Gandhi écrivait Il Faut Un Minimum

jamais fidèle aux idéaux des Lumières, et pourtant plus que jamais désenchantée. Désenchantée car, selon certains, nous serions privés d’histoire. Nous serions les prisonniers d’un horizon indépassable. Nous serions les prisonniers d’un monde où il faut avoir pour être, d’un monde de plus en plus riche en biens, et de mois en moins en liens, d’un monde où finalement chacun perd sa vie à la gagner. Je profite de la tribune qui m’est offerte aujourd’hui pour démontrer à quel point cette idée est erronée

telles la liberté d'expression, de réunion, d'association, ou encore le droit d’accéder aux fonctions et aux postes publics, sans oublier les élections périodiques par suffrage universel. Il reste pourtant que, dans les systèmes démocratiques, il faut conjuguer le principe d'égalité et le principe de la majorité avec le respect du pluralisme. Une des voies d'expression dudit pluralisme serait « l'opposition extra–parlementaire » qui, par définition, doit professer sa loyauté aux principes qui gouvernent

domination économique, constituée par l’exploitation des richesses d’un pays au bénéfice préférentiel d’un autre. Dans un livre déjà ancien, Tibor Mende donnait de ce colonialisme économique une définition intéressante : « L’essence du colonialisme, écrivait-il, est la modification de l’économie et de la structure sociale d’un autre pays plus puissant capable d’imposer sa volonté. » Les différentes politiques d’achat des produits coloniaux par le colonisateur deviennent alors essentielles. C’est dans

né l’utopie communautaire. En effet, les hippies aimaient se rassembler pour vivre une vie différente de celle qui leur était proposée par la société. Ils voulaient montrer qu’on pouvait vivre indépendamment maissolidairement en utilisant que le minimum vital. C'est la société qui créé les besoins secondaires. Cette idée de vie non conforme à la société était mal vu par certains qui ne voyait dans cette vie communautaire qu’un monde d’obscénité et dedégradation des mœurs. De ce fait, la police était

personnalité, leur charisme et leur capacité à influencer l’entourage ; le christ en était une figurait centrale, d’autres comme lui ont fait les héros de leurs écrits tel que Attila Jeanne d’arc, Lincoln jules César ou encore Mackaevel. Déjà Platon écrivait dans la république à propos du gardien de la cite qu’il était philosophe et fort. Au 18iem sicle, siècle dominé par le courant positiviste, avec voltaire qui proclamait que par le seul usage de la raison l’homme pouvait contrôler son destin , au

qui sont destructeurs. Nous devons constamment faire des choix et prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme-mental. Il ne peut pas nier sa propre conscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et du mal

système mis en œuvre pour que nous conservions le pétrole du Moyen-Orient. Il est essentiel que ce pétrole demeure accessible." (Kimhe John, Palestine et Israël, Ed. Albin Michel, 1973, p. 27), jusqu'au secrétaire d'Etat américain, Cordell Hull : "Il faut bien comprendre que le pétrole d'Arabie Saoudite constitue l'un des plus puissants leviers du monde" (ibidem, p. 240), une même politique assigne la même mission aux dirigeants sionistes israéliens, celle qu'a définie Joseph Luns, ancien secrétaire

une large marge d’interprétation (voire de manipulation) de sa pensée. Il s’est positionné sur plusieurs questions politiques de son époque : sur la guerre d’Algérie, sur la Chine et les pays de l’Est, sur le fédéralisme, sur le pacifisme de Gandhi. Il a soutenu les anarchistes d’Amérique du Sud à la fin de sa vie. Il s’est aussi engagé politiquement plusieurs fois dans sa vie comme, par exemple, entre 1935-1937, quand il était affilié au parti communiste en Algérie et en 1956, quand il a

et le Pacifique reste en grande partie fermée aux Européens, même à la marine britannique. Le rayonnement de l’Europe se heurte encore à l’immensité du globe, malgré la révolution des transports ; même après l’ouverture du canal de Suez en 1869, il faut encore deux mois (contre six auparavant) pour que les steamers anglais relient les Indes. En ce sens, le cas du Japon mérite d’être évoquée  : la carte met en évidence son développement aux confluences des influences européennes sur l’Asie colonisée

et le Pacifique reste en grande partie fermée aux Européens, même à la marine britannique. Le rayonnement de l’Europe se heurte encore à l’immensité du globe, malgré la révolution des transports ; même après l’ouverture du canal de Suez en 1869, il faut encore deux mois (contre six auparavant) pour que les steamers anglais relient les Indes. En ce sens, le cas du Japon mérite d’être évoquée  : la carte met en évidence son développement aux confluences des influences européennes sur l’Asie colonisée