Generation Gap

considérants », affirmant par exemple « Que l'environnement est le patrimoine commun des êtres humains » ou « Qu'afin d'assurer un développement durable, les choix destinés à répondre aux besoins du présent ne doivent pas compromettre la capacité des générations futures et des autres peuples à satisfaire leurs propres besoins ». La Charte est ensuite divisée en 10 articles, proclamant les « droits et devoirs » auxquels se réfère le Préambule. Enfin, dans un troisième article, la loi constitutionnelle

inertie (les effets ne se manifestent pas immédiatement). Face à ces observations, une orientation nouvelle s'est dessinée autour de l'idée d'un développement durable qui puisse répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Cette perspective interroge l'éducation et la formation dans la mesure où ces fonctions doivent apporter leur contribution au développement de compétences nouvelles, à l'émergence de comportements différents, tant individuels

des affaires, les relations avec les parties prenantes, le droit du travail et la protection de l’environnement. Le Développement Durable est un terme qui désigne quant à lui, le « Développement qui permet aux générations présentes de satisfaire leurs besoins sans empêcher les générations futures de faire de même. » (Définition de la Commission Brundtland, 1987). Le concept d’entreprise responsable a été défini par les Nations Unies reconnaissant que « les entreprises ont un rôle à jouer dans

tout d’abord à Berkeley, puis dans San Francisco. La consommation de cannabis devient alors habituelle pour cette génération de vieux adolescents qu’on appellera par la suite des « adulescents ». Ils décident d’adopter un style vestimentaire plutôt débraillé et décontracté. C’est alors qu’apparait dans un premier temps le mouvement artistique et littéraire : celui de la Beat Generation, ou des Beatniks. Timothy Leary, ancien professeur de l’université de Berkeley et aussi partisan des soi-disant

 un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à

comme beaucoup j'ai commencé à lire ce bouquin par envie , par dégustation , par plaisir et sans ennuies au premier quart du bouquin . Je ne l'ai toujours pas dis , mais l'auteur de ce chef - d'oeuvre est Jack Kerouac . Ce livre , débutera la Beat Generation . Pour finir , je tiens aussi à dire que ce livre est un road Story Génial qui se passe pendant les années 50 et qui est sans doute précurseur du mouvement hippie , Allez on se retrouve sur la Route ?

rapport définit la politique nécessaire pour parvenir à un « développement durable ». Le rapport définit le concept ainsi : « Le développement durable est un mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : • le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et • l’idée

de la Terre, les gouvernements ont décidé de réagir, et de continuer le développement économique de leur pays tout en respectant la planète. Le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Des politiques de sensibilisation pour tous les citoyens européens ont été mis en oeuvre. Depuis plusieurs années, la sensibilisation sur le sujet est très importantes. Tout le monde

Son objectif est « de répondre aux besoins du présent, sans compromettre la capacité pour les générations futures de satisfaire les leurs » ( BRUNDTLAND Gro Harlem, Notre avenir à tous, Rapport de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement, 1988, p.51) .Il s'agit de viser « une double solidarité : horizontale, à l'égard des plus démunis du moment, et verticale, entre les générations » (MARECHAL, Alternatives Economiques, n°191, Avril 2001, p.80.). Dans cette optique, on fait

passé, c’est demeurer vigilant et être capable de déceler ce qui dans notre temps risquerait de s’avérer une répétition sinistre du passé. Il paraît donc important de donner à l’enseignement de l'histoire une place de premier plan, afin que les générations à venir ne demeurent pas aveugles au présent ; l’enseignement de l’histoire tend en effet à montrer que le présent n'existe que parce qu'il a été fait par un passé. Pourtant, ce consensus autour de la valeur de l’histoire ne suffit pas à