Gary Snyder

deuxième pont qui enjambe la Combé, en bordure de l’ex-mare sacrée de Dalandjougou, se trouve la tombe de Raphaël Matta, personnage étroitement lié aux Racines du ciel, roman qui valut le prix Goncourt à son auteur, Romain Gary. Deux ans après la parution du livre en 1958, Romain Gary reçut une longue lettre en provenance de Côte d’Ivoire. Un homme, Raphaël Matta, y parlait de son expérience et des étranges similitudes que celle-ci présentait avec le destin du héros des Racines du ciel, Morel, un rescapé

Chien blanc de Romain Gary Chien blanc est un roman parut le 20 mars 1970 aux éditions Gallimard. Dans ce livre, le vocabulaire est familier. Cette histoire prenante se passe dans les années 1968-1969, entre Paris et Los Angeles. C'est dans un cadre bourgeois marginal que Romain Gary et sa femme vivent. Car il y la bourgeoisie de part le fait que lui est écrivain, et le milieu social marginal, car sa femme est actrice. Dans ce livre, le narrateur est l'auteur lui-même. C'est une biographie

Tantôt soldat, tantôt diplomate, Romain Gary est avant tout un romancier français, d'origine juive, de la seconde partie du XXe siècle; qui signe ses romans de son vrai nom ou d'un pseudonyme (Emile Ajar) comme La vie devant soi, roman publié en 1975 au Mercure de France est ayant obtenu le prix Goncourt la même année. Le lecteur est immergé dans l'intimité du narrateur-personnage enfant qui nous fait découvrir son univers cosmopolite dans lequel les liens du cœur prévalent sur les liens du sang

Gros – Câlin de Romain Gary    « Je vois l’homme comme une entreprise de résistance contre sa donnée  première »    Gros‐câlin est un roman de Romain Gary, publié sous le pseudonyme d’Emile Ajar en  1974. Il s’agit d’une fable humoristique de la société individualiste.  Dans ses œuvres Gary ne cesse de questionner l’existence. Ce roman retrace l’histoire de  Monsieur Cousin, qui cherche à combler le vide de son existence par un python.   Romain Gary, dans La nuit sera calme écrit « Je vois l’homme comme une entreprise de 

marginalisation comme un élément de valeure et aura recours à plusieurs lapsus au cours du roman, comme avec le commissaire de police: « Mon grand problème, Mr l'angoisse, c'est le commissaire ». Cousin annonce l'individualisme qui a gagné la société, et Romain Gary utilise l'humour contre l'angoisse de la ville tentaculaire et le vide des relations humaines dont souffre son personnage. Comme son propriétaire, le python Gros-Câlin est marginalisé et tombe dans la catégorie des mal-aimés. Cet anti-héros voudrait

L’Aube est Romain Gary (né Roman Kacew). Celui-ci est né 1914 en Lituanie, donc en pleine période de début de la première guerre mondiale et donc de la déportation des juifs. -> Lui même issus d’une famille juive. Tout au long de sa vie, Romain Gary a montré de multiples facettes. Il a exercé la profession d’écrivain bien évidemment, mais aussi celui de soldat et de diplomate. Il a écrit une trentaine de livre sous différents pseudonymes : Roman Kacew (son vrai nom), Romain Gary, Emile Ajar, Shatan

Question sur le corpus : Le corpus que nous allons étudier est composé de trois extraits des romans "Les Misérables" de Victor Hugo, publié en 1862 ; "Mort à crédit" de Louis-Ferdinand Céline, publié en 1936 ainsi que "La Vie devant soi" de Romain Gary, publié en 1975. Ces extraits accordent chacun une grande importance à un personnage particulier. Nous verrons de quelle manière les trois auteurs décrivent leurs personnages, avec quel registre. Dans ces trois extraits, on constate que les auteurs

remplie d'eau polluée ? Vraiment, y en a qui sont vraiment cons !. Attention ! Je passe au français ! Bien que Robert est tellement en manque de sexe qu'il s'invente une femme ? Bien que le narrateur est nostalgique de la prison ? Bien que Romain Gary soit en extase devant un éléphant, animal qui soit dit en passant, est complétement con ! Bien que Robert à une dette envers les éléphants alors que c'est son camarade ? Bien que le camarade Robert fantasme sur les éléphants au cachot ? Bien que

autobiographie ? Premièrement, je pense que les écrivains veulent porter un jugement sur les faits passés de leur enfance. En effet, ils désirent se justifier de leurs actes et de leur conduite. Par exemple, dans La Promesse de l’aube de Romain Gary, l’auteur se juge comme ridicule en se moquant de lui-même et en exagérant les choses à l’aide de mots et d’expressions hyperboliques : l’amour qu’il porte pour Valentine fut si intense qu’il « faillit même (lui) coûter la vie ». De plus, j’ai

Christopher Lee comme le Dracula officiel dans l'inconscient collectif, avec des suites à rallonges aussi subtiles que «le cauchemar de Dracula» ou «Dracula et les femmes». Plus fidèle au roman, on trouve l'excellente adaptation de Francis Ford Coppola, Gary Oldman endossant la cape du monstre tandis que Anthony Hopkins devient son pire ennemi, le docteur Abraham Van Helsing. En 2005, un film au titre tout à fait hallucinant, «Batman contre Dracula», voit le jour. Ce dernier «nanard» relève d'ailleurs