Garcilaso de la Vega

� Biographies : Bernand LAVALLÉ, Francisco Pizarro, Conquistador de l'extrême, Paris, Biographie Payot, 2004. Bartolomé BENNASSAR, Cortès, conquérant de l'impossible, Paris, Payot, 2001. Carmen BERNAND, Un Inca platonicien, Garcilaso de la Vega (1539�1616), Paris, Fayard, 2006. Marianne MAHN�LOT, Bartolomé de Las Casas et le droit des Indiens, Paris, Payot, 1982 [une vision humaniste d'un humaniste]. Alain MILHOU, Colomb et le messianisme hispanique, Mont-de-Marsan, éd. universitaires

Estudiante, De edad de 17 años, Nacida en Arequipa -Perú- en el año de 1990 pero criada en Lima desde los 2 años, la etapa de secundaria fue realizada en el colegio Gral. “Emilio Soyer Cabero”, actualmente cursando el I ciclo en la “Universidad Inca Garcilaso de la Vega” Katherine Isabel Uscuvilca Rojas lebasy_216@hotmail.com Este trabajo fue hecho en Perú, Lima el viernes 2 de noviembre del 2007

conservó una parte de la producción en verso de Cervantes. Cultivó las formas castellanas (redondilla, quintilla, romance) y las estrofas italianas (soneto, elegía, canción). En su obra se reconoce la influencia de Petrarca, Fray Luis de León, Garcilaso de la Vega. b. El dramaturgo En sus primeros años de escritor, Cervantes compuso más de veinte comedias pero sólo dos tuvieron éxito. La verdadera contribución de Cervantes al teatro son los ocho entremeses que se encuentran en El rufián dichoso

giovinezza e dell’amore “Amiam, che ‘l sol muore e poi rinasce, a noi sua breve luce s’asconde, e ‘l sonno eterna notte adduce”. Il tema della brevità della vita e l’invito a godere della giovinezza è presente anche nella letteratura Spagnola con Garcilaso de la Vega e Gongora i quali in un sonetto che entrambi scrivono in modo simile esortano una donna a godere delle sue bellezze e della sua giovane età, prima che la vecchiaia ed inseguito la morte la raggiungano. Tra la fine del Rinascimento l’inizio

l’incessant rebondissement de leurs significations et le buissonnement imprévisible de leurs ramifications. » (p. XXXV). 14 « Dévoiler l’image du passé : l’élégie funèbre comme lieu de mémoire. Consolation, souvenir et exemplum dans l’élégie I de Garcilaso de la Vega », pp. 75-100 15 Michel de Certeau, L’écriture del’histoire, Paris, Gallimard, 1984 [1975], p. 117 16 Marc Fumaroli, « Les Mémoires au carrefour des genres en prose », dans La diplomatie de l’esprit de Montaigne à La Fontaine, Paris, Gallimard

dell'opera di Juan del Encina, considerato il fondatore del teatro spagnolo, le stupende Coplas di J. Manrique e la Celestina di F. de Rojas. Il Rinascimento compare in Spagna con forme diverse: il petrarchismo dà uno dei migliori poeti europei, Garcilaso de la Vega, il neoplatonismo fa il suo ingresso con l'opera di Leone Ebreo, la prosa retorica e dottrinaria con A. de Guevara, il romanzo pastorale con G. Gil Polo, Montemayor e Cervantes, e il poema epico all'italiana con L. Barahona de Soto, J. Rufo

l’historien de l’art Erwin Panofsky, mais aussi avec le philologue classique Paul Friedländer. L’auteur s’attache en particulier à l’art de l’ekphrasis chez Garcilaso qui renouvelle l’art de la description en vers, créant un modèle qui marque toute la poésie du Siècle d’Or. La réflexion menée ici relève la façon dont Spitzer associe la poésie de Garcilaso aux grands peintres de la Renaissance et la caractérise par un «  effet de sourdine » classique qui offre une piste pour définir la nouveauté propre à

dénonce les préjugées et remarque l’incapacité de la société à reconnaître l’Autre, malgré les études histo- riques qui existaient déjà au XVIIIe siècle renseignant sur le savoir des Indiens, nantis d’une culture florissante et un esprit vif. L’Inca Garcilaso, considéré comme le père des lettres de ce continent, avait mené un projet historiographique centré sur le passé américain et, en particulier, sur le Pérou. Il publia à Lisbonne, en 1605, son histoire du voyage du gouverneur Hernando de Soto à

convoitaient. Les Incas et la colonisation des régions andines[modifier] À partir de 1438, sous l'impulsion de l'empereur Pachacuti Yupanqui, l'empire inca commence son expansion. On trouve dans l'ouvrage Commentaires royaux des Incas d'Inca Garcilaso de la Vega un exemple de cette dimension colonialiste de l'empire inca. Lors de la phase d'expansion de leur empire, les Incas rencontrèrent la civilisation Chimu. Comme à leur habitude, les Incas proposèrent aux Chimu d'abandonner leurs lois au profit

poète Jorge Manrique mort en 1498 a eu une influence immense sur la poésie qui a suivie, c’était un soldat, qui a écrit peu de poésie mais très belle Coplas. Juste après le Sonnet a été introduit en Espagne, le meilleur auteur de Sonnet est Garcilaso de la Vega qui était un soldat lui aussi mort en 1536. On retrouve très souvent dans la littérature espagnole ces personnages de pretres, religieuse comme Fray Luis de Léon née en 1527 et mort en 1591, un représentant majeur de l’humanisme et qui