Géographe

vant même que le terme existe  Hippodamos de Milet (498­408 avant Jésus­Christ) : planificateur urbain → plan hippodaméen   Mais la géopolitique = Naissance à l’époque contemporaine en même temps que la concurrence inter­états >  Souhait des géographes d’éclairer les dirigeants dans la maîtrise de leur territoire.  Référence à Machiavel  À sa naissance la géopolitique = répond à un besoin de stratégie // inter­états > Tandis qu’aujourd’hui =  plutôt // de pouvoir   = d’abord un déterminisme de politique étrangère d’un État 

lequel Élisée Reclus avait été plongé par les manuels d’histoire et de géographie durant tout le XX e siècle (11) .En 1981 (12) Yves Lacoste disait : «que le nom même de Reclus et plus encore l’ensemble de son œuvre était ignoré par la plupart des géographes français, ses travaux n’étant jamais cités dans les bibliographies, à tel point que lorsqu’il était question de géographie sociale on cite des auteurs anglo-saxons en omettant que cette idée de géographie sociale avait été exprimée dés 1905 par

car il n’y a pas assez de place pour 2. Ensuite, il rencontre un géographe écrivant d'énormes livres. Sa planète est 10 fois plus vaste que les autres. Il dit au petit prince qu’il a besoin d’explorateurs pour écrire ses livres et lui demande donc de décrire sa planète. Mais le petit prince dit que sa planète est trop petite et pas intéressante mais lui décrit quand même. Il lui parle de sa rose mais ceci n’intéresse pas le géographe car il ne s’intéresse qu’aux choses qui restent comme les montagnes

donc devenu très extensif. On en vient même à parler de "document" pour désigner toute information qui circule, notamment sous forme d'une fiche polycopiée. Le mot est par ailleurs peut-être spontanément plus usité en histoire qu'en géographie. Un géographe, enseignant-chercheur, universitaire, parle moins spontanément de "ses documents" que l'historien. Si l'on veut mieux décider de formes d'utilisation du document avec des élèves, il convient par conséquent de dresser une typologie. On distingue

que le géographe connaît sa propre planète?  Pourquoi ou pourquoi pas? 2. Quels sont les autres personnages qui sont tellement absorbés dans l'importance imaginée de leur occupation qu'ils ne peuvent pas apprécier la richesse du monde autour d'eux? 3. Qui aurait la vraie expérience de la vie, un géographe ou un explorateur?  Préféreriez-vous mener une vie de géographe ou d'explorateur?  Expliquez en tirant une leçon de votre réponse. 4. Quel genre de chose est-ce que les géographes ne notent

in Cahiers français, La Documentation française, n° 328, 2005. 3-La documentation photographique R Marconis « Urbanisation et Urbanisme » n 8025 Fevrier 2002 L Carroué « La mondialisation en question » n°8037 avril 2004 4-Historiens et géographes n° 395 juillet/Aout 2006 dossier coordonné par L Carroué« Globalisation Mondialisation » 5-Information géographique A Colin Juin 2005 n° 34 Vanier « recompostion territoriale » plus à jour que la revue Problèmes politiques et sociaux:citée

pour le bien des autres en allumant et éteignant les réverbères alors qu’il ne rencontrait jusque là que des égocentriques.   Chapitre 15 Le Petit Prince découvre la planète d’un géographe qui recense les montagnes et les rivières que l’on peut trouver sur les planètes. Il découvre avec étonnement que le géographe n’est pas un aventurer et ne connaît pas sa propre planète.   Chapitre 16 Le Petit Prince arrive sur Terre. il y découvre une très grade planète, sans commune mesure avec celle qu’il

monde est complexe, la limite nord/sud est contestée. Pays émergent, pays en développement, conflits qui éclatent, nouveaux enjeux avec la protection de la planète. Pour comprendre ce monde complexe, il est important de construire des cartes. Les géographes utilisent donc 4 clés de lecture : • Une lecture géopolitique qui consiste à observer les rivalités de pouvoir et qui permet d’établir un ordre mondial organisé par puissance. • Une lecture géoéconomique du fait de l’intensification de la

nous étendre ici sur l’œuvre de Paul Vidal de la Blache (1845-1918) ni sur celle d’André Chéradame qui ont tous deux pris le contre-pied de la théorie de la puissance allemande de Haushofer. Nous ne pouvons, en revanche, nous passer de citer le géographe français Jacques Ancel. Le contexte est toujours l’entre deux guerres mais c’est surtout le dépècement des empires austro-hongrois et turc qui a influencé Ancel. S’intéressant avant tout aux Balkans et à l’Europe centrale, il a élaboré la plus fine

mécanismes économiques (qu’il faut mettre en évidence). L’espace, parce qu’il est acteur, est lui aussi explicateur du phénomène économique que l’on veut expliquer. L’espace économique peut être considéré comme soit une construction du chercheur (géographe, historien, économiste) en fonction de sa problématique, soit comme un espace tel qu’il est perçu par l’homme contemporain (l’homme contemporain du 18e donc ici). La construction théorique du chercheur, c’est son outil d’analyse (descriptif et explicatif