Gauche démocrate et républicaine

Constitution de la V République. De l’Europe monarchique de 1789 ne reste que peu de monarchies (Royaume-Uni, Espagne, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Suède, etc…) et ces monarchies sont également des démocraties. Mais, si la démocratie et le régime républicain se sont diffusés en Europe, la V République présente des singularités par rapport aux régimes constitutionnels des voisins de la France (Allemagne, Royaume-Uni…). Nous allons donc voir en quoi le modèle français est-il atypique par rapport à

Députés, avec ses enfants, dans l’espoir de sauver la dynastie. Les députés, dans leur majorité, semblent favorables à une régence, mais, pendant la séance, le Palais-Bourbon est envahi par les révolutionnaires qui, d’accord avec les élus de l’extrême-gauche, repoussent toute solution monarchique et font proclamer un gouvernement provisoire. La II° République sera imposée par P à la F. Le gouvernement provisoire : les premiers actes Il se constitue en deux temps. - D’abord, une liste préparée

e-qu-parti-politique.html 12 les principaux partis politiques français à classer de l’extrême gauche à l’extrême droite L’extrême gauche Lutte ouvrière (LO). Parti trotskiste. Porte-parole et candidate à l’élection présidentielle de 2007 : Arlette Laguiller. La Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Parti trotskiste. Candidat à l’élection présidentielle de 2007 : Olivier Besancenot. La gauche Parti socialiste (PS). Créé par François Mitterrand en 1971, il est actuellement dirigé par François

des femmes du pouvoir. Cette réalité est ancienne et résulte de l’héritage franc. En effet les femmes sont exclues de la succession au trône, c’est la loi salique. Seuls les hommes peuvent accéder au pouvoir. Passage de l’ancien régime au régime républicain, ce principe a perdu. Véritable transfert de sacralité. Le citoyen masculin a remplacé le prince. Finalement le souverain citoyen reprend les attributs du roi, et donc les femmes sont exclues de ce nouveau pouvoir politique. S’ajoute également

L’auteur exprime ici une thèse selon laquelle les électeurs français et américain exercent un raisonnement politique à travers la compréhension des axes gauche-droite et libéral-conservateur. Vincent Tiberj indique que le raisonnement politique de l’électeur n’est possible que si celui-ci détient des repères politiques comme par exemple les axes gauche-droite en France ou bien l’axe libéral-conservateur aux Etats-Unis. Ce dernier est moins bien maîtrisé par les électeurs que l’autre en France. Pour

la vie politique actuelle. Par exemple, la Révolution française a beaucoup marqué, imprégnée la vie politique et l’a conduit à développer de nombreuses spécificités (constitution, religion, institutions et leurs rôles, laïcité de la France, clivage gauche-droite, séparation des pouvoirs […]). La Révolution française correspond à la disparition absolue d’une société, de l’ancien régime et à la construction d’un nouveau régime et d’une nouvelle société moderne en 10 ans (modifications des institutions

pas unis pour autant. Les Révolutions de 1830 et 1848 leur ont donné une audience plus large. La rupture du socialisme : 1848 L’échec de la République sociale de 1848 diviseles socialistes, de façon profonde et pour longtemps... Les Républicains sont restés très méfiants de leurs partenaires socialistes en 1848 : les Ateliers nationaux ne sont qu’une pâle copie du programme de Louis Blanc (qui n’est pas ministre en titre) et les Libéraux avec Lamartine pensent avoir réglé la question sociale

maintien de la souveraineté française. Ce dernier se dit « prêt à assumer les pouvoirs de la République ». Des dirigeants politiques de différentes sensibilités politiques, comme Guy Mollet[2] ou Antoine Pinay[3], se rallient à cette idée. D'autres, à gauche, s'inquiètent et manifestent contre le retour du général de Gaulle au pouvoir dans de telles circonstances. C'est le cas du Parti Communiste, de Pierre Mendès France ou de François Mitterrand[4]. Le président René Coty[5] pense que la situation impose

Empire : les biens de l’Eglise sont confisqués, le clergé déclaré ennemi du peuple…des prêtres seront arrêtés et même parfois exécutés, l’archevêque Darboy subira ce sort. Ces sombres débuts ne sont pas fait pour rapprocher les catholiques de l’idées républicaine. La même année, peu après la Commune de Paris, se développent des fondations de « cercles catholiques d’ouvriers » crées par Albert de Mun et René de la Tour du Pin, qui deviennent assez populaires (400 cercles regroupant 50 000 membres de tous

blocage : ceux qui veulent des avancés démocratiques de la Monarchie de Juillet organisent une Campagne de Banquet (juillet 1847). Seul moyen qui existe : droit d’association/de réunion n’existe pas. Entrée payante : bourgeois modérés, loin d’être des républicains. Guizot en interdit un le 21 février 1848. Les organisateurs se calment mais les plus radicaux passent outre et forment des cortèges dès le lendemain dans Paris pour demander la démission de Guizot. Reprise de l’agitation le 23 février : Louis