Gene Wilder

Introduction : Le clonage d'un gène est une grande technique en biologie moléculaire, c'est une opération consistant à isoler un gène, l'introduire dans un vecteur et à le reproduire en grande quantité. Parfois il est nécessaire d’effectuer un sous clonage permettant d’insérer dans un nouveau vecteur un fragment d'ADN de l’insert déjà cloné et isolé par ailleurs. Lors de notre TP nous avons sous-cloné à partir de pCR-gai la moitié 5’ du gène GAI (un gène d’Aradopsis thaliana code pour un facteur

Plan Introduction II- Origine et naissance du Clonage 1. Qu’est-ce qu’un clone ? a. Origine du mot dans la langue française b. Définition 2. Les différentes possibilités d'obtention d'un clone a)Par scission embryonnaire b) Clonage par transfert de noyau 3. Ou en est-on ? -Chronologie -LES FRAUDES ACTUELLES II- Une avancée scientifique 1. Les différents buts   -Le clonage reproductif 2. Les inquiétudes faces au clonage Conclusion L'Homme et la nature Français / SVT

fonctionnelle des cellules immunitaires lors de l’attaque inflammatoire (augmentent le risque génétique de 20 à 30%) * En 2009 : découverte d’un nouveau gène de prédisposition : le gène VAV1 (unité inserm 563 –Université paul sabatier), d’abord dans un modèle animal, puis dans une étude sur 12000 patients originaires de plusieurs pays. Le gène VAV1 à un role majeur dans le développement et l’activiation des lymphocites T, cellules immunitaires normalement chargées de lutter contre les virus et autres

séparées (par exemple le gène de l’insuline du porc transféré dans une bactérie pour le traitement du diabète). gè réalisé espè trè séparé Comment les obtient-on ? obtientLa possibilité de fabriquer un OGM repose sur le fait que l’ADN est de même nature pour tous les organismes vivants. De ce fait, il est possible de transférer un gène d’un organisme donneur à un organisme receveur totalement différent. L’organisme receveur exprimera alors un caractère porté par le gène transféré issu de l’organisme

facteurs de risques, de même l'utilisation d'ultraviolets artificiels dans un buts de bronzage augmentent très fortement le risque de mélanome. De plus 5 à 10% des patients ayant un mélanome ont un antécédent familial de cette maladie. Une mutation sur le gène CDKN2A situé sur le chromosome 9 est associée avec ce cancer. 2.3.La couleur de peau joue également un rôle important Il se trouve que chez les personnes avec peau pâles les risques sont légèrement augmentés et chez les roux , presque doublés.

elles portent une version mutée du gène Ade2 (en toute rigueur, on devrait donc les noter Ade2– mais par commodité, elles sont le plus souvent dénommées Ade2). Or, ce gène code pour une enzyme de la chaîne de biosynthèse de l’adénine. Si le milieu est carencé en adénine, les levures engagent la chaîne des réactions biochimiques qui devraient normalement permettre la biosynthèse de l’adénine mais dans ce cas, celle-ci est stoppée. En effet, du fait de la mutation du gène Ade2, le composé intermédiaire

ou hématopoïétique ne l'est pas et seules les traces attestant de manipulations génétiques effectués permettent de prouver cette pratique. Concrètement, la méthode du dopage génétique consiste à l'introduction d'un gène capable de produire de l’EPO, par exemple, dans le muscle, ou un gène de facteur de croissance dans une cellule d'un tendon. Des virus inactivés amènent alors les gènes dans les cellules cibles et les gènes peuvent ensuite produire des enzymes et des protéines. EPO :L'Erythropoïétine

de la β-globine, C’est le codon-stop. ------------------------------------------------- Un codon-stop, codon de terminaison ou codon non-sens est l'un des 3 codons (parmi les 64 codons du code génétique) qui marquent la fin de la traduction d'un gène en protéine. Il n'est en général jamais traduit car il n'existe pas d'ARN de transfert correspondant et c’était la troisième propriété du code génétique, le code génétique est ponctue : 3 codons ne désignent aucun acide amine : 3 codons stop, leur

Defiinition : Un OGM est un Organisme Génétiquement Modifié. C'est-à-dire un organisme dans lequel a été inséré un gène absent à l'état sauvage, ou un organisme dont l'expression d'un gène a été volontairement modifiée. Ce gène peut provenir de n'importe qu'elle espèce vivante, à condition de lui avoir ajouté divers éléments nécessaires à son expression dans l'organisme receveur. Ce gène peut coder pour différentes protéines d'intérêt très général pour la santé ou l'agriculture. C'est le cas par exemple

interviennent successivement dans la synthèse d’eumélanine dans un eumélanosome, ou de phéomélanine dans un phéomélanosome à partir de tyrosine, au cours d’une chaîne de biosynthèse. La tyrosinase est la première enzyme. Des formes mutantes diverses pour le gène de la tyrosinase sont à l’origine de phénotypes albinos, avec plusieurs variantes. D’autres gènes interviennent dans la transformation du phéomélanosome en eumélanosome, puis dans la migration des mélanosomes dans les kératinocytes de l’épiderme.