Gentrification

L’analyse des caractéristiques des logements permet de saisir indirectement la gentrification en cours à travers la transformation des logements, même si la réhabilitation en tant que telle n’est pas mentionnée dans le recensement : la réduction du nombre de petits logements, des logements sans confort ou encore l’importance des ménages CPIS parmi les grands logements des quartiers populaires sont autant d’indices de la gentrification. Ces transformations du parc de logements accompagnent la progression des

des centres se stabilisent. Dans la première couronne, la croissance se ralentie Zones Périurbaine augmentent. II . Aménager les villes de demain. A. Maitriser la logique centre périphérie .Quartier centraux largement valorisés : = Gentrification : processus de rénovation qui a pour objectif le retour des classes aisées. = tertiairisation : bureaux et services administratifs. Les conséquences sont les hausses des loyers et la fracturation spatiale .La périphérie: espace plus hétérogène

en termes de nombre de bâtiments classés monument historique dans la ville de Paris avec pas moins de 392 monuments historiques et une densité presque dix fois supérieure à la moyenne parisienne. Un quartier gentrifié NB : définition de la gentrification : « Terme utilisé pour décrire l’investissement d’espaces urbains dégradés par des populations de niveau socio-économique élevé, souvent en relation avec la réhabilitation de quartiers centraux ou péricentraux au bâti ancien ». Dictionnaire de

vision de la gentrification comme solution au déclin urbain. Autrement dit, la gentrification devient, ici, le cœur d’une politique de développement économique local. Attirer les classes moyennes et encore plus les classes créatives est ainsi le mot d’ordre d’une ville comme Roubaix. Cette classe créative peut permettre à la ville de redécoller. D’autres villes postindustrielles ont développées cette stratégie comme Glasgow ou encore à Bilbao. Dans ce premier cas, la gentrification de centres villes

GEOGRAPHIE  1 HEURE SUJET de l’étude de documents : la métropolisation en Inde, dynamiques et contrastes . L’exemple de Mumbai. 1) Question de cours  (3 points) : définir les mots suivants : Gentrification  : installation d’une pop aisée dans des quartiers souvent centraux rénovés ou réhabilités. Se fait au détriment d’une pop plus pauvre qui est chassée par l’augmentation des prix de l’immobilier. Réhabilitation

l’ordre) et présence de commerces non-ethniques. B – Un processus d’embourgeoisement : La politique de rénovation urbaine participe au processus de gentrification. Ce terme est apparu dans les années 60 à Londres pour qualifier la transformation du centre-ville de Londres et son peuplement par des classes bourgeoises.​Le processus de gentrification n’est pas nouveau, on observe depuis la fin du 18ème siècle le déplacement des classes populaires vers la périphérie. Ce déplacement est encouragé par

fumentaires de 1836: prise de conscience de la misère ouvrière Exode rural: facteur d'agravation Commune de Paris: troisème événement marquant du XIXè - prototype de la guerre civile Figure de l'architecte émerge: on aère la ville-phénomène de gentrification se développe au XIXè- riches dans les villes- alors qu'avant la géolocalisation dépendait de leur emploi 97% des migrations en banleiu migrations XIXè: émergence d'une conscience de classe- du début à la fin du siècle: du petit atelier à

À partir des années 1950, le fonctionnalisme a connu un nouvel essor qui s’est traduit par la modernisation des grandes villes à partir de vastes chantiers urbains. Ce nouvel élan du mouvement modernisme est attribuable au Housing Act, un programme fédéral américain adopté en 1949 favorisant les opérations de rénovation urbaine. Comme l’a indiqué Herbert J. Gans (1965), « ce programme a fourni aux agences de rénovation locales des fonds fédéraux et le pouvoir de condamner les quartiers insalubres

utilisée plusieurs fois dans la première partie). Il observe ensuite trois phénomènes reflétant une logique de séparation de l’espace urbain, qui montrent que la ville est loin d’être unifiée. Il s’agit de la relégation, la périurbanisation et la gentrification. Alors que les grands ensembles ont reflété la modernité, ils sont devenus signe d’enfermement. Les classes moyennes et intermédiaires les ont quittés dans les années 1970 pour le « rêve pavillonnaire». Les habitants les moins aisés et notamment

urbaine : les classes populaires se retrouvent coincées dans des habitats sociaux précaires, pendant que d’autres construisent une barrière imperceptible  autour des centres villes. Les phénomènes que sont la relégation, la périurbanisation et la gentrification monopolisent dès lors l’attention de la classe politique. Peut-on laisser en état un lieu ou se concentre nombres de problèmes sociaux, où l’attractivité s’est transformé en défiance, où la mixité sociale n’est qu’un concept ? Tels sont les enjeux