Führerprinzip

d'assurer la survie et la cohésion d'un mouvement aux multiples tendances. C'est à partir de cette date que s'élabore le mythe du Führer, le «guide», fondé sur un rituel sophistiqué, l'usage du salut hitlérien et l'application du principe du chef (Führerprinzip), qui consiste en un respect absolu de la hiérarchie. En dépit de cette consolidation interne, le NSDAP subit de plein fouet le contrecoup de la stabilisation économique et sociale de la république de Weimar, sensible à partir de 1924. Malgré ses

l'Allemagne un état centralisé. Le parti nazi devient le seul parti légal. A la mort de Hindenburg en 1934, Hitler combine les postes de président et chancelier sous le nom de Führer. Il se proclame responsable devant personne avec la déclaration de « Führerprinzip ».Ce moment marque le début de Troisième Reich, même si formellement la structure politique de Weimar n'était pas changée par les nazis. CONCLUSION La république de Weimar est une période très délicat de l'histoire de l'Allemagne. Bouleverse

Suppression des pouvoirs locaux (dans chaque Land), centralisation du pouvoir. Rajoute à chaque ancienne administration un post SA ou SS. Querelles entre les hauts dirigeants que Hitler nomme personnellement. L'administration est très mal organisée. Führerprinzip : l'Etat dépend de lui, l'individu "ne comprend rien". - Les policiers : les SA sont le service d'ordre du parti, supprimés partiellement en 1934. Les SS crées en 1925 sont la garde personnelle d'Hitler. 1931 : création du service de rens- eignement

ecclésiastiques du 23 juillet favorables aux chrétiens allds : élection le 24.8 comme évêque de l’Union de l’ancienne Prusse de Ludwig Müller (19 millions de fidèles) ; 27.9 devient évêque du Reich, fonction nouvelle qui traduit application du Führerprinzip au domaine religieux ; impose le paragraphe aryen au protestantisme prussien dès 5.9, puis à toutes Églises protestantes (exclusion des pasteurs d’origine juive ou mariés à juives) c. Müller accentue cette politique : 22.12.1933, accord

chef Passion pour la guerre chef de l’Etat est un chef de guerre Chef représente l’autorité autour de laquelle tout s’organise. Pivot de l’Etat. HMS (Hitler, Mussolini et Staline) décident de tout. Hitler a le mieux définit ce culte : le Führerprinzip (principe du guide) = soumission totale du peuple à un seul homme. En URSS : procès retentissants avec accusations entre les anciens collaborateurs de Lénine (procès de Moscou). B) La création d’un homme nouveau Il faut régénérer l’être

en 1933. NSDAP: Parti nazi : Parti ouvrier national-socialiste SA : Section d'assaut, sorte d'hommes de main de Hitler regroupés en commandos paramilitaires. SS : Garde personelle de Hitler, fanatique, elle forme l'élite de la société nazie. Führerprinzip : Principe selon lequel tous les Allemands doivent allégeance à leut Guide, le Führer, Adolf Hitler. Diktat : Représente le trauté de Versailles, que les Allemands voient comme une honte, une souillure. Conditions socio-économiques de la

d’aujourd’hui. Les Allemands ont un passé traumatisant à cause de leur troisième Reich et leur conception d’éducation est jusqu’au jour d’aujourd’hui influencé par le refus permanent de l’ancien système nazie. Sous le national-socialisme, le « Führerprinzip » (la soumission totale de l’ensemble aux ordres d’un chef selon une hiérarchie stricte) était appliqué à l’enseignement et à l’éducation comme dans tous les autres domaines de la vie sociale. Toutes les institutions pédagogiques étaient mises

Kershaw a pour objectif d'appréhender les modalités de l'arrivée au pouvoir de Hitler. Il en dégage trois principales étapes : la prise de contrôle du NSDAP qui, dans les années vingt, avait absorbé les mouvements volkisch, organisé selon le Fuhrerprinzip ; la façon dont Hitler, pendant les années trente, étend son audience au-delà de la droite volkisch jusqu'à obtenir un tiers des suffrages électoraux, exigeant le pouvoir puisqu'il rallie les masses ; l'intérêt des élites pour sa personne alors

propagande : le peuple est le premier mis en valeur (mais en URSS, le portrait de Staline est omniprésent sur toutes les affiches de propagande = « petit père des peuples » toujours en action, à la tête du peuple) culte du Chef, du « guide » (Führerprinzip en Allemagne) : ce sont des chefs militaires (uniformes), courageux, qui mènent le peuple à la victoire ! utilisation de nouveaux médias (radio – cinéma – (cf. Eisenstein en URSS…) qui diffusent l’idéologie officielle et stigmatisent les ennemis

aient une conscience propre, ni qu’ils s’instruisent, ils devaient entrer dans un moule, c’est pourquoi il utilisa plusieurs moyens de déculturation du peuple, il essaya de rendre les hommes ignorants. 1. La doctrine nationale-socialiste : Le « Führerprinzip » ; C'est la doctrine du chef unique, du guide, symbolisée par la nouvelle devise du régime : "Ein Volk, ein Reich, ein Führer" = un peuple, un empire, un chef. Le totalitarisme s'exprime par un état tout puissant qui contrôle tout. Selon Hitler