Frou-frou

imaginaire • une réécriture parodique : le thème de la bohème étant très prisé par le parnasse • la présence d’enjambements et de rejets = casse le rythme du poème = renouveau • Un langage commun/ populaire « poches, paletot, culotte, trou, frou-frou, élastiques, souliers » Conclusion : Au travers de ce poème, Rimbaud retrace son enfance et son gout pour le voyage mais aussi pour la liberté vite transformée en solitude. L’artiste fait aussi preuve de renouveau du genre poétique en mélangeant

et j'étais ton féal ; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes

représente le poète symboliste comme un bohémien. C’est un être insouciant, vivant au jour le jour qui, comme Rimbaud lors de ses fugues, erre vers le ciel et l’infini : « [mon] auberge était à la Grand-Ourse. / Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou/ Et je les écoutais, assis au bord des routes» (v.7 à 9). L’utilisation du champ lexical de l’errance avec les termes comme «auberge» (v.7), «étoiles au ciel» (v.8) et «assis au bord des routes» (v.9) met en relief le détachement du poète face aux

ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

poète utilise ses souliers abîmés comme instrument en prenant la forme de la lyre avec ses jambes et en utilisant les élastiques comme des cordes : il définit sa vision de la poésie. Transformation des lieux concrets en lieux magiques : « frou-frou » des étoiles (METAPHORE), « ombres fantastiques », « rosée » « comme un vin de vigueur » (COMPARAISON) Rimbaud a pour but d'utiliser la nature, le trivial, ce qu'il a à sa disposition, pour créer un poème, pour manifester la beauté.

pronom « je » thème de la nature « goutte » « rosée » « grande ours » thème de l'immensité céleste « ciel » « étoiles » « grande ours » → attachement romantique à ce qui sera au ciel thème de l'amour « muse » « amour splendide » « frou-frou » «  cœur » « je sentais » thème de la souffrance « crevé » « blessé » référence à l'antiquité « muse » « lyre » éléments de modernité 1. thème du vagabondage  ma bohème → expérience personnelle faire rien du beau

dernier jouait seul, de Funès montait sur le piano et chantait »[19]. Louis de Funès est alors un excellent musicien, selon Eddie Barclay[20], car il a l’oreille musicale – ce dont il se servira dans certains de ses films, tels que La Rue sans loi, Frou-Frou, Le Corniaud, La Grande Vadrouille, Le Grand Restaurant ou encore L’Homme orchestre – et possède une bonne connaissance du cinéma de son époque[réf. nécessaire]. Les débuts du comédien[modifier]En 1942, à l’âge de 28 ans, il décide de devenir

et j’étais ton féal ;Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.— Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse ;— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers

sonorités * Une allitération est la répétition d’un ou plusieurs sons-consonnes. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. (Hugo) * Une assonance est la répétition d’un ou plusieurs sons-voyelles. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou- frou. (Rimbaud) * Répétition lexicale. * Une anaphore est la répétition d’un mot ou d’un groupe de mots, en tête de plusieurs phrases ou membres de phrases Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade. (Hugo) * La répétition d’un mot ou

conformiste. Le désir de partir est évoqué plusieurs fois dans ces deux textes : récurrence des verbes « fuir »et «m’en allais ». Ces voyages se passent dans les cieux : « Mon auberge était la grande-ourse », « Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou » et « les oiseaux sont ivres d’êtres parmi l’écume inconnu et les cieux ». « Demain dès l’aube » retrace une expérience réelle et un voyage imaginaire de Victor Hugo vers sa fille décédé Léopoldine. Ce texte comme « l’albatros » de Baudelaire