Genotype Au Phenotype Cours

partir d’un ancêtre commun des organismes autant différents par leur organisation? Nous ne connaissons que peu de chose sur les circonstances intermédiaires de ces évènements et ces derniers avivent depuis des siècles discussions et confrontations. Au cours des nombreux courants scientifiques, différentes disciplines ont été fondées afin de répondre à ces questions sur l’origine. Ces disciplines évoluent-elles aussi avec le temps, de la même façon que ce qu’elles cherchent à éclaircir. Au XIXème siècle

déterminéIls sotn constitués de segments de molécules d’ADN· Gènes = paires qui transmettent différents caractèresPhénotype : apparence d’un individu, sa physiologie, son comportement (ex : phénotype brun, phénotype groupe O-) visible ou pas.Caractère : expression phénotypique. (ex : couleur des yeux, type de cheveux, etc…)Génotype : ensemble de l’ADN et des gènes de l’individu.Allèles : différents états du gène qui est différent au niveau de la composition chimique de la molécule d’ADN (formé par mutation d’ADN

ensemble de caractères et établit des croisements forcés d’individus phénotypiquement différents. Il obtint ainsi des hybrides, qui présentaient tous le même phénotype pour un même croisement : le phénotype de la mère ou celui du père. Il raisonna alors que le phénotype en question était codé par un facteur dominant et que l’autre phénotype qui n’apparaissait pas chez les hybrides était codé par un facteur récessif. Il a ainsi défini que des caractères tels que les différentes formes ou couleurs

conduisant à l'apparition d'un individu d'un type nouveau. Les espèces s'individualisent à partir de populationsappartenant à une espèce d'origine (sauf exception pour certains végétaux). Au sein d'une population, les individus varient aléatoirement au cours du temps, c'est le principe de divergence1. Il s'agit donc de l'évolution de populations interfécondes - composant une même espèce, par définition - en populations non-interfécondes, c'est-à-dire isolées sur le plan reproducteur. Elles prennent ainsi

fibroblaste Méiose et fécondation déterminent le patrimoine génétique de l’individu A B B B sauf dans le cas de la mutation d’un gène, le contenu en ADN ne change pas au cours des différentes divisions Cellulaires qui suivent la fécondation. Et pourtant, chaque cellule se spécialise au cours du développement, C’est à dire que le champ de son potentiel de différenciation se rétrécit… A B B C D Dans le noyau, la molécule d’ADN est enroulée autour de protéines appelées

appartenant à 2 parents purs chez la drosophile aboutit après deux générations à 4 génotypes différents au sein de la population. Notons : e+ corps clair dominant ; e- corps sombre récessif Vg+ ailes longues dominant et vg- ailes courtes récessif Ecriture des génotypes parentaux : P1 : (e+//e+ ; vg+//vg+) x P2 : (e-//e- ; vg-//vg-) Ecriture des gamètes parentaux : (e+ ;vg+) 100% et ( e- ;vg-) 100% Génotype des hybrides obtenus en F1 : (e+//e- ; vg+//vg-) tous les hybrides possèdent les

limitée d’une population (effets de la dérive génétique), les migrations et les préférences sexuelles. Place de la séance dans la séquence : Premier TP du chapitre sur l’évolution des génomes au sein des populations. Les notions sur l’origine du génotype des individus (brassages liés à la reproduction sexuée, accidents de la méiose et diversification du vivant...) et sur la complexification des génomes (transferts horizontaux et endosymbioses) ont été vues. En classe inversée, réactivation des

aléatoire. II. Les conséquences des mutations : ( Les gènes sont transcrits en ARNm (noyau) puis traduit en protéines grâce au code génétique (cytoplasme). Une mutation modifie la séquence d’ADN >> elle a donc des csq. sur la protéine = sur le phénotype moléculaire et donc sur le phénot. cellulaire, voire macroscopique. ( Les substitutions : - mutations silencieuses : protéine non modifiée car plusieurs codons de l’ARNm correspondent au même AA. - mutations faux-sens : modification d’un AA -

majeur pour l'humanité. Problème: Quelle est l'influence de l'Homme sur les plantes qui lui sont utiles ? Voir TP 2B I. LES PLANTES CULTIVÉES, PRODUITS D'UNE SÉLECTION HUMAINE 1) Des plantes sauvages aux plantes cultivées Voir document 1 de cours    Depuis 10 000 ans, l'humanité est passée de la cueillette à la culture. L'Homme a ainsi souvent retenu (volontairement ou empiriquement) des caractéristiques sauvages qui lui étaient favorables, isolant ces populations cultivées

Sciences de la vie et de la terre Terminale S Corrigés des exercices Rédaction : Sylvie Bouton Michel Aguelon Marie-Laure Gueuné Yannick Gaudin Coordination : Yannick Gaudin Ce cours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à ce cours sont la propriété de leurs auteurs et/ou ayants droit respectifs. Tous ces éléments font l’objet d’une protection par les dispositions du code français de la propriété intellectuelle ainsi que par les conventions internationales en vigueur. Ces contenus