Fuite De Liquidité

moyens utilisés, les enjeux et les aboutissants. Les moyens utilisés sont divers mais ils peuvent être globalement séparé en deux groupes et ont eu essentiellement pour but de surévaluer les résultats à court-terme au détriment du futur. C’est une fuite en avant, l’objectif était de gagner du temps pour retarder les créanciers et éviter les décotes. Il y a eu comme moyen l’augmentation et l’accélération des revenus du crédit bail, sachant que le crédit bail formait l’essentiel de leurs ventes. Ils

monnaie scripturale pouvant être transformé en billet. La liquidité bancaire c’est la quantité de monnaie centrale que possèdent les banques. Les banques de second rang sont les banques commerciales (SG, CA, BNP), les banques de premier rang sont les banques centrales nationales (banque de France), il y a aussi la banque centrale européenne qui est encore au dessus. Lorsqu’une banque accorde un crédit, elle doit faire face à deux types de fuite en monnaie centrale. La première vient du fait que le

produits. On peut mesurer & comparer la valeur des B/S. C.Réserve de valeur : La monnaie autorise l'utilisation différé dans le temps de la valeur de l'échange, & permet donc d'épargner . La monnaie est un actif parfaitement liquide. Liquidité = Aptitude d'un actif a être convertible en moyens de paiement dans un délai bref, sans couts, & sans risque de perte de valeur. Laliquidité totale de la monnaie permet la réalisation d'achat sans perte de valeur a la # des autres actifs qui

budgétaire mais cela risquerait de bloquer la croissance économique Il est d’usage de considérer que les politiques économiques menées après 1945 sont des politiques de relance keynésienne dans la mesure où l’Etat relance l’économie en injectant des liquidités dans l’économie sous la forme de politiques de grands travaux, de dépenses d’investissement. Cette politique de relance s’appuie sur un effet multiplicateur (le "multiplicateur keynésien") qui est le mécanisme par lequel une dépense nouvelle de

un autre pays avec leur capital. Cela peut arriver avec n’importe quelle politique qui ne serait pas du goût des investisseurs et des rentiers. […] La plupart du temps, il n’est pas nécessaire qu’il y ait réellement fuite de capitaux. La simple menace d’entrer dans un épisode de fuite des capitaux intimide suffisamment les gouvernements nationaux pour qu’ils reconsidèrent leur position 7 » « D’autre part, la libéralisation financière internationale […] consiste à démanteler les contrôles des capitaux

c’est une des formes de la détention de richesse : c’est un actif de patrimoine. Le pouvoir d’achat de la monnaie peut être transféré dans le temps à des fins de consommation différés ou de constitution de patrimoine. Notion de liquidité : la monnaie a le degré de liquidité absolu D’autres actifs (ex : financiers ou réels) peuvent remplir cette fonction de réserve de valeur, ils sont rémunérés (Hicks : actifs monétaires, financiers ou immobiliers) Dans un concept institutionnaliste, la monnaie est

paiement. C)Les agrégats monétaires, instruments de mesure de la quantité de monnaie Pour évaluer la quantité de monnaie dans l’union économique et monétaire européenne, on utilise trois agrégats emboités, qui classent les actifs en fonction de leur liquidité ( le compartiment M1 comprend les actifs les plus liquides) M1=Pièces, billets, comptes à vue (monnaie au sens strict) M2=M1+Placements à vue rémunérés : livrets de caisse d’épargne, CODEVI, compte épargne-logement… M3=M2+SICAV monétaires+placements

de création de la monnaie-papier était compréhensible. D’où le fameux Currency Principle (principe de circulation) prôné par Ricardo. Les responsables avaient peur de la création abusive de la monnaie qui déclencherait une forte inflation, donc une fuite devant la monnaie, l’effondrement de l’ordre nouvellement établi. La monnaie ne peut être, dans la réalité socio-économique, neutre pour de multiples raisons. Tout d’abord, en tant qu’unité de compte, elle constitue bel et bien un langage commun permettant

distinction entre taux naturel et taux monétaire, et déséquilibre cumulatif. • Keynes : Le taux d'intérêt commande l'arbitrage entre monnaie et titres, entre thésaurisation et placement. Il est le prix de la renonciation à la liquidité (d'où étude des motifs de la préférence pour la liquidité). L'épargne est fonction du revenu courant chez Keynes. Les nouvelles théories de la consommation font dépendre l'épargne du revenu relatif ou du revenu permanent, donc d'éléments liés au patrimoine. § II- Question des

des investissements par les banques en théorie. (Pouvoir de création monétaire) A. … qui engendre la croissance En épargnant le consommateur va accumuler du capital qu’il va ensuite utiliser pour consommer, ce qui, d’une part réinjectera de la liquidité sur le marché, mais favorisera la croissance, car en achetant des biens, les entreprises vont alors produire d’avantage, alors tour investir dans de nouvelle machine pour produire, embaucher de nouveaux salariés, qui les salariés à leur tour, auront