Funérailles D Atala

personnage emblématique de cette sensibilité nouvelle, créée avec une prose ample et rythmée que ses détracteurs qualifieront d'ampoulée. Il participera aussi au goût pour l'exotisme de l'époque en évoquant l'Amérique du nord où il a voyagé dans Atala (1801) ou Les Natchez (1826) ou encore dans le récit de son voyage en Méditerranée dans Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811. Ses œuvres engagées où il fait l'apologie du christianisme comme le Génie du christianisme (1802), Les Martyrs (1809)

voyages, donnent naissance aux évocations si neuves qui assurèrent bientôt ses premiers succès littéraires. Il rédigea en effet de très nombreux manuscrits, aujourd’hui pour la plupart perdus, qui allaient lui servir pour ‘’Voyage en Amérique’’, ‘’Atala’’. ‘’René’’, ‘’Les Natchez’’. Le 2 janvier 1792, il débarqua au Havre. Le 20 février, il fit un mariage de convenance en épousant Céleste Buisson de La Vigne, une amie de sa sœur dont on pensait chez les Chateaubriand qu’elle deviendrait fort riche

ans du Second Empire. Ses choix, à la fois moraux et politiques[5], durant la deuxième partie de sa vie, et son œuvre hors du commun ont fait de lui un personnage emblématique que la Troisième République a honoré à sa mort le 22 mai 1885 par des funérailles nationales[6] qui ont accompagné le transfert de sa dépouille au Panthéon, le 31 mai 1885 Extrait : Préface du livre « les misérables »[pic] Chateaubriand : Né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est

cata finale. Ame sensible prédisposée à malheur ? récit placé ss signe mort. P3 alors que mode P1 au 18e : // pastoral : narrateur = aède ; mise à distance : mythification : flou temporel. V= âme socté de l’île : sa mort = mort socté. Fin // funérailles Atala et mort Hippias ds Télémaque : topos alliance mort-jeunesse. Sensibilité décadente de Bernardin : mélclie. V doit mourir prcq préjugés de l’Europe contre cette socté : vanité, paraître, naissance, fortune… agent de tt ça : M. de la Bourdonnais

rapporte un phénomène qui est la conséquence des phénomène précédents. Cette disproportion conduit à l’hallucination auditive d’une sonnerie de cloches. Alors qu’habituellement, le thème des cloches a été, depuis Chateaubriand (dans “Atala”, au moment des funérailles ; dans “Le génie du christianisme”, le passage consacré aux cloches), chez Lamartine (dans “L’isolement”, vers 15), un appel religieux empreint de douceur, d’espoir, il devient chez Baudelaire, comme par une volonté de blasphème, un bruit

de son petit fils et de son épouse. 1876: Il est élu sénateur de Paris 1881: Un immense hommage lui est rendu pour son 80ème anniversaire. 1885: Victime d'une congestion pulmonaire, il meurt et le gouvernement décide de funérailles nationales. Quelques œuvres majeures Théâtre: Hermani (1830) Angelo, Tyran de Padoue (1835) Roman: Le dernier jour d'un condamné (1829) Notre Dame de Paris (1831) Les Misérables (1862)

mort à Paris en 1848 - vie politique : o 1792-1800 : exil en Angleterre o Diplomate sous l’Empire o Ministre d’Etat pendant la Restauration o Ambassadeur à Berlin, Londres et Rome o 1822-1824 Ministre d’affaires étrangères - oeuvre : o Atala (1808) : un viel Indien aveugle,Chactas, raconte sa jeunesse à René, un Français qui souhaite vivre parmi les Indiens. Le grand succès de ce court roman es dû essentiellement à son inspiration exotique et à la mort d’Atala, jeune chrétienne : elle

Jeannot et Colin (16 juillet) MARCEL PROUST À l’ombre des jeunes filles en fleurs (30 juillet) MAURICE LEBLANC L’Aiguille creuse, 813, Le Bouchon de cristal (13 août) JULES VERNE Le Tour du monde en 80 jours, Michel Strogoff (27 août) CHATEAUBRIAND Atala, René, Vie de Rancé, Voyage en Amérique (10 septembre) ALEXANDRE DUMAS Le Comte de Monte-Cristo (1re partie) (24 septembre) Le Comte de Monte-Cristo (2e partie) (8 octobre) JEAN-JACQUES ROUSSEAU Les Confessions, Les Rêveries du promeneur solitaire

question de l’abolition de l’esclavage et Jéricho va mettre un noir pour alerter le bateau d sauvetage anglais alors qu’il y avait un farouche racisme contre les noirs. C’est un tableau engagé. XVII/ Les funérailles d’Atala [pic] « Les funérailles d’Atala »  On reconnaît  ATALA dans la jeune fille morte, que portent avec émotion et recueillement l'Indien Chactas, à gauche, et le Père missionnaire Aubry, à droite. Cette scène représente en effet l'épisode de la mort d'ATALA et de sa

néo-classicisme (figé et solennel). On se tourne vers des thèmes de l’antiquité. David peindra » le sacre de Napoléon ». on retourne à l’art du nu antique (un soldat nu avec ses armes). Gérard peindra les campagnes de Napoléon, Girodet peint « les funérailles d’Atala ». La musique aussi sera rigide, elle ne sera constituée que de marches militaires. L’architecture des monuments sera fortement inspirée de l’art romain le rectiligne dominera. La restauration donnera naissance à une peinture plus violente