Führerprinzip

d’action qui permettent « tout progrès humain ». À l’inverse, lesmasses ne pensent pas : elles doivent être menées et obéir au chef – ce dont, d’après Hitler, les Allemands sont conscients. Cette idée, profondément antidémocratique, est celle du Führerprinzip : lechef a pleine autorité, et les masses, reconnaissant son « génie », doivent adhérer à ses idées et faciliter son action. Ian Kershaw, dans son Hitler, montre que l’administration nazie fonde sesdécisions sur une interprétation de ce principe

fer et le sang pour en former un seul grand pays. Il parle aussi de race supérieur et de la pureté des races. Il déclare que l’Allemagne méritait la victoire en 1918. Il parle de l’Église catholique et va utiliser sa structure pour développer le Führerprinzip. Le nazisme Idéologie développée par Hitler. Grâce à la propagande les nazis ont pu propager l’idéologie à travers le pays. 1- Concept de la Grande Allemagne : réunir sous le même drapeau tout les peuples germanophones, aussi élargir le territoire

de l’art… Le cœur du système Un chef tout puissant et charismatique (p. 155-156, 2 p. 176, 5 p. 177, 2 p. 179) Chancelier en 1933 puis Reichsführer en 1934 = le dictateur, le Führer (guide, chef suprême) Culte de la personnalité « Führerprinzip ». s’appuie sur le parti nazi (NSDAP) et son élite les SS (p. 156) Parti unique qui obéit au chef, obéissance des militants, il participe à l’encadrement et l’embrigadement de la société, il investit le champ de l’Etat, le supplante, le concurrence

    Paragraphe  sur  le  pouvoir  absolu  du  chef  :  le  Führerprinzip   Pages  14  et  15       Le  pouvoir  absolu  du  chef  est  par  définition  quelque  chose  de  totalitaire,  il  détient  tous   les   pouvoirs   et   toutes   les   décisions   viennent   de   lui.   On   retrouve   ce   concept   dans   cet   extrait  de  Mein

de ce socialisme a celle de leur nationalisme) ;culte du chef,de l’homme providentiel,du sauveur,incarnation de la collectivité toute entier ayant pour mission de guider son destin( c’est ce qu’il est convenu de designer du terme allemande de Fuhrerprinzip). Les caracteristiques du fascisme a) L’ anti-liberalisme Les fascistes condamnent les principes liberalistes qui sont : la liberté economique,la liberté d’expression et la liberté politique qui selon eux conduisent a l’anarchie car l’Etat

cherchent à souiller l'ethnie aryenne et à propager les idéologies néfastes : marxisme, internationalisme, individualisme et libéralisme. Il faut donc débarrasser le Reich des Juifs, le régénérer par le sang aryen ; les Allemands seront guidés par le Führerprinzip. Pour contrecarrer les clauses du traité de Versailles, l'Allemagne se constituera un « espace vital » (Lebensraum). Alors qu'il est emprisonné, Hitler tire la conclusion que c'est par le jeu politique qu'il parviendra à prendre le pouvoir.

Structure Encadrement L'encadrement des Jeunesses hitlériennes était assuré par des adultes, souvent militants du parti nazi au sein d'un corps d'armée. De plus, ces chefs d'ecouades, à la pédagogie de sergent-instructeur2 exigent, conformément au Führerprinzip une obéissance totale3. Le gros des membres comprenait des garçons âgés de quatorze à dix-huit ans. Dès 1936, les Jeunesses hitlériennes devinrent officiellement une filière obligatoire pour tous les jeunes allemands. Le groupe servait aussi de

Propagande: l'art de tromper Le culte de la personnalité, version communiste du Führerprinzip nazi, créé par Lénine, a poursuivi ses ravages sous Staline. Lénine, chef auto-proclamé du parti bolchevik, soutenu par un gang d'assassins, a érigé un ensemble de services et d'individus servant à camoufler l'horreur du régime qu'il a imposé aux forceps à la Russie et à faire son propre culte évidemment totalement mensonger.  L'affiche annonçant le XVIIe congrès du parti communiste de l'Union soviétique

de la SA(formation paramilitaire du parti nazi créée en 1921 pr controler la rue et terrorise les adversaires politiques) notamment Ernst Röhm lors de la « nuit des longs couteaux » (30 juin 1934). -L’État est organisé selon le Führerprinzip, c-á-d le pouvoir supreme du chef. (apres la mort de Hindenburg en 1934). Ainsi se met en place une structure pyramidale dominée par le Führer. -Le régime repose aussi sur l’emploi de la violence : les formations paramilitaires du

le gouvernement ou se virent acculés à l'autodissolution. Le Reichstag n’était plus qu’un parlement fantoche dans une dictature féroce. La volonté du Führer devint le fondement même de toute la législation. En effet, le "principe du Führer" (Führerprinzip) en vint à guider toutes les facettes de la vie allemande. Selon ce principe, l’autorité – au sein du gouvernement, du parti, de l'économie, de la famille,... - procédait du sommet vers la base et devait être subie inconditionnellement. A la