Gavroche

(Victor Hugo s’inspirera même du jeune garçon à droite de la femme pour son personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard) - engagés spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérées sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : Inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - A ses pieds, sur sa droite, un homme vêtu d’un pantalon noir, d’une ceinture

d'amour ont peux y découvrir des chants de révoltés et de résistants à travers de nombreuses expressions à double sens ou allusives qui laisse nos idées se développer. En effet, dans l'extrait de Victor Hugo, Les misérables, le personnage du texte (Gavroche) récite un poème composé de quatre strophes, toutes avec des rimes bien précisent comme on peut le lire dans le texte, « Je ne suis pas notaire c'est la faute a Voltaire; je suis petit oiseau c'est la faute a Rousseau », tout en se faisant

d'obus et de mitraille Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent Chanson (L'Ame en fleur) Chanson (Proscrit, regarde les roses...) Chanson d'autrefois Chanson d'autrefois (autre) Chanson de Gavroche Chanson de grand-père Chanson de pirates Chanson des oiseaux Chanson du bol de punch Chanson pour faire danser en rond les petits enfants Chant sur le berceau Charles Vacquerie Choses du soir Clair de lune Claire Commencement d'une illusion

par la compagnie des mines ou la descente effectuée par les soldats, les mineurs ont tout fait pour essayer de faire face, et bien que la grève ait échoué, je trouve le comportement de ces personnages héroïque. Dans Les Misérables de Victor Hugo, Gavroche se fait viser par une armée mais il riposte, bien sûr, c'est de l'inconscience, mais le fait de riposter est un acte héroïque. Les romans servent à raconter une histoire, mais ils servent également à critiquer la société, mais si on ne se contentait

s'apitoyer sur son sort en faisant cela il est plus simple pour lui de faire passer Napoléon III comme quelqu'un de cruel et sanguinaire qui ose tué des enfants bien sûre indirectement. La mort de ce garçon n'est pas sans nous rappeler la mort de Gavroche dans les Misérables sur les barricades contre le régime mis en place à cette époque qui est la monarchie de juillet. Qui est lui aussi un enfant quand il meurt à cause d'une balle perdue 

allégorie de liberté. LE GAMIN DE PARIS: a droite, devant la Liberté, figure un garçon, symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. L’HOMME AU BERET: Il porte son tablier de travail, c’est donc un ouvrier L’HOMME AU CHAPEAU AU DE FORME:

réduit à un corps et à un cri, ou à une passion (image de l'animal): champ lexical de la violence physique et verbale -ou progrès social? Dénonciation des injustices ?(contrastes entre les personnages),figure du révolté: une préfiguration de Gavroche ici victorieux? -ironie et polysémie du titre: le gamin qui est reconnu-qui se fait reconnaître, le gamin qui reconnaît-qui se venge... CRITERES D'EVALUATION Critères sur l'organisation, l'articulation et la rédaction du devoir

apologie du combat du peuple pour la Liberté. http://www.histoire.ac-versailles.fr/old/histoire/doc/delacroix.htm « C'est une des premières œuvres possédant une telle valeur politique. Victor Hugo s'inspire d'un des personnages pour créer son Gavroche. Ce tableau a été repris de nombreuses fois dans des documents officiels français timbre poste ou billets de banque, le Liberté se confond alors avec la République. Une caricature dénonçant l'occupant allemand a pris comme modèle la peinture de Delacroix

psychologique et humaine - les choix narratifs aussi : par exemple, l’emploi de la 1ère personne comme dans La Vie de Marianne de Marivaux - les personnages peuvent susciter chez le lecteur des émotions, des réactions : par exemple, la mort de Gavroche dans Les Misérables de V. Hugo, la mort de l’enfant dans La Peste de Camus - les personnages incarnent des idées ou des valeurs auxquelles on adhère ou que l’on refuse, exemples : la générosité de Jean Valjean, l’humanisme du Dr Rieux, le libertinage

remise en cause dont il a fait l’objet au XXe siècle, le personnage reste une donnée essentielle de la fiction romanesque. Nous pouvons oublier un épisode des Misérables, nous gardons toujours en mémoire les figures de Jean Valjean, de Cosette ou de Gavroche. Il importe donc de définir le personnage de roman en le distinguant de la personne, puis d’observer les procédés par lesquels il est caractérisé, avant de nous intéresser à la manière dont le lecteur se reconnaît ou se projette en lui. I. Personne