Génocide culturel

autant au biologique qu’au culturel, au passé qu’au présent, à l’ensemble des unités humaines pour mieux comprendre l’humain à l’échelle de l’espèce. On dit que le biologique affecte le culturel car certains comportements culturels ont des conséquences biologiques (c’est le cas des femmes girafes par exemple) et ces deux-derniers éléments sont souvent intereliés. En effet, si l’on considère l’étude du racisme, celle-ci demande une compréhension des traits biologiques et culturels des différents groupes

contexte, ces mémoires continuent chroniquement d’alimenter les débats contemporains et s’inscrivent de plus en plus dans le paysage quotidian au travers d’une volonté commemorative toujours plus forte, mais aussi d’une production intellectuelle et culturelle dynamique. De même d’autres pages du passé français sont encore en chantier : quelles mémoires de la colonisation ? Quelles mémoires de la guerre d’Algérie ? 
 I – Une mémoire univoque qui glorifie les Héros de la Résistance (1945-1970)

le but de vaincre l'ennemie. propagande: mesure prise pour répandre une opinion. arrière: territoire ou population situé en dehors de la zone des combats. Réquisition : confiscation d'un bien. déportation: déplacement forcé de tout un peuple. génocide: extermination programmé et systématique de tout un peuple. parti bolchévique: parti socialiste russe fondé par Lénine en 1912. Soviet: assemblé de soldats d'ouvriers ou de paysans. parti communiste:parti désirant une révolution bolchévique.

son objectif, critique légitime du fait du non respect du jus in bello (mythe de la guerre « zéro mort » = guerre technicisée). Le droit d'ingérence humanitaire devient encore plus pbtique quand il dérive de la volonté d'arrêter un massacre ou un génocide à la volonté de changer un régime sans qu'il y ait massacre en cours => ingérence démocratique. Imposer la démocratie est autocontradictoire pour J.STUART il faut que le peuple est manifesté sa propre résistance à l'oppression sinon toute intervention

« Passer le relais des historiens à travers la justice au détriment de la mémoire » 2. Les « Lois Mémorielles » Bibliographie : -ROULOT Jean François, Le crime contre l'humanité, Paris, l'Harmattan, 2002 -BRUNETEAU Bernard, Le siècle des génocides, Paris, Armand Colin, 2004 -LATARJET Bernard, Le crime contre l'humanité: origine, état et avenir du droit : actes du séminaire, Lyon, Association du Musée-Mémorial d'Izieu, 19 et 20 octobre 1996. -FINKIELKRAUT Alain, La mémoire vaine du crime

dans l’histoire collective. Elle peut donc aussi avoir une fonction pédagogique (apprendre et/ou redire l’histoire). Les commémorations peuvent être nationales ou locales, régulières ou occasionnelles. Elle donne également lieu à des évènements culturels. Bien que publiés dans les années 1990, les documents que nous allons étudier conservent leur sens et leur impact s’intensifie au fil des années. Dans cette analyse, nous verrons que la commémoration regroupe deux aspects : la nécessité pour

inconsciente entre générations. 1-Les apports de Freud sur la transmission et l’héritage psychique. 2-Violence d’Etat et transmission transgénérationnelle du traumatisme. II- Traduire le trauma collectif : exemple du génocide arménien de 1915. 1-Mettre en mots, mettre en terre. 2-Etude de cas. III- Bibliographie IV- Annexe : retranscription de l’entretien Introduction Une dictature, une guerre, une extermination de masse sont

|( Krzysztof Penderecki) | | | | |- Un long dimanche de |- Les joueurs de skat | |- Les génocides : | | | | |fiançailles |(O. Dix) | |Un survivant à Varsovie |

commis par les nazis et plus particulièrement comme celui du génocide des Juifs, au cours duquel près de six millions d'entre eux furent assassinés. Comme les autres camps de concentration nazis, Auschwitz était sous les ordres de Heinrich Himmler et de la SS. Le responsable du camp fut le SS-Obersturmbannführer Rudolf Höss jusqu'à l'été 1943, remplacé ensuite par Arthur Liebehenschel et Richard Baer. Monument historique et culturel majeur qui contribue au « devoir de mémoire », Auschwitz est depuis

événement majeur du millénaire précédent et que le « judéocide » présente des traits particuliers. Mais il ne s’agit pas pour autant selon lui d’un phénomène historique totalement incomparable à d’autres facettes de la criminalité nazie ou à d’autres génocides perpétrés en d’autres lieux et d’autres temps. Et on ne peut donc selon lui parler d’ « unicité de la Shoah ». Le temps de la honte (1945-1967) : une attente de reconnaissance frustrée Dans un premier temps, l’auteur résume l’histoire d’une