Gaius

retrouve la jurisprudence) le codex Institute (manuelle pour étudiant) les novelles Doc 6 : Les institues de justinien On retrouve la distinctions entre le droit naturel et le droit civil (droit civil) Justinien s’est appuyé sur les institutes de gaius Senatus consult La loi regia -> la loi royale de l’empire c’est une loi voter par le peuple et confirmer par le senat pour instituer l’empereur Doc 7 : préface du digeste Texte où on évoque la religion Le digeste est sous la protection divile Nature :

rationaliser, organiser et codifier. Au VIe siècle, l'empereur Justinien ordonne la compilation du droit romain appelé corpus juris civilis. Elle comporte quatre volume : code Justinien (ensemble des constitutions impériales), Institutes de Gaius (manuel de droit), le Digeste (avis de tout les jurisprudents les plus célèbres), les novelles (suite du code). I. Fondements romains de la personnalité juridique En effet, la classification des personnes opérées par les juristes

femelle, la procreation de l’enfant, de la, l’éducation » c’est un W de reflexion qui a mis du tmps a s’élaborer. Il faut également classer les def juridiques les unes par rapport aux autre, et les romains vt commencer a elaborer les classifications EX: Gaius, va organiser le D en gdre catégorie qu’il va diviser en sous categories, ds un 1er tmps, il distingue entre le D commun qui est propre a tt les hommes et le D civil qui est propre a chaque peuple et a chaque cité et ds le D civil, il y a le D public

une influence certaine. Selon Saint Cyprien, le texte est affiché au forum de Carthage. Le public y a accès. De même, Ciceron, Aulu-Gelle et d'autres jurisconsultes classiques citent ou commentent les dispositions de la loi des XII Tables. Labéon et Gaius y font référence. Le Digeste* cite des fragments. Il y a aussi une pérénnité inégalée. La loi des XII Tables reste en vigueur pendant 10 siècles !!!! b) Elaboration de la loi en général. Distinguer : LEGES DATAE : loi prise par un magistrat

L'obligation est une notion juridique qui provient du droit romain, et qui signifie « lien étroit » (Ob-ligatus). • Apport de Gaius : Les Institutes de Gaius écrites au 2ème siècle après Jésus-Christ. Les Institutes de Gaius traitent de l'ensemble du droit privé romain (famille, personnes, droits réels, obligations et procédure). Dans son Livre III, Gaius écrit: "Les obligations comportent une division fondamentale en deux espèces: toute obligations en effet naît d'un contrat ou d'un

Jules César, il sera divinisé après sa mort, survenue dans sa 81e année. | Contrepoids de Brutus, Max Pirkis incarne dans Rome (HBO) un Octave finement ciselé. (Pour faire court, indiquons simplement que le premier épisode le présente comme «Gaius Octavianus Julii», ce qui est un peu prématuré, et de toute manière incorrectement libellé.) Octave-Pirkis est un véritable petit surdoué. Aussi bien en matière de psychologie que de politique, son jugement est sûr. Octave a parfaitement bien compris

de son père adoptif (Jules César). Elle brûla peu de temps après son achèvement, vraisemblablement durant l'incendie de Rome de 14 av. J.-C. et fut reconstruite par Auguste, qui l'agrandit, et il l'a consacra encore en 12 ap. J.-C. sous les noms de Gaius et de Lucius César : Basilica Gai et Luci mais ce nom ne perdura pas, et l'édifice reste nommé sous le nom de Basilica Iulia. Un incendie à Rome sous le règne de l'empereur Carin, en 283 ap. J.-C. détruisit en partie la basilique qui fut restaurée

droit romain affirmant, selon eux, une irresponsabilité dans l’usage des droits. Ils invoquent pour ce faire Ulpien (« Neminem laedit, nemo damnum facit, qui suo jure utitur » : ne lèse personne celui qui use de son droit) ou encore le jurisconsulte Gaïus (« Nullus videtur dollo facere qui suo jure utitur »). Cependant, d’autres auteurs, séduits par l’abus de droit, utilisent le même recueil pour le rattacher au droit romain et réfuter toute allégation selon laquelle le droit, par son silence, permettrait

est belle et bien sujet de droit. L’ESCLAVE ÉTAIT-IL VRAIMENT UNE CHOSE ? Sous l'antiquité et jusqu'en 1848, on ne peut pas dire que l'esclave est une chose: c'est beaucoup plus subtile que cela. Si on prend le droit romain, on s'aperçoit que Gaius dans ses Institutes ne parle pas d'esclaves au titre des choses mais au titre des personnes. Dans le droit romain on n'assimile donc pas tant que ça l'esclave à une chose et en réalité,il y avait plusieurs statuts d'esclaves. Le statut d'esclave à

Julien insiste la dessus. Le but de cette réflexion est de défendre l’objectif de l’intérêt général. A cela doivent céder les intérêts particuliers. On va éprouver le besoin de formuler des synthèses pour réduire cette diversité, la 1ère est celle de Gaius (1ère institute). Il y a désormais une littérature juridique avec ses auteurs et ses tendances. Ces juristes viennent de partout, de tous les coins de l’empire Romain avec une prédilection pour l’Afrique Romaine ainsi les grands juristes sont souvent