Fuir La Société

familiarisons avec Estelle, une riche mondaine, qui se fait expliquer la situation par Garcin et qui montre déjà son côté superficiel car toute son attention est focalisée sur le mariage entre la couleur des canapés et celle de sa tenue. Elle essaie ainsi de fuir la réalité. La scène 5 est la plus longue et la plus révélatrice. Jusque là? les 4 premières scène servent de scènes d'exposition. Dans cette scène Estelle prétend être morte d'une pneumonie et ignore la raison de sa présence en enfer. Elle s'interroge

poètes parlent pour tous ? N’est-ce pas le langage poétique dans ça forme qui est le plus universel ? Dans l'idée qu'Éluard se fait de l’engagement, il y a en premier lieu la quête de l’existant : de fait, le poète appartient à l’histoire, à la société, aux idéologies. Ses mots sont par définition universel : il “parle pour tous”. Ce contact avec la réalité rend le poète infiniment présent au monde qui l’entoure. S’il fut reproché aux Romantiques, à juste titre souvent, de se couper du réel en privilégiant

lui-même et à lui seul. François, un des rares hommes venant de la campagne décide de fuir les zones urbaines pour rejoindre la campagne et créer un monde nouveau. Avec un groupe réduit de personnes, dont beaucoup succomberont en route (pillages, folie, faim, soif...), il y parvient finalement et crée un monde où la Nature tient un rôle prépondérant. L'exaltation de la force et du travail sont les valeurs de cette société. Le roman se termine par le refus de la modernité par le successeur de François qui

Le mythe est un récit pouvant contenir une morale et abordant des questions de société. Sa particularité est qu'il traverse les siècles, il est réutilisé, réécrit et peut être modifié selon l'époque et la société apportant une interprétation différente. Le personnage de Médée est né dans la tragédie grecque avec Euripide. Ce mythe est une succession de meurtres et de vengeances lors d'un voyage à travers la Grèce. Dans son œuvre il met en avant la détermination de Médée « sans perdre un instant

Voltaire. Ils évoquent tous deux une manière de gouverner différente, l’une est une dictature, l’autre est l’image d’une parfaite organisation politique. On peut donc aussi noter des différences entre les deux textes, Candide est une utopie : toute la société est construite sur un modèle « trop » parfait. Point de prison, point de parlement, le roi se laisse volontier embrasser et la ville regorge de science et de savoir. Le vocabulaire employé par Voltaire marque bien cette utopie, on remarque le champ

trouver un bon système fiscale, qui permet à la fois d’alimenter le budget de l’état pour son bon fonctionnement sans exercer une pression fiscale trop grande par rapport aux entreprises et aux ménages .En effet, un système pas adéquate peut faire fuir certaines entreprises ou agents économiques vers d’autres pays plus attractifs (ex : Johnny Hallyday). Il est important de comprendre que le rôle de l’impôt ne peut pas se contenter seulement d’être un financement des dettes publiques, mais qu’il

ridicules qui voudraient rejoindre ce rang social. Par la bouche des personnages principaux dans chaque œuvre, Alceste dans Le Misanthrope et Arnolphe dans l’École des Femmes, Molière se moque des moeurs de la Cour et du comportement attendu de la haute société. Chaque personnage a un certain mépris pour les membres de cette classe sociale, que ce soit Alceste qui est déjà noble ou Arnolphe qui essaie d’avoir l’air noble. Alceste déteste le caractère insincère du comportement à la Cour, des politesses

entretien à la problématique suivante : Sommes nous destinés à jouer notre propre vie ? Il conviendra dans un premier temps de dire que, malgré nous, la société nous oblige à jouer un rôle, et donc être un personnage du théâtre de la vie. Puis il conviendra dans un second temps de se demander si il est possible d’ôter ce masque que la société nous impose, et si oui, comment.PREMIERE PARTIE : 1) La vie nous force à créer différents personnages que l’on interprète en fonction de la situation. Très

apprécié pour l’être à notre tour et s’intégrer à un groupe de personnes. Les autres ont donc une grande influence sur nos choix et cela va calmer notre angoisse. Cependant, le risque c’est d’être malléable et si ce regard devient trop pesant, il faut le fuir. Nous avons tout de même le choix, malgré la grande influence que le regard a sur ces derniers, de rester cette personne mais être malheureux car nous serons rejeté ou de changer en s’adaptant aux autres pour être accepté. C’est le point qui est le

:  « indolents» (v.3), « maladroit » (v.6), « honteux » (v.6) c. Les réseaux symboliques -lecture de la poésie sous un nouvel angle, à travers tout un réseau de symboles. Poésie symboliste : Albatros symbole du poète Equipage -- -- de la société Navire -- -- de la terre Gouffre -- -- de la mort . II. L’IDEAL DE BAUDELAIRE : POESIE ET LIBERTE L’oiseau et le poète ont en commun la plume, l’outil de liberté. La plume de l’albatros l’aide à voler, celle du poète lui permet d’écrire