Gabon

(900.000 Habitants) Régime politique : République Présidentielle Président de la République : Denis SASSOU NGUESSO Frontières : 5 504 Km - Angola 201,0 Km - Cameroun 523,0 Km - Centrafrique 467,0 Km - Congo Kinshasa 2 410,0 Km - Gabon 1 903,0 Km Réseau ferroviaire : 795 Km Côtes maritimes : 170 Km (sur l'Océan Atlantique) Port maritime : POINTE-NOIRE (port en EAU PROFONDE) PIB : 13.350 millions US DOLAR PIB par habitant : $ 4000 Taux d'investissement : 32 % du

précieux lors des tensions avec Londres et Washington[39]. Obtenant le ralliement de plusieurs possessions coloniales françaises, notamment en Afrique grâce au ralliement rapide du gouverneur Félix Éboué (le 28 août le Tchad, le Congo et le Cameroun, le Gabon étant conquis dans le mois de novembre 1940), de Gaulle se place à la tête du Comité national français à partir du 24 septembre 1941. Mais il fait surtout en sorte que la France reste présente dans le camp allié, par ses Forces françaises libres (FFL)

d’emploi. Les quelques journées portes ouvertes qu’elle a organisé, n’ont jamais connu d’affluence et les étudiants de l’IUSO ne se sont jamais engagés à ces évènements. L’image de l’IUSO dans le commun des gabonais et offreurs d’emploi installés au Gabon est celle de son ancienne image (l’école qui forme les secrétaires : ENSS). 4- Diffusion de l’information pour décider et agir La Direction Générale de l’IUSO devrait appliquer ce qui suit : Définir les objectifs stratégiques concernant les formations

sous-région La Centrafrique comme son nom l’indique, se situe au cœur du continent. De ce fait, les remous s’y déroulant ne pouvaient laisser indifférents les pays voisins. En effet se sont plus investis les Etats du Congo Brazzaville, du Gabon et du Tchad. Le Gabon de par son influence diplomatique s’est érigé en initiateur des pourparlers sous la houlette de Feu Omar Bongo en Décembre 2008. Son successeur Ali Bongo prend le relais auréolé de la présidence de la CEMAC. C’est dire que la diplomatie

désormais planétaire exigeant l’adéquation formation-emploi en plein essor dans l’intérêt communautaire par la qualité et l’optimisation des services publics. En effet, pour s’arrimer aux exigences socio-culturelles, économiques et politiques, le Gabon doit rigoureusement créer des grandes écoles supérieures véritables qui constituent un pôle d’excellence pour les générations futures. L’Institut Privé de Formation Administrative et Professionnelle (IPFAP) fondé en 2OO8 permet aux apprenants d’obtenir

les États (royalties). Le pétrole ne profite donc pas aux populations locales, : il y a par exemple souvent des pénuries de carburant au Nigéria. L'exploitation de pétrole dans le golfe de Guinée crée également des contentieux territoriaux. Le Gabon et la Guinée se disputent un territoire océanique riche en gisements. Ce conflit est difficile à régler du fait de la difficulté à fixer des frontières maritimes. L’enjeu principal est de contrôler un maximum de Z.E.E. A l'échelle locale dans ce

classé sans suites pour insuffisance de preuves !  Voilà qu’en France, la chaîne de télévision France 2, rompt le Rubicon pour montrer au monde entier le train de vie sultanesque de deux présidents africains. Un univers surréaliste quand on sait qu’au Gabon et au Congo, 60% et 70% de la population vivent respectivement sous le seuil de la pauvreté. En tout cas, ces strapontins ont le goût du luxe ; Paris 16e, 8e et 7e arrondissements pour Omar Bongo et son épouse, Paris 16e et Neuilly-sur-Seine pour Jeff

Introduction La communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) qui a son siège à Bangui en République centrafricaine, regroupe six (6) pays: Le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée-équatoriale et le Tchad. Le traité instituant cette communauté a été signé le 16 mars 1994 et entré en vigueur en juin 1999. La création d'une telle instance vise à promouvoir un développement harmonieux des Etats membres, en instituant

chute de Bozizé, la sous-région centrale serait devenue une véritable poudrière. Cet ancien officier congolais (Gabriel Maindo, Ndlr) avait pour objectif d’en finir avec tous ces dictateurs d’Afrique centrale. Il a pointé : le Rwanda, l’Ouganda, le Gabon, la RDC, le Tchad et puis l’Angola. Il fallait profiter, dans un premier temps, du soutien d’Idriss Déby pour renverser Bozizé et lui montrer que la Séléka était à ses côtés. Et dans un deuxième temps, après la chute de Bozizé, nous aurions renversé

que « noircir les fauteuils ministériels depuis les indépendances ». Il explique avec beaucoup d’humour que ce soit au Congo Brazzaville où le pouvoir regardait du coté de l’Union Soviétique, au Zaïre ou Mobutu était l’homme des Américains, ou au Gabon où Omar Bongo était (et est encore) l’homme des Français, partout quelles que soient ses références idéologiques, le pouvoir fonctionne de la même manière. Inquiété pour sa vie dans son pays pour ses prises de position politique, Maxime N’Débéka dit