Galba

64 : incendie (probablement accidentel) de Rome, premières persécutions contre les chrétiens * 65 : conspiration de Pison contre Néron ; mort de Pison, Sénèque, Pétrone et Lucain. * 68 : mort de Néron ; année "des quatre empereurs" (Galba, Othon, Vitellius et Vespasien) Ajoutons une "naturalisation" de la scène et des personnages : la "cour" à laquelle il est fait allusion est celle de Louis XIV, les personnages s'expriment comme des courtisans du XVIIème siècle, et d'ailleurs ils

le principat.  La fin des Julio-Claudiens La conjuration de Pison fut violemment réprimée, mais le pouvoir de Néron s’effondra. Lors d’une bataille, les soldats ne le défendirent pas, délibérément. Le Sénat proclama Galba à sa place. L’année des quatre empereurs Galba avait la réputation d’être intègre et sévère. Il ne brigua pas le pouvoir, mais le reçut du Sénat. Il avait été désigné comme favori des dieux. Mais il fut tué très vite, à l’instigation d’un ancien compagnon de Néron. Le

civile, comme jadis, dans les dernières décennies de la République, ou plus récemment en 68-69., à la mort de Néron. En effet, la crise économique, l’inflation et la volonté de tourner la page poussent à l’insurrection. Néron est renversé en juin 68. Galba, gouverneur de l’Espagne Tarragonaise prend le pouvoir, soutenu par les prétoriens et sénateurs romains. Une fois encore des armées romaines se déchirent sous les yeux de voisins, sollicités d’apporter leurs concours à l’une ou l’autre des deux factions

(54 ; 68) : sa se passe bien les premières années, il fait tuer sa mère, en 64 il y a un incendie à Rome et il accuse les chrétiens, il veut reconstruire une nouvelle Rome. Guerre civile qui dure 1 an, on prend un vieux sénateur qui s'appelle Galba (un vieux soldat qui veut remettre de l'ordre et qui se fait assassiner par l'armée), Othon le remplace puis se fait assassiner, puis Vitellus (qui est un glouton) il y a une révolte de Vespasien en Syrie, où il a fait le siège de Jérusalem, il y a

scalpel d’un chirurgien: “ Si tu veux voir un esclave […] tu n’as qu’à descendre au marché de la Pointe et regarder les volailles ficelées dans les cages, avec leurs yeux d’épouvante. “si tu veux savoir à quoi ressemble un maître, tu n’as qu’à aller à Galba, à l’ habitation Belle-Feuille, chez les Desaragne. Ce ne sont que leurs descendants, mais tu pourras te faire une idée.” (63) Les révélations brutales de Man Cia déchirent d’un trait le voile du passé et éclairent d’une lumière impitoyable le mal

disposition de cette armée que je vois, n’est aucunement barbare. ” Autant en dirent les Grecs de celle que Flaminius fit passer en leur pays et Philippe, voyant d’un tertre l’ordre et distribution du camp romain en son royaume, sous Publius Sulpicius Galba. Voilà comment il se faut garder de s’attarder aux opinions vulgaires, et les faut juger par la voix de la raison, non par la voix commune. J’ai eu longtemps avec moi un homme qui avait demeuré dix ou douze ans en cet autre monde, qui a été découvert

territoire très étendu 45 et très fertile, sur lequel avait régné, de notre temps encore, Diviciac, le plus puissant chef de toute la Gaule, qui joignait à une grande partie de ces régions l’empire de la Bretagne ; aujourd’hui, ils avaient pour roi Galba, auquel tous les alliés ont, d’un commun accord, déféré le commandement pour sa prudence et son équité ; il avait douze villes, promettait cinquante mille hommes. Les Nerviens, qui passent pour les plus barbares d’entre ces peuples et qui sont les

pour la citation suivante, p. 203. 56 II avait existé en Grèce des comédies portant sur les fables Cretoises, et au moins une d'Alkaios. 57 Néron XII. Suétone rapporte aussi que Galba exposait dans son atrium un arbre généalogique qui le faisait descendre de Jupiter du côté paternel et de Pasiphaé du côté maternel (Galba, II) 58 Dans le contexte très sérieux de son Apologie, Apulée précise que sa femme dépérissait après la mort de son mari et que le remariage était conseillé par les médecins, sous

de cette armée que je vois n'est aucunement barbare." Autant en dirent les Grecs de celle que Flaminius fit passer en leur pays, [C] et Philippus, voyant d'un tertre l'ordre et distribution du camp Romain en son royaume, sous Publius Sulpicius Galba. [A] Voilà comment il se faut garder de s'attacher aux opinions vulgaires, et les faut juger par la voie de la raison, non par la voix commune. J’ai eu longtemps avec moi un homme qui avait demeuré dix ou douze ans en cet autre monde qui a été

(comentarii) , vérifie l’âge de chacun et écris-le nous. c) Copie certifiée conforme au registre des empereurs qui ont octroyé le droit de cité romaine, le divin Auguste, Tibère César Auguste, Caius César, le divin Claude, Néron, Galba, les divins Augustes Vespasien et Titus, César Domitien, les divins Augustes Nerva, Trajan Parthique, Trajan Hadrien, Hadrien Antonin le Pieux, Verus Germanique, Médique et très grand Parthique, l’empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste Germanique