Gabriel Fauré

s’est trouvée, par l’absence et la mort de son mari dans une assez mauvaise situation au point de vue de la clientèle qui l’a abandonnée en partie 3 ». Ces difficultés sont également renforcées par des charges familiales supplémentaires. La veuve Faure, qui a exploité son café d’avril 1914 à décembre 1919, date de la vente, déclare que « son débit de boisson, par suite de la guerre, a subi une telle dépréciation qu’[elle] ne pourrait même pas payer les dettes ou arriérés de ces quatre années.

l'auteur Tchèque et qui pourtant contient quelques liens avec ce dernier mais il est également l'inspirateur d'un Kundera lui-même au antipodes de l'auteur de Portnoy et son complexe. Lorsque Verlaine pense tel poène sur les masques, il influence Gabriel Fauré qui en fera une symphonie. Lorsque Meissonnier peint un tableau de guerre, il donne l'occasion à Dali, dans son tableau intitulé, "Arabes", de créer une nouvelle oeuvre. Un artiste, parce qu'il invente ou découvre ouvre de nouveaux horizons à d'autres

étrangères étant poussées à quitter la france. L'opposition socialiste, réunie au sein de la fgds (fédération de la gauche démocrate et socialiste), dépose alors une motion de censure contre le gouvernement pompidou, défendue par guy mollet7. Maurice faure (du rassemblement) déclare alors « si chacun de nos alliés se comportait comme vous le faites et prenait les décisions que vous venez de décréter, cela ne signifierait rien d'autre que le retrait de toutes les forces américaines du continent européen

arts. Directement d’abord. Plusieurs arts y sont représentés à travers des figures d’artistes : la peinture avec Elstir (qui a des traits de Claude Monet), la musique avec Vinteuil et la fameuse « petite phrase » (empruntée à divers musiciens : Gabriel Fauré, César Franck, Saint-Saëns, Wagner), la littérature avec Bergotte (qui ressemble un peu à A. France), le théâtre avec deux comédiennes, la Berma (qui rappelle Sarah Bernhardt) et Rachel (qui ressemble à Réjane). Mais aussi « en abyme », car, lorsque

marins en qui on reconnaît des traits de Claude Monet (l’épisode authentique de sa visite au Musée de Paume et à l’exposition de Wermer) ; la musique est évoquée par la fameuse « petite phrase » de Vinteuil (où on reconnaît divers musiciens : Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns, Richard Wagner), la littérature par Bergotte (fait à l’image d’Anatole France), le théâtre par Berma (évidemment Sarah Bernhardt). Les points d’intersection du Temps et du récit de la Recherche Les indications du

d’une infirmerie particulière destinée aux proches du Roi, preuve de l’intérêt du Roi pour la ville de Versailles. D’ailleurs, en 1724, Tannevoi, architecte de l’hôpital, ajoute une aile. L’année 1728 voit un nouveau projet présenté par Ange-Jacques Gabriel, Premier architecte du Roi pour la construction d’un nouvel ensemble architectural, le but est de démolir les maisons acquises en 1707 par Louis XIV et de les remplacer par un ensemble plus simple encadrant une cour intérieure. A la mort de Louis

Vie de Colette  Colette à 5 ans  Colette adolescente  Colette à 18 ans Les années de jeunesse (1873-1893) 1873 À Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne), naissance de Sidonie Gabrielle Colette, fille de Sidonie Landoy, la future « Sido » de l’œuvre (1835-1912), veuve Robineau-Duclos, remariée en secondes noces (1865) avec Jules Joseph Colette (1829-1905), ancien capitaine de zouaves, amputé d’une jambe, percepteur à Saint-Sauveur depuis 1860. Celle qui vient de naître a une demi-sœur du premier

contexte géopolitique complexe suite aux conflits de la première guerre mondiale, volonté de paix ayant pour figure principale Aristide Briand réunissant autour de lui centre-droit modéré et centre-gauche radical. Les socialistes inspirés de Paul Faure retrouvent les positions de Jaurès mais préconisent également une action énergique des gouvernements en faveur de la paix. Ils ne rejettent ni l'armée ni la patrie. Les accords de Locarno (1925), signés par la France, l'Italie, la Belgique, la Grande-Bretagne

premières chroniques dans la presse Il est naturalisé français. | 1864 | Il publie un recueil de nouvelles : Les Contes à Ninon | 1865 | Il publie son premier roman, d'inspiration autobiographique : La Confession de Claude. Il rencontre Gabrielle-Alexandrine Meley qu'il épousera en 1870. | 1866 | Emile Zola quitte Hachette et devient chroniqueur littéraire à l'Evénement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu'on

Edgar Demange * Camille Desmoulins* * Gaston Doumergue* * Edgar Faure* * Jules Ferry* * René Floriot * Léon Gambetta* * Maurice Garçon * Félix Gouin* * Jules Grévy* * Jacques Isorni * Fernand Labori* * Charles Lachaud * Jean Lemaire * Malesherbes* * Émile Loubet* * Pierre Mendes France* * Alexandre Millerand* * François Mitterrand* * Honoré-Gabriel Riquetti de Mirabeau* * Vincent de Moro Giafferi* * Raymond Poincaré*