Gens du voyage

grand esprit. Il contemple sa situation par rapport aux autres. Bien que les autres ne soient pas capables de le comprendre, il est capable de comprendre tous ceux qui sont tout à fait différents de lui-même, pour lesquels il pense que ce sont des gens mauvais et qu'il déteste souvent. Il connaît ceux qui se moquent de l'écrivain et qui le tourmentent, les femmes qui vendent son corps, ceux qui aiment les plaisirs dangereux et pas naturels. Quand même, ces personnages restent derrière les murs qui

l’Autriche et l’Hongrie en mai 1989, beaucoup de gens de l’RDA peuvent passer par les frontières et milliers de gens émigrent dans d’Allemagne de l’Ouest. Ce pas est une première étape vers la chute du mur de Berlin. En outre, les dirigents de l’Ouest ont décider, lors d’une conférence le 9 novembre 1989, d’ouvrir les frontières pour voyager à l’étranger sans raisons particulière.Problème: Ils ne parlent pas d’une date précise. Par contre, les gens de l’Est ont cru, que l’ouverture des frontières

contemporain qui restera aujourd’hui l’un de mes préférés, Keith Haring. Ca y est, sur mon billet d’avion était inscrit, Graz-Lisboa enfin mon périple aux côtés de mon oncle était lancé. Ce 22 juin 2009, à 14h38 précisément j’embarquais avec pour un mois de voyage avec un homme que je connaissais à peine mais en qui j’avais un plein confiance… C’était le début d’une très longue expérience, j’étais stressé, la boule au ventre mais tellement excité de m’imaginer les pays, villes et villages que j’allais arpenter

portrait collectif des courtisans, dans le ton de ses caractères individuels : celle du récit de voyage fait par un étranger.   Quelle image de la Cour présente La Bruyère à travers cette imitation du récit de voyage ? Plan : I] Une imitation de récit de voyage : le regard étranger et la devinette 1) Une énigme : cherchez le « pays »… 2) Les procédés et le type d’écriture des récits de voyage : un pastiche 3) Un regard neuf : un narrateur ingénu II] Une satire féroce de la Cour de Louis

texte « souvenirs « ] J’ai partagé le texte par des parties de différentes personnes. Le narrateur parle une fois de Lol, de soi-même ou de leur-même. Dans le premier paragraphe (l.1-4) Jacques parle du voyage et il décrit les gens dans le train. (l.2) Ca veut dire qu’il est très chaud, peut-être le train est plein de gens. Ligne 4 transmet une ambiance pas intime donc une absence d’une sphère privée parce qu’on peut entendre beaucoup des autres. Dans la deuxième partie (l.5-7) le narrateur dit que le train parte

Stage : Les Européens et le monde XVIème-XVIIIème siècle Jérôme MEUNIER VOYAGES ET DECOUVERTES, XVIème-XVIIIème siècles Mercredi 21 janvier 2009 SEP Georges BRASSENS – Rive de Gier Organisation générale du stage Le stage s’est déroulé en janvier 2009, avant la parution des programmes de Bac Professionnel Trois ans (février 2009). Après une intervention de Monsieur Larguier, Professeur d’histoire moderne à l’Université de Perpignan, des bibliographies, ainsi que des réflexions didactiques

COMPREHENSION ORALE Vous allez entendre un extrait d’interview d’une professionnelle du tourisme. Question n°1 : Ecoutez attentivement et cochez les expressions que vous entendez. Pour travailler dans le domaine touristique, notamment en agence de voyages, il faut toujours : être à la page être à la mode être à l’écoute des clients être en état de veille être au courant être souriant être patient être rassuré avoir réponse à tout paraître sûr de soi Question n°2 : Vrai ou Faux ? 1

dans son village natal parce qu’il a besoin de ses documents d’origine. Malheureusement, il ne les reçoit pas. Alors il quitte la Suisse sans papiers et émigre en France. Il laisse sa famille ruinée en Suisse, il la quitte sans rien dire. Pendant son voyage, il pille un groupe de voyageurs. Il atteint la mer et puis vient au Havre. Là, il prend un bateau pour aller à New York. Quand il est arrivé à New York, il travaille dans des différents métiers. Ses travaux le mènent de plus en plus à l’ouest

personnes dans le monde sont différentes, pourquoi est-ce que nous traitons certains gens comme les « étrangers » ? Il était une fois un jeune homme vit dans un vieux village. Ce village était connu pour ses traditions et son manque de changement. Les villageois étaient à l’aise avec leurs voisons. Il n’y avait pas une personne qui ne savait pas les affaires d’un autre. Le bavardage était une activité pour ces gens. Mais cet homme était différent que les autres dans son village – il ne pouvait

chose d’irréel simplement par des mots d’espoir. Texte 4 (1932) : Vision d’un monde misanthropique. Le narrateur Ferdinand Bardamu semble ne trouver sa place nulle part : « Mais ce ne serait autre part ni plus agréable, ni pire… ». Il pense que les gens lui veulent du mal et il fuit tant qu’il peut pour redevenir un inconnu. C’est un rêve d’isolement comme le Texte 1. Cette une vision plutôt angoissante du personnage qui ne parvient pas à resté isolé (pareil que le perso du T1). C’est une boucle infernale