909): Spleen d'été, Soirs moroses (1857) L'orageux crépuscule oppresse au loin la mer Et les noirs sapins. L'ombre, hélas ! revient toujours. Ah ! je hais les désirs, les espoirs, les amours, Autant