Génération des animaux

plus utile. La richesse spécifique varie en fonction de la géographie : les régions chaudes accueillent en général plus d’espèces que les autres. Ainsi, ce sont les forêts équatoriales qui abritent le plus grand nombre d’espèces différentes, tant animales que végétales. Par exemple, une forêt équatoriale compte dix fois plus d’espèces d’arbres, pour une surface équivalente, qu’une forêt tempérée. L’humidité est également un facteur favorable à la diversité des espèces, de même qu’une topographie et

stoïcien, qui a été développé et modifié au fur et à mesure de l’évolution des mœurs. Il présente les différentes approches philosophiques conçues par de très grands penseurs qui ont organisé le monde à partir du fonctionnement de la nature et des animaux. Toute la société pouvant fonctionner comme la nature, ils cherchaient à mettre en évidence les rapports existant entre l’homme et l’animal ou l’homme et la nature. Dans l’antiquité, au 5ème siècle av JC, la première démocratie athénienne avait mis

guider. Selon lui il s’agit alors de devancer les dangers en les anticipant, c’est-à-dire de construire une morale en conjecturant la menace. Hans propose alors de reconstruire une éthique autour de la responsabilité que nous avons vis à vis des générations futures. En effet, dès lors que l’homme a la puissance de détruire la nature, il s’agit de garantir la pérennité de l’humanité devenue précaire. L’impératif qui découle de ce principe peut ainsi s’énoncer : « Agis de façon que les effets de ton

Bergson, Stahl et Bordeu (une sensibilité des fibres nerveuses, l’ « âme » est partout où il y a un mouvement spontané) Le vivant se rapporte uniquement à de simples rapports physicochimiques, le corps se rapporte à une machine. - Descartes (Les animaux machines) Le vitalisme est une explication de la vie. On lui reproche de faire du vivant un empire dans un empire : il existe en l’homme une force mystérieuse, sauf que reconnaître cette force fait échapper le vivant aux lois communes de la machine

source essentielle : Hésiode, La Théogonie, Les travaux et les jours (poète epique du VIIIe s, postérieur d'une génération à HomereA l'origine, le Chaos. Puis la Terre (Gaia)Le Chaos engendre Erèbe et la Nuit qui engendrent eux mêmes l'Air et le Jour.Gaïa engendre le ciel (Ouranos), les Montagnes, les Nymphes, la Mer, les Fleuves.Gaïa + Ouranos : 1ère génération de dieux : Titans (12) : Oceanos, Coeos, Cronos (Temps), Hyperion, Japet, Theia, Rhea, Themis (Justice), Mnemosynè

Philosophie question sur « Aristote, La partie des animaux » : 1. Ce texte pose le problème des rapports entre la technique et la nature humaine. En effet, deux questions peuvent être soulevées dans ce domaine. D’abord, nous nous demandons ce qui fait la supériorité de l’homme par rapport au reste de la nature. Cette supériorité est incontestable car objectivement constatable : dans les faits, l’homme domine, en cela qu’il a réussi à se doter, grâce à la technique, des moyens lui permettant

une illusion n'est pas non plus nécessairement une erreur. L'opinion d'Aristote, d'après laquelle la vermine serait engendrée par l'ordure ( 1 ) - opinion qui est encore celle du peuple ignorant - était une erreur; de même, l'opinion qu'avait une génération antérieure de médecins, et d'après laquelle le tabès aurait été la conséquence d'excès sexuels ( 2 ). Il serait impropre d'appeler ces erreurs des illusions, alors que c'était une illusion de la part de Christophe Colomb, quand il croyait avoir

parfait car ni commencement, ni milieu, ni fin - Le monde « sublunaire » = impft car soumis à la génération et à la corruption Dans l’œuvre d’Aristote => considérations biologiques : un être vivant possède une âme (= « entéléchie », principe de son organisation). Les êtres vivants se distinguent hiérarchiquement selon la nature de cette âme : « végétative » pour les plantes, « sensitive » pour les animaux, « rationnelle » pour les hommes. La morale et la politique Pour Aristote, ce qui est à

qu’ils sont tous membres d’une collectivité, les hommes sont des êtres culturels. La tradition s’oppose fondamentalement à l’innovation et à la modernité. C’est en effet la transmission de doctrines religieuses, morales, ou politiques de génération en génération. La culture étant le fruit de l’évolution de l’homme, elle se détache de la nature et donc de la conservation des traditions. La tradition s’oppose à l’innovation alors que la culture se manifeste par la particularité et le caractère changeant

La ferme des animaux Tous les animaux étaient maintenant au rendez-vous – sauf Moïse, un corbeau apprivoisé qui sommeillait sur un perchoir, près de la porte de derrière – et les voyant à l’aise et bien attentifs,Sage l’Ancien se racla la gorge puis commença en ces termes : « Camarades, vous avez déjà entendu parler du rêve étrange qui m’est venu la nuit dernière. Mais j’y reviendrai tout à l’heure J’ai d’abord quelque chose d’autre à vous dire. Je ne compte pas, camarades, passer encore de longs