Géocentrisme

Copernic, à l’époque de la Renaissance, ils voulaient prouver le terme de l’héliocentrisme, c’est-à-dire que le Soleil tournait autour de la Terre. Cependant, cela n’était pas simple, puisque l’église avait une tout autre pensée. Celle-ci défendait le géocentrisme, dans ce cas c’était le Soleil qui tournait autour de la Terre. Bien que Galilée fût condamné à cause de la théorie de l’héliocentrisme qui n’était pas accepté par l’église, celle-ci se rendra compte qu’il avait raison. UNE NOUVELLE CONCEPTION

ligne 24 à la ligne 27, Dyrcona remet en cause la vieille astronomie qui considère Vénus comme une étoile tournant autour de la Terre. Il évoque implicitement la peur mais aussi la difficulté des astronomes modernes de contredire cette donnée du géocentrisme prouvé par Ptolémée qui semble si bien établie dans le monde de l’époque Dans les lignes 27 à 35, Vénus est l’objet d’attention du narrateur. Il y a, là encore, de nombreux verbes de perception : « je remarquai » (l. 27), « je la vis » (l.29)

exigée à titre de "postulat de la raison pratique" -la révolution copernicienne: par cette analyse, Kant dit quil a réalisé en théorie de la connaissance une veritable révolution copernicienne. comme copernic a substitué l'héliocentriste au géocentrisme, il faut substituer l'option idéaliste à loption réaliste en matiere de theaorie de la connaissance. Le réalisme consiste a croire que la connaissance saisit le reel tel quil est en soi. or toute connaissance met en rapport un sujet et un objet

volontaire, mené par une pensée active… En mathématique, l’invention des géométries non euclidiennes montre la fécondité du doute porté sur le postulat euclidien des parallèles. Dans les sciences expérimentales, le doute porté par Galilée sur le géocentrisme permettra d’en montrer la fausseté, etc. Dans les sciences toute volonté de prouver ou démontrer suppose au départ qu’il y a doute. Plus radicalement encore, la discipline scientifique n’admet jamais définitivement une connaissance : aussi longtemps

l'interdiction qui frappe Galilée, l'autorise officieusement à évoquer l'héliocentrisme. Mais à deux conditions : d'abord, il doit parler du mouvement de la Terre comme simple hypothèse, ensuite, il doit donner la parole aussi aux défenseurs du géocentrisme. C'est alors que paraît le Dialogue entre les deux plus grands systèmes du monde (1632), où Galilée introduit trois personnages : Salviati qui représente sa propre personne, Simplicius qui défend les conceptions antiques sur l'immobilité de la

je dois respirer, manger, boire … Douter dans la vie quotidienne pourra même devenir dangereux pour quelqu'un qui remettrait en cause les fondements de son état, comme les lois ou les dogmes religieux … (Galilée fut condamné pour avoir douté du géocentrisme affirmé par l’Église). Il y a toujours des choses qui resteront indubitables ou à défaut que les hommes, par leur imperfection, continueront à prendre comme allant d’elles-mêmes. Finalement, le doute signifie bien la liberté de l'homme, peut-être

Luther...), en proposant une représentation de la religion grâce aux arts ; l'esthétique qu'ils feront évoluer correspond au baroque. Il y a également l'objectif de sensibiliser les hommes à un moment de crise. A la fin du XVIe siècle, le géocentrisme est remis en cause, on doute alors de la place de l'Homme (il n'est plus au centre du monde). Cette perte des certitudes fait naître la représentation d'un monde en perpétuel mouvement ; l'esthétique baroque traduit une impression d'instabilité et

révolution copernicienne Kant est pour la philosophie ce que Copernic est pour l’astronomie. Nous rappelons que la révolution copernicienne est ce " moment ", dans l’histoire des sciences où l’on décide face aux problèmes que pose l’astronomie géocentrisme, de changer les choses ainsi, ça ne serait plus le soleil qui tournerait autour de la terre mais la terre qui tournerait autour du soleil. De même que Copernic, Kant va chercher à savoir s’il ne serait pas possible de changer les rôles du sujet

cette fable. Il exprime alors dans sa fable « La raison décide en maîtresse / Mes yeux moyennant ce secours / Ne me trompent jamais / En me mentant toujours ». Le monde sensible de cette fable amène à un questionnement scientifique de l’époque, le géocentrisme qui est la thèse religieuse et très soutenue de l’époque de la Terre au centre de tout puis de l’héliocentrisme qui est la thèse des opposants, très peu à la soutenir, du soleil au centre de tout exprimant que la Terre tourne autour de ce dernier

l'approche modélisatrice coperniciennede l'Univers, proposant d'adopter l'héliocentrisme et les mouvements satellitaires, et ses observations et généralisations se sont alors heurtées aux critiques des philosophes partisans d'Aristote, proposant un géocentrisme stable, une classification des corps et des êtres, un ordre immuable des éléments et une évolution réglée des substances, ainsi qu'aux théologiens jésuites de l'Église catholique romaine, soucieux alors de préserver les fondements de la transsubstantiation