Fusillade de Fourmies

grand succès. 13. La République des radicaux (1892-1914) 131. 1892-1906: la République en crises • Les tensions sociales augmentent au cours des annees 1890. ◦ Des grèves, des mouvements ouvriers sont durement réprimé par la République comme à Fourmies le 1er mai 1891. ◦ Un courant anarchiste se développe en France comme partout en Europe. Il défend le recours a la violence pour promouvoir l'affirmation des libertés individuelles en dehors de toute autorité institutionnelle. ◦ Les attentats

travers les plaines. Elles avancent, courent, se couchent, crépitent et pétillent, se relèvent, courent encore, gagnent les abris, les quittent, laissant, à chaque reposoir, des corps crispés dans la verdure… Autour de lui, il est tant de bruits de fusillade, que l’espace semble frire. Et tout près, les grosses têtes rougeâtres de ses hommes bleuissent, sous les gourmettes polies des kolbacks, sous l’apparat violent des pompons. Les bottes tremblent dans les étriers qui cliquettent. Les mains épaissies

génération opportuniste ou par des hommes de la nouvelle génération. Ils sont libéraux en économie et orthodoxes dans le domaine financier, mais ils n'en font pas moins voter une législation protectionniste. Conservateurs sur le plan social (fusillade de Fourmies, 1er mai 1891) ils ne font guère progresser la législation sociale et repoussent l'impôt sur le revenu. En politique extérieure ils parviennent à rompre l'isolement diplomatique français en se rapprochant de la Russie (signature d'une convention

« l’Esprit nouveau »· Mais intransigeance sur le front social.· Congrès de Nantes de septembre 1894 où le socialiste Aristide Briand défend le principe de grève générale face à la répression croissante des mouvements sociaux par le pouvoir public.· Fusillade de Fourmies le 1er mai 1891 qui provoque la mort de femmes et d’enfants. Le nombre élevé de victimes (10 morts et plus de 30 blessés) s’explique notamment par l’absence de forces de l’ordre spécialisées et le recours systématique à l’armée.· 16 août 1892 :

SCM : Histoire Contemporaine14/09/2021Olivier FeiertagPrise de contact20 novembre 1917 : discours de Clemenceau devant la chambre « Je me présente devant vous dans l’unique projet d’une guerre intégrale ! ».Il y a une 50aine de date, une 30aine d’acteur à connaître et des micro-exemples 20 environ (grève…).La problématique doit donner du sens aux exemples, aux dates et aux acteurs.Révolution Industrielle ?Les choses se sont accélérées depuis la rev indus (habillement 1910-1980 changement drastique)Les

de la manifestation communiqué par la préfecture (« 3 morts », p. 40) contraste avec la violence qui caractérise le récit du chapitre 2 (« les mitraillettes lâchèrent leur pluie de balles. Omar, un jeune homme de quinze ans, tomba le premier. La fusillade se poursuivit trois quarts d’heure », p. 35). Au-delà de la fiction policière, c’est un véritable réquisitoire contre la violence d’État et la police politique que D. Daeninckx compose dans ce chapitre 2 : la répression de la manifestation du 17

tremblement de terre et encore moins le juger. Pourtant, quand le premier novembre 1755 un gigantesque séisme a lieu à Lisbonne, causant entre 50 000 et 100 000 morts, Voltaire prend immédiatement la plume et, le 24 novembre, il écrit Cent mille fourmis, notre prochain, écrasés tout d'un coup dans notre fourmilière  où il exprime son embarras face à la théorie du « meilleur des mondes possible ». Le  Poème sur le désastre de Lisbonne  suit en 1756, il y exprime sa désolation et son émotion. De plus

travailleurs socialistes (FTS) de Paul Brousse (les broussistes ou possibilistes, réformateurs) - Parti ouvrier socialiste révolutionnaire (POSR) de Jean Allemane (allemanistes) 1891 - agitation pour la journée de huit heures le 1er mai (fusillade de Fourmies) - encyclique Rerum Novarum (doctrine sociale de l’Eglise) - première convention collective en France (compagnies des houillères du Nord-Pas-de-Calais) 1892 - congrès constitutif de la Fédération des bourses du travail (Fernand Pelloutier

sont : «une violence dont le vent allait enfiévrer les corons aux quatre coins du pays» (page 242). La cinquième partie se ferme, après le pillage, sur la vision comique du «pâtissier de Marchiennes» et de ses «vol-au-vent» (page 354). C’est la fusillade qui termine la sixième partie. Cette structure donne à l'ensemble beaucoup de dynamisme. L'action repose sur l'opposition irréductible de deux blocs : les mineurs et les bourgeois, Zola ayant voulu que les oppositions soient «poussées au summum

CHRONOLOGIE 1848-1958 EN FRANCE 1848 22 février : manifestation contre l'interdiction du banquet du XIIème arrondissement. 23 février : - insurrection parisienne ; fusillade du boulevard des Capucines - renvoi de Guizot ; rappel de Molé puis de Thiers 24 février : - abdication de Louis-Philippe, en faveur du comte de Paris - proclamation de la Rép. à l'Hôtel de Ville et création d'un gouvernement provisoire pro-républicain. 25 février : proclamation du droit au travail. 26 février