Führerprinzip

Reich, ein Führer - « un peuple, un empire, un chef », dans laquelle le titre de Hitler prend de façon idolâtre la place de Dieu dans l’ancienne devise du Deuxième Reich : Ein Volk, ein Reich, ein Gott (« Un peuple, un empire, un dieu »). Le Führerprinzip devient le nouveau principe de l’autorité non seulement au sommet de l’État, mais aussi, par délégation, à chaque échelon. La loi proclame par exemple officiellement le patron comme Führer de son entreprise, comme le mari est Führer de sa famille

dans un régime totalitaire doit remodeler la société toute entière et exprimer des aspirations inconscientes des masses à un idéal collectif supérieur. Le chef est un être omniscient qui incarne seul la ligne juste du mouvement, ce principe "Führerprinzip" trouve son équivalent en URSS ou en Chine avec Mao. Ce culte de la personnalité du chef se manifeste notamment dans de grandes manifestations de masse qui favorisent l’abolition des repères rationnels des individus. Ceux-ci sont détachés de

de mélanges, il demeure des races supérieures (les moins mélangés). ►Fuehrung : lien de chacun avec son Führer (qui tient son pouvoir de lui-même). Il a un pvr illimité et intransmissible (lutte à mort pour sa succession) pouvoir totalitaire. Fuhrerprinzip : fin de la prééminence de l’État. Le führer domine toute chose. Son parti (État dans l’État) est osmose parfaite avec l’État. Armée interne (Waffen SS), structure (juegen). C. Les fascismes larvés ►Portugal et Espagne : pays pauvres, armée puissante

maître de la propagande une place considérable dans ces systèmes totalitaires. B. le culte du chef, Le leader dans un système totalitaire n’est pas simplement le despote ; il se donne à voir comme l’âme et le guide du peule : il est le Fuhrerprinzip , avec Hiltler, le « petit père des peuples » avec le camarade Staline, le « grand timonier » avec Mao, etc... Ce culte paroxystique du chef entretient la communion sur un registre émotionnel, alimenté par ailleurs par de grandes manifestations

universelle, mais plutôt de concevoir le droit et l'Etat comme des instruments du Fuhrerprinzip. Pour le national-socialisme, en effet, l'Etat et le droit du peuple allemand, sont des manifestations de sa communauté raciale. Donc, de sa spécificité de race supérieure et de peuple ayant une culture élitiste. Cette substance communautaire est, toujours selon la doctrine national-socialiste, le support du Fuhrerprinzip. De telle sorte que l'Etat et le droit sont des instruments à la disposition du

Reich, ein Führer - « un peuple, un empire, un chef », dans laquelle le titre de Hitler prend de façon idolâtre la place de Dieu dans l’ancienne devise du Deuxième Reich : Ein Volk, ein Reich, ein Gott (« Un peuple, un empire, un dieu »). Le Führerprinzip devient le nouveau principe de l’autorité non seulement au sommet de l’État, mais aussi, par délégation, à chaque échelon. La loi proclame par exemple officiellement le patron comme Führer de son entreprise, comme le mari est Führer de sa famille

trancher ces conflits de compétences en exerçant un pouvoir personnel. Tous les individus se retrouvent à la merci d’une décision du chef. C'est- ce caractère personnel du pouvoir qui apparaît déterminant et qui se trouve au cœur de l’Allemagne du Führerprinzip (principe du chef), c’est un principe d’obéissance personnelle qui paralyser la légitimité légale rationnelle de l’état. Le chef charismatique ne va pas hésiter à opérer des purges dans le parti et dans l’état pour se débarrasser des opposants

Anticlérical, concordat, etc.  Pratique du pouvoir  Répression (exclusion des opposants, etc.)  Fabrique du consensus  Un dénominateur commun  Plusieurs anti Anticommuniste  Antidémocratique  Antilibéral  Points « positifs » :  Führerprinzip (chef charismatique)  Corporatisme et anticapitalisme de façade (on veut remplacer la lutte des classes mais sans jamais toucher à la propriété individuelle)  Racisme/idée du bouc émissaire  Nationalisme/impérialisme, militarisme  (Parti

Reich, ein Führer - « un peuple, un empire, un chef », dans laquelle le titre de Hitler prend de façon idolâtre la place de Dieu dans l’ancienne devise du Deuxième Reich : Ein Volk, ein Reich, ein Gott (« Un peuple, un empire, un dieu »). Le Führerprinzip devient le nouveau principe de l’autorité non seulement au sommet de l’État, mais aussi, par délégation, à chaque échelon. La loi proclame par exemple officiellement le patron comme Führer de son entreprise, comme le mari est Führer de sa famille

d’ordre. On n’interpose pas entre le chef et le peuple un organisme de conciliation ou de méditation, mais l’appareil justement, c’est-à-dire le parti qui est d’oppression. Ainsi naît le premier et le seul principe de cette basse mystique, le Führerprinzip, qui restaure dans le monde du nihilisme une idolâtrie et un sacré dégradé. Mussolini, juriste latin, se contentait de la raison d’État qu’il transformait seulement, avec beaucoup de rhétorique, en absolu. « Rien hors de l’État, au-dessus de