Fusil

souligné par un nom en majuscules sans prénom, par la nationalité et la nature des méfaits qui sont reprochés à l’homme. Notons que les hommes sont juifs, communistes. Ce sont des résistants parmi les vingt-trois qui allaient être condamnés à mort et fusillés, au mont Valérien le 21 février 1944. Ces hommes, qui appartenaient au « groupe Manouchian » – du nom de leur chef du moment, Missak Manouchian –, étaient des membres des Francs-tireurs et partisans de la M.O.I.Cette affiche est composée de dix

(voir page **) Introduction : La fleur au fusil est la suite d’Adieu Brindavoine. Brindavoine est un personnage crée par Tardi, Adieu Brindavoine est publié en feuilleton dans Pilote (qui est un journal hebdomadaire) en 1792. La fleur au fusil a été éditée à la suite d’Adieu Brindavoine en 1979. Elles sont reliées par une page de transition où un vieux narrateur (qui est Tardi) nous apprend la suite des évènements de Brindavoine avant La fleur au fusil. Je vais maintenant vous parler de la 1ère

espagnols, ça ne fit que renforcer leur hostilité vis à vis des français et la résistance espagnole. 2) Analyse : Au premier plan de ce tableau, on peut voir deux groupes : les soldats français dans la partie droite du tableau et les madrilènes fusillés, ou les prochains à l’être, dans la partie gauche. Les soldats sont alignés ; droits ; unis ; déshumanisés et anonymes : on ne voit pas leur visage et ils restent dans l’ombre comme des machines à tuer. Ils représentent la violente répression ainsi

soldaient toujours en echec... avec toujours plus de morts. Certains soldats refusaient de partir à l'assault. Ces soldats se faisaient fusillés. Je vais vous conter l'histoire de Louis, un soldat qui a refusé l'ordre de partir à l'assault. Il était jeune, 19ans et ne voulait pas mourir, pas si jeune. Louis avait été condamné. Il était condamné à mort. Fusillé. La peine capitale. Il devait mourir dans 15 jours. Il ne lui restait que 15 jours à vivre. Il le savait et cela le tuait un peu plus

sous l’ordre du maréchal Murat, une commission militaire donne le droit de fusiller sans jugement toux ceux qui avaient été faits prisonniers (nuit du 2 au 3 Mai). Les soldats français dans la nuit du 2 au 3 mai en représailles à la révolte du 2 mai exécutent les combattants espagnols faits prisonniers au cours de la bataille. Cette oeuvre et aussi « Dos de Mayo », montrent avec quelle violence les soldats français ont fusillés des prisionners madrilènes. Goya fait, par cette toile, une commémoration

meurtre comme expression artistique • Les instruments de destruction deviennent des instruments de création artistique : « Fusil à lunette en guise de guitare », « son fusil passe du
statut de guitare à celui de micro », • Il combine meurtre et photographie : le meurtre devient donc de l’art : « Apparaît la photo de l’homme au moment où il est touché par la balle du fusil » • Terme « photographe de guerre » lie la destruction et la création artistique • Champs lexicaux de la musique « walkman

sont pointés par les fusils et ils s’accrochent les uns aux autres, à part celui avec la chemise blanche, qui est mis en valeur par la lumière ainsi que par les fusils qui vont dans sa direction, il se tient debout avec les bras en croix. Puis à l’arrière-plan nous voyons le reste des révoltés qui se tiennent le visage dans les mains mais nous devinons que c’est pour éviter de voir ce massacre. A l’opposé, donc à droite, nous reconnaissons les soldats armés pointant leurs fusils sur les révoltés,

faits historiques: A. 2 lettres, pages 86 à 90, écrites l’une par Jean BLANCHARD et la seconde par le caporal Henry FLOCH, 2 fusillés pour l’exemple faisant parti des « Martyrs de Vingré ». B. 2 lettres pages 81 à 83, écrites par Gustave BERTHIER et Gervais MORILLON, ces lettres évoquent une fraternisation entre combattants ennemis en décembre 1914. A. FUSILLES POUR L’EXEMPLE: « Martyrs de Vingré »  Contexte historique 2 décrets: 2 août et 6 septembre 1914 instituaient des conseils

communiste en 1927. Il fut un des grands poètes de la Résistance sous le nom de François la Colère. I. Contexte Ce poème a été écrit à l’occasion d’une rue Groupe Manouchian en 1955. Il appelle au devoir de mémoire envers ces Résistants fusillés le 20 février 1944. Aragon s’adresse à eux à travers la deuxième personne du pluriel, « vous ». Il leur hommage et veut raviver le souvenir de ces hommes. Il fait aussi référence à l’Affiche Rouge. II. Rappel   Avant de continuer plus avant

riche récemment marié, il est l'heureux propriétaire de 2 maisons ainsi que de 1200 têtes de bétail. Quand Salas Ina apprend qu'il ne va pas tarder à être fusillé par la faute de Montserrat il propose en premier temps de donner tout sa fortune à Montserrat puis en second temps de donner sa femme a Izquierdo qui finalement refusera. Salas sera fusillé. Arnal Luhan : Le potier, lui aussi fait partie des 6 personnes rencontrées sur la place par Moralès et ses soldats. Quand Izquierdo rencontre le potier