Gaspard de la nuit

sensibilité dite « gothique » se développe. Châteaux hantés, cimetières baignés de lune et moines diaboliques deviennent à la mode... C'est dans cette vague de romantisme « noir » que s'inscrit le recueil de poèmes d'Aloysius Bertrand intitulé Gaspard de la nuit. Publiée en 1842 à titre posthume, cette œuvre nous plonge en effet dans un univers médiéval empreint de magie noire. Elle fait également date dans l'histoire de la littérature, car les poèmes ont l'originalité d'être en prose: Bertrand bouleverse

Octave se réveille d’une nouvelle nuit d’orgie dans son luxueux appartement. Puis il rejoint les bureaux de “La Ross”, une grande agence de pub, au sein de laquelle il est concepteur-rédacteur. Là, il retrouve son binome, Charlie, avec lequel il passe de longues journées désœuvrées. Octave a de plus en plus conscience d’être le valet gâté et consentant d’un système immonde. Un matin, il soumet un projet de spot à la grande marque de yaourts Madone. Son idée est vivement rejetée par le commanditaire

féminin. Sens: Le fait que deux voyelles consécutives se prononcent séparément. Phonétique: dje.rez. Etymologie: du latin diaeresis. àDuègne: « C’était d’abord la duègne Barbara qui grondait cet imbécile de Pierrot.. » (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842) Classe grammaticale: nom commun. Genre: féminin. Sens: Gouvernante ou femme âgée chargée de veiller sur la conduite d’une jeune personne. Phonétique: du.en. Etymologie: de l’espagnol dueria. àLithographie: « La lithographie

- Henry Daniell - Billy Gilbert - Grace Hayle - Carter DeHaven - Maurice Moscovitch - Emma Dunn - Bernard Gorcey - Paul Weigel - Chester Conklin - Esther Michelson - Hank Mann - Joe Bordeaux - Gaspard Zaccaron C Charlie Chaplin dans le film « Le Dictateur » II Types d’œuvre Le Dictateur est un long métrage (deux heures et cinq minutes) du genre dramatique et comédie à la fois. « Le Dictateur » de Chaplin est pour une part un film de

révolution et de l’empire. Ensuite le thème de la nuit permet à ces poètes révoltés comme Lamartine, Victor Hugo de s’évader, d’oublier ce présent, cette époque qui est sans aucun doute la chose qu’ils haïssent le plus au monde car comme nous pouvons le voir avec le dialogue avec la nature l’esprit des auteurs est tourmenté ce qui explique les orages ou autres intempéries dans leurs poèmes. Cette évasion est permise par les mystères de la nuit ouvrant au merveilleux. Elle Le Romantisme épouse

plus grande musicalité et de quelques audaces dans les mots et dans les images, chez Victor Hugo en particulier. Cette recherche de nouveauté se concrétisera aussi par l'« invention » du poème en prose par Aloysius Bertrand (1807-1841) dans Gaspard de la nuit, publié en 1842 après sa mort, où il nous fait entrer dans un monde onirique, et qui initie une forme que reprendront plus tard Baudelaire et Rimbaud. Poésie de la sensibilité et d’une certaine musicalité, la poésie romantique se plaît dans

1866. Verlaine évoque un amour disparu, celui d’Elisa sur un mode que l’on peut qualifier d’impressionniste. Différemment, la poésie en prose permet au poète de se libérer des contraintes de la versification. Dans le poème "Un Rêve" extrait de Gaspard de la nuit, Aloysius Bertrand relate dans une atmosphère à la fois mystique et tragique trois épisodes distincts où le rêveur prend la place d’un condamné qui subit le supplice de la roue. On a bien montré que la contrainte imposée par un héritage poétique

voir avant de faire un prix. Après avoir vu la mourante et constater son état, elle accepta six francs tout compris parce que selon elle, la vieille ne durait pas toute la nuit. Elle la fit administrée par le prêtre. Le jour tombait, la vieille semblait attendre avec indifférence la mort si proche qui tardait à venir. À la nuit tombante, Honoré rentra et vit que sa mère n’était pas morte. Le lendemain, la Rapet arriva au jour levant et elle compris que cela pouvait durée plusieurs jours. Une épouvante

brillantes qui nous enivraient. Et puis la danse allait, allait, comme au temps où elle était une chose agréable au Seigneur. Amaryllis voltigeait comme une phalène. On eût dit le même bourdonnement d'ailes. Vous savez, la phalène, ce beau papillon de nuit qui vient brûler à la flamme des candélabres son corsage de velours et ses ailes de cire? Amaryllis, c'était la fiancée; Amaryllis Belleau. Un beau brin de fille, je m'en souviens, et mise à ravir. Elle portait... Voyons, que portait-elle? Ma foi!

mots plus familier dans les Contemplations, Baudelaire autorise un beau moins classique tiré du mal lui-même dans les fleurs du mal (oxymore). Quant à Verlaine, il s'intéresse à la musique du vers impair. A la suite d'Aloysius Bertrand dans Gaspard de la nuit, Baudelaire renouvelle aussi les genres poétiques en proposant des poèmes en prose. Dans les textes à étudier se trouvent d'abord un poème « la chevelure » de Baudelaire extrait des Fleurs du Mal (1857) et l'adaptation en prose de ce poème