Fuir La Société

Chatterton est une pièce de théâtre écrite en 1835 par Alfred de Vigny. Chatterton est l'image du poète qu’est Vigny, il a une vision désenchantée de la société,il reflète la solitude et évoque un grand pessimisme tout au long de la pièce, il exprime ses doutes et ses aspirations en faisant entendre les interrogations de l'humanité toute entière. Il subit également une déception amoureuse, il est doublement rejeté. Vigny se retire de la vie sociale en partant vivre exclu de la population, il

la société dans laquelle il vit car l’auteur le met dans un cadre spatiotemporel spécifique qui renvoie à une société donnée. Il représente un type de personnage avec ces qualités et ses défauts mais aussi ses vêtements, sa profession, son langage, son idéologie. Il est le porte-parole de l’auteur pour critiquer la société dans laquelle il vit. Il incarne une idée et sert de support à son créateur pour exprimer un point de vue, une version souvent pessimiste. Il permet au lecteur de fuir dans

dépression. Jusqu’aux systèmes de punition et récompense connus comme fondement de l'apprentissage, il traitera du système d'inhibition de l'action. C’est à dire les mécanismes biologiques de l'inhibition «quand vous ne pouvez ni vous faire plaisir, ni fuir, ni lutter» aussi liés avec les mécanismes de domination. Il nous a également permis de comprendre les conséquences néfastes sur notre corps de cette inhibition de l'action comme le mauvais stress engendré lorsqu'on ne peut agir, lorsque toute fuite

L’ILE DES ESCLAVES, MARIVAUX, 1725 Dans ses trois « comédies insulaires », Marivaux a insisté sur les défauts les plus graves de la société. Dans l'île des esclaves, il donne son opinion au sujet des relations maître/valet à son époque. Cette pièce prend une grande importance car on sent la charge assez forte de contestation sociale. L'île des esclaves est une utopie : un pays imaginaire (étymologie : « pays de nulle part »). Le terme d'utopie désigne un rêve irréalisable. Peut-être que Marivaux

que son prédecesseur dans « Chanson d’automne » qui est le sixième poème de notre anthologie. De nombreux poètes du XIXème siècle écrivaient des poèmes pour s’évader, voyager et d’une certaine façon quitter le monde dans lequel ils vivaient car la société ne leur convenait pas et qu’elle ne pouvait les comprendre.C’est pour cela que beaucoup de poèmes de Baudelaire sont sur le thème du voyage tout comme Mallarmé avec « Brise marine », Verhaeren avec « Le voyage » et Rimbaud qui a écrit « Ma bohème »

vers, toute la société est représentée, et toute celle-ci fuie devant la vérité. Le rejet se ressent également dans « La pauvre vérité restait là morfondue, sans trouver un asile où pouvoir habiter » et « Aux passants je demande en vain de me donner une retraite, je leur fais peur à tous : hélas ! Je le vois bien, vieille femme n’obtient plus rien. ». Par ces deux citations nous pouvons noter le rejet et la tristesse ressentie par la vérité. Celle-ci demande un gîte mais fait fuir tous ceux à qui

à être libre ? La liberté implique la responsabilité à agir par sois même, c’est faire ce que l’on a voulu, il faut donc assumer ces actes, car on est responsable. Sartre, met en lumière la difficulté d’être libre et la tendance qu’on peut avoir à fuir sa liberté. « J’ai eu des enfants parce-que je l’ai voulu .Mais ils m’apportent trop de contrainte dans ma vie, et ils me coûtent très cher. Je décide d’abandonner le domicile familial et je les laisse à leurs père » J’incite les autres à me regarder

fin. 1-L’image du navire. Projet dans un futur indéterminé. L’idée de partir et rompre avec ses attaches est présente. C’est un cliché de la poésie (Ex : Mallarmé dans Brise Marine : « La chair est triste, hélas ! Et j’ai lu tous les livres. Fuir ! Là bas fuir ! [...] » Vers 6 : Série de verbes d’action marquant une violence. Vers 9 : Il désire de changer de vie, devenir qqun d’autre, désir profond de ce ressourcer : l'eau Vers 21 : La destination est inconnue, aucun marquage géographique. ''loin

Elle-même était fille d'un horloger nommé Jacques Bernard. À partir de dix ans, Jean-Jacques est élevé par son oncle Gabriel Bernard, pasteur protestant. Sa famille, d'origine française, s'était installée à Genève en 1549 pour fuir la persécution religieuse. Son père ayant dû fuir Genève à la suite d'une querelle, Jean-Jacques est confié au pasteur Lambercier à Bossey, où il passe deux ans (1722 - 1724). Son oncle le place ensuite comme apprenti chez un greffier, puis en 1725 chez un maître graveur.

d'échapper à son sens de la responsabilité sans en subir les conséquences ultérieures. Tout d'abord, j'aimerais faire remarquer qu'un des groupes les plus sujets à cette décision sont les scientifiques, autant dans le roman de Mary Shelley que dans la société actuelle. Comme De Vinci qui a dû profaner des cadavres, les scientifiques ont souvent dû faire des gestes contre la conscience morale de leur époque afin de faire des progrès dans leur domaine. Un exemple actuel serait la polémique sur l'utilisation